Il en va de même pour les livres de la mer comme les papillotes, qui fleurissent dans les vitrines à l’approche de Noël. Encore faut-il discerner le bon du moins bon et ne pas se lancer dans un voyage littéraire au hasard. Pour vous aider, voici une sélection iodée !
Table des matières
CARENES, ACTE II
ERWAN LEBOURDAIS, ODYSSÉE, 169 PAGES, 39 €
Cette nouvelle « Carène » est plus qu’un beau livre grand format à laisser sur la table basse après un bon repas. C’est un véritable livre de photographe et un livre de la mer, qui se feuillette comme le visiteur d’une exposition et fascine tout lecteur un peu amoureux des beaux bateaux et de l’eau salée. Comme dans toute exposition, les textes, savamment préparés par Christophe Agnus, sont courts mais bien intentionnés et indispensables pour comprendre les images dans leur contexte.
Les différents chapitres correspondent à des modes ou thèmes de prise de vue. Navires collés à fleur d’eau, voire mi-air, mi-eau, coques carénées aux formes immenses de Brest, poésie et vie marine, chacun y trouvera son compte. Ils sont nombreux et, après tout, Erwan Y compris les amateurs des « montagnes d’acier diplomatique », paraphrases amusantes désignant ici les bâtiments gris de la Marine nationale… Ils sont nombreux, et après tout, Erwan Lebourdais est à la fois brestois et officiel peintre de la marine. ! Un très bel ouvrage, ambitieux tant dans sa photographie que dans son montage.
L’Endurance
SIR ERNEST SCHACKLETON, FRANK HURLEY, PAULSEN,
304 PAGES, 39,90 €
VOILIERS MYTHIQUES
Une réédition majeure pour un classique incontournable, voire un véritable mythe de la littérature polaire ! Sauf que l’histoire d’Endurance est parfaitement authentique. L’expédition tourne vite mal, le navire coincé en permanence dans les glaces de la mer de Weddel est abandonné par l’équipage dans des chaloupes servant de traîneaux… Au terme de cette
se retirant en bon ordre, Shackleton ne perdra pas un seul homme, et ira lui-même en Géorgie du Sud se faire aider dans un navire pavoisé au moyen d’une misérable toile, au milieu de l’océan Austral. Fou, lunaire et pourtant vrai. Et non moins absurde que la conclusion, la plupart des hommes d’Ernest Shackleton finissent, après leur retour, dans la boue des tranchées de la Somme. Un livre indispensable.
La frénésie du windsurf
COLLECTIF, EDITIONS CASA, 199 PAGES, 36,95 €
L’exercice de critiquer un livre produit par l’équipe de Voile Magazine est pour le moins délicat, mais nous n’avons personne d’autre sous la main pour le faire ! L’idée de départ était simplement de donner un aperçu des plus beaux navires du monde, avec tout ce qui est ouvertement subjectif dans cette anthologie. Les navires sont devenus « mythiques », mais l’idée est la même. S’adressant à Gilles Martin-Raget, dont la photothèque couvre
LE PASSEPORT DE MONSIEUR NANSEN
la plus large gamme de la planète voile, plus les images de nos photographes habituels, nous sommes sûrs de ne manquer aucune date, ni avec les Maxis, ni avec les bateaux de régate, encore moins avec les yachts classiques. Côté auteurs, en plus de la rédaction, nous avons recruté des journalistes avertis, comme Christophe Varène pour les classiques ou Olivier Péretié pour la course. L’idée est que les connaisseurs aient le plaisir d’apprendre de nouvelles anecdotes, et elles sont nombreuses, sans que les néophytes se perdent dans un livre trop spécifique. Dites-nous si nous l’avons fait ! Quoi qu’il en soit, nous avons passé un bon moment à le faire.
VIRGINIE TROUSSIER, TRANSBORÉALE, 89 PAGES, 8 €
Attention, petit bijou littéraire ! Les deux témoignages d’un véliplanchiste
Des courses et des phares
commencé puis dévoré par la passion de la planche, essai philosophique et sensoriel, atlas des taches et des vents, chronique d’un sport vécu en ascète nomade, ce livret inclassable, discrètement édité par Transboréal, est un délice. Écrit dans une langue littéraire mais jamais pédante, vous pouvez y goûter
plutôt que d’être dévoré par un voyage sans retour au pays du vent. Il s’agit d’énergie vitale, de camionnettes sales et de bras endoloris défiant la gravité, mais nous en apprenons aussi beaucoup sur l’histoire de ce sport qui a ouvert les plans d’eau aux nouvelles générations de marins en combinaison. Un vrai coup de coeur !
ALEXIS JENNI, PAULSEN, 200 PAGES, 21 €
L’escadre du bout du monde
Alexis Jenni, lauréat du prix Goncourt en 2011 pour L’Art français de la guerre, n’hésite pas à monter sur scène, enquêtant sur l’explorateur polaire norvégien Fridtjof Nansen avec son voisin de palier, un peu à la manière d’un Philippe Jaénada. Ce faisant, il nous fait découvrir un aspect méconnu de sa longue carrière lorsque, chargé d’une mission humanitaire auprès de la Société des Nations, il a sauvé
des dizaines de milliers d’Arméniens apatrides, entre autres, en leur fournissant le fameux « passeport Nansen » qui leur a donné un statut et leur a permis de rejoindre l’Europe.
Les grandes expéditions de Nansen, surtout celle du Fram, n’en sont pas pour autant oubliées. Et d’une aventure à l’autre, le portrait d’un être sérieux mais capricieux, surhumain et en même temps fragile, apparaît en filigrane. Celle d’une époque qui vénérait ses explorateurs polaires, des héros prêts à tout sacrifier pour effacer les dernières zones blanches de la planète. Ecrite avec beaucoup d’humour et de sensibilité, cette biographie d’Alexis Jenni se lit comme un roman. D’une certaine manière, c’est l’un, et l’un des meilleurs.
La grande pêche
JEAN-BENOIT HERON ET PATRICK BENOITON,
GLÉNAT, 140 PAGES, 30 €
Les courses en mer expliquées par les phares qui jalonnent leur parcours, l’idée est claire ! Encore fallait-il l’avoir, le suivre et surtout le réaliser avec le talent nécessaire. Les œuvres de Jean-Benoît Héron font merveille en termes d’illustrations, avec de grandes planches aériennes dramatiques, des bâtiments parfois recadrés pour révéler des détails cachés, et des dizaines de phares imposants. Tous n’ont pas forcément été conçus pour ce livre, mais peu importe : le résultat est
Comment devenir autosuffisant dans sa maison ?
beau, bien servi par un design clair et un montage de qualité. Côté texte, on peut faire confiance à Patrick Benoiton, un vétéran de la presse nautique, pour maîtriser ses classiques et les partager avec joie.
Le seul reproche que l’on pourrait lui faire est que ses textes parlent davantage de courses que de balises, même lorsque les deux sont étroitement associées comme dans le cas de la Fastnet Race, par exemple. Au final, les phares sont majoritairement présents sur l’illustration. Cela n’affecte pas la qualité graphique du livre, sinon.
Mais lorsque vous le fermez, vous avez le sentiment frustrant que la bonne idée du début n’a pas été pleinement prise en compte.
Comment S’auto-suffire en nourriture ?
FABIEN CLAUW, PAULSEN, 405 PAGES, 22 €
C’est déjà le sixième opus de la saga du capitaine Gilles Belmonte, officier héroïque de la marine révolutionnaire alors impériale qui se bat contre les Anglais et les siens.
propres démons à travers le monde depuis 2012. Une belle histoire et
Comment faire pour vivre en autosuffisance ?
un grand voyage aussi pour son auteur, Fabien Clauw qui, après la course Figaro, les radeaux vikings, l’école de croisière et le tour de l’Atlantique, s’est lancé à corps perdu dans cette aventure littéraire réussie.
Les fans, désormais nombreux, savent qu’il existe deux types de « Belmonte » : les historiques, comme l’excellent Trafalgar la sanglante, tome cinq paru l’an dernier, et ceux qui relèvent davantage d’un roman d’aventures. L’aile du bout du monde est, selon nous, la plus aboutie de cette seconde catégorie. Sans doute parce que l’auteur gagne en maturité, comme son héros, et maîtrise de mieux en mieux son art et son sujet. Le scénario est audacieux, les personnages bien rodés, les traîtres anglais à souhait… et l’action ne laisse pas de répit au lecteur. Parfait pour passer les fêtes de Noël en bonne compagnie !
Comment demarrer l’apprentissage de la voile ?
JEAN-YVES DELITTE ET JEAN-BENOIT HERON,
GLÉNAT, 95 PAGES, 25 €
Deux signatures reconnues, deux auteurs très présents en librairie en cette fin d’année et, ce qui est le plus surprenant, deux illustrateurs. Du coup, on se demande qui, Jean-Yves Delitte ou Jean-Benoît Héron, a écrit les textes documentés et très instructifs qui complètent utilement les illustrations. Ces derniers sont absolument remarquables et ce n’est pas surprenant, connaissant la culture maritime et le sens du détail des deux. Chacun son style, et ce mélange des genres permet aussi de varier et d’enrichir graphiquement l’œuvre.
Très complet sans être académique, artistique et didactique, c’est un livre à recommander et une très bonne idée cadeau pour tout lecteur un peu attiré par l’aventure maritime et la pêche. Des chalutiers marémoteurs médiévaux aux bateaux-usines d’aujourd’hui, une étonnante saga… Attention cependant, le terme « pêche au gros » ne se limite pas à la pêche à la morue, même si elle est au cœur du sujet, mais il désigne ici tous la principale pêche hauturière, du hareng au thon et aux baleines.
Comment devenir autonome en voile ?
Comment devenir 100% indépendant ? Contrairement à une installation en autoconsommation, être totalement autonome en électricité nécessite d’avoir un équipement plus important et de dimensionner vos panneaux pour couvrir l’ensemble de vos besoins. Cela nécessite de savoir exactement quels sont vos besoins en électricité.
Comment être autonome ? Conservez fruits et légumes toute l’année. Être en autonomie alimentaire, c’est aussi conserver ses aliments tout au long de l’année. Rien de mieux que de pouvoir manger des haricots verts ou des courgettes en plein hiver !
Comment rendre votre maison autonome ? Pour que votre maison soit 100% autonome, vous devez produire votre propre électricité : c’est pourquoi nous vous conseillons d’équiper votre maison de panneaux solaires photovoltaïques. C’est la solution la plus avantageuse pour obtenir une autonomie électrique.
Comment apprendre à piloter un voilier ?
Pour développer une autonomie alimentaire saine, il faut évidemment une surface à cultiver, si possible en bio. De cette façon, vous pouvez produire des aliments biologiques qui se retrouveront dans votre assiette.
Quelle surface pour être autonome ? Le travail suivant montre qu’il faudrait entre 1000 m2 et 1500 m2 de cultures pour nourrir un être humain (céréales, oléagineux, légumes et fruits). Nous partons d’un objectif de production d’un kilogramme de nourriture par jour et par personne.
Comment vivre en autonomie depuis son jardin ? Pour un jardinage efficace sans effort, nul besoin de retourner la terre, bien au contraire ! « Commencez par poser un paillis au sol, sans remuer la terre, d’une vingtaine de centimètres d’épaisseur », propose Denis Berger. Pour un sol plus riche, ajoutez du fumier ou du fumier liquide.
Quelle est la vitesse d’un bateau à voile ?
Pour vivre en autonomie et s’émanciper véritablement, il faut sortir de la dépendance au pétrole. Si vous utilisez votre voiture, vous devrez faire le plein régulièrement. Limitez vos déplacements nécessitant des énergies fossiles et encouragez le vélo ou la marche.
Où s’installer pour vivre en autonomie ? Vivre en autonomie à la campagne A la campagne, c’est un fait, il est plus facile de trouver de l’espace qu’en ville. Vous pouvez cultiver votre jardin, faire de l’élevage, installer un récupérateur d’eau de pluie, choisir votre énergie plus facilement que dans une copropriété en pleine ville… et donc vous battre pour plus d’autonomie
Pour commencer, mieux vaut privilégier un temps calme, avec un vent léger (6 à 12 nœuds) et une mer sans trop de houle que l’on retrouve généralement au printemps. Si vous avez la chance d’habiter près de l’océan, de la mer ou d’un plan d’eau intérieur, vous aurez la possibilité de pratiquer toute l’année !
La navigation est-elle difficile ? Apprendre à naviguer sur un voilier est accessible à tous, même aux débutants. Alors si vous n’avez jamais mis les pieds sur un bateau, pas de panique ! Apprendre à naviguer est très facile lorsque vous êtes guidé par un skipper professionnel qui est un bon pédagogue.
Quelle est Lallure la plus rapide en voile ?
Comment apprendre à naviguer ? Il faut d’abord commencer par les petits bateaux. Tout d’abord, habituez-vous à un bateau avec une seule voile. Procédez ensuite lentement avec les petits voiliers avec peu de câbles et de voiles. N’hésitez pas à vous faire accompagner voire à pratiquer lors de votre emménagement en habitable.
A quel âge commencer à naviguer ? A partir de quel âge un enfant peut-il commencer à surfer ? Dans tous les cas, il faut que ce soit l’enfant qui veuille naviguer, on ne forcera jamais un enfant à sortir sur l’eau. En général tout se passe bien à partir de 7 ou 8 ans.
Quelle vitesse de vent pour faire de la voile ?
Le novice devra passer deux grosses têtes pour prétendre naviguer en autonomie. Le premier niveau à atteindre (généralement après plusieurs semaines de navigation) est celui d’équipage indépendant. Un membre accompli de l’équipe doit être capable d’accomplir tout l’homme ? travaille à bord sans l’aide du skipper.
Comment progresser en voile ? Pour cela, il faut apprendre à apprivoiser les éléments et se familiariser avec le vent, les courants et la houle. La voile est donc un sport complet qui demande des connaissances théoriques – sur la météo, la mer, le vent – et un effort physique réparti sur tout le corps pour hisser les voiles et les régler.
Comment choisir son premier voilier ?
Quel est le budget pour naviguer autour du monde ? Si vous souhaitez louer un voilier pour réaliser votre tour du monde, il vous faudra entre 40 000 et 100 000 euros par an. Tout dépend si vous choisissez un monocoque ou un catamaran, ce dernier étant environ 50% plus cher.
Ces écoles sont présentes dans tous les départements, comme la voile freestyle, l’association des Glénans ou le centre de voile Macif. La Fédération Française de Voile répertorie également des centres nautiques qui proposent des cours à bord de voiliers habitables pour apprendre à naviguer, se perfectionner et devenir autonome.
Est-il difficile de conduire un voilier ? Si on regarde les statistiques de réussite du permis cabotage, on constate un taux de réussite de près de 90% au niveau national pour les validations théoriques. C’est donc un permis très accessible.
Quel bateau choisir pour commencer ?
Quelle formation pour piloter un voilier ? Pour devenir skipper professionnel, vous devez être en possession d’une qualification de capitaine de voile 200 au niveau lycée. Ce diplôme est délivré par Dirm (Directions Interregional del Mar) et peut être préparé dans un institut maritime.
Quelle est la vitesse moyenne d’un bateau ? Les voiliers (voiliers monocoques ou catamarans de croisière habitables) se déplacent généralement à une vitesse de 5 à 8 nœuds selon la force du vent (correspond à une vitesse de 9 à 15 km/h).
Quel bateau tient le mieux la mer ?
Quelle est la vitesse maximale d’un voilier ? Record de vitesse sur 500m Nommé par l’Australien Paul Larsen, il détient le record du monde de vitesse pour un voilier depuis le 24 novembre 2012 avec une vitesse sur 500m de 65,45 nœuds (121,06 km/h) et culmine à 68,01 nœuds en une seconde.
Quel est le voilier le plus rapide du monde ? video Cinquante-neuf nœuds, soit 109 kilomètres à l’heure. C’est la vitesse atteinte par l’Australien Paul Larsen à bord de son voilier Vestas Sailrocket 2.
Quel bateau choisir pour débuter ?
Quel est le record de vitesse de navigation terrestre ? Le nouveau record du monde de vitesse terrestre. Emirates Team New Zealand, l’équipe de voile néo-zélandaise, vient de battre le record de vitesse d’un véhicule éolien terrestre. Le Horonuku a atteint la vitesse impressionnante de 222,4 km/h !
Petite portée ; c’est la vitesse la plus rapide car elle combine la traînée et la portance.
Quel est le rythme le plus rapide et le plus confortable pour le modèle ? Quel est le rythme le plus rapide et le plus confortable pour le modèle ? Le vent vient du côté. C’est à cette vitesse que le bateau va plus vite, et le skipper est plus à l’aise à la navigation car les vagues ont moins d’impact. Le vent est aux 3/4 arrière.
Quel bateau pour debuter en mer ?
Quel vent pour faire de la planche à voile ? Si l’on considère les tableaux suivants, les conditions de vent idéales seraient de l’ordre de 2 à 5 Beaufort, soit 4 à 21 nœuds ou 6 à 38 km/h.
- 30 kmh de vent c’est beaucoup ? Modéré (10 à 40 km/h) Fort/Vent (41 à 60 km/h) Très fort/Vent (61 à 90 km/h) Très fort/Orageux (plus de 91 km/h)
- Choisir un voilier manœuvrable Votre premier voilier doit donc être facile à manœuvrer, pour que les manœuvres soient attractives et sûres. Il doit permettre de ressentir les éléments, apprendre à les anticiper. Son gouvernail doit être lisse et les manœuvres facilement accessibles.
- Quelle taille de voilier pour débuter ? Nous recommandons de ne pas dépasser 32 pieds pour un premier bateau. Pour un voilier, on se limite à une taille entre 24 et 28 pieds. La mise en route est plus facile, les erreurs sont moins graves et elles sont moins chères à l’achat.
- Quel voilier pour apprendre à naviguer ? Pour bien débuter la navigation, l’accompagnement est indispensable. Choisissez un petit monocoque stable, type Optimist ou dériveur, équipé de voile et de safran. Le Laser conviendra également, mais moins stable, il sera plus sportif.
- C’est pourquoi nous avons décidé de sélectionner 5 coques open de moins de 6 m parmi les principaux constructeurs du marché parfaitement adaptées au programme d’initiation : Cap Camarat 5.5 BR by Jeanneau. Quicksilver Activ 455. Cap Ferret 522 Open de B2 Marine.
Quel bateau pour 5 000 euros ? Un petit voilier à 5000€ : First 25 et Kelt 7.60 Ces deux voiliers se trouvent facilement pour 5000€ et moins. Les First 25 et Kelt 7.60 sont certainement les meilleurs voiliers du marché, meilleurs que les unités plus récentes. Ces deux voiliers sont capables de bien plus que de la navigation côtière.
Le kayak est adapté à la pêche sportive en mer ainsi qu’à la navigation sur lacs et rivières. Il est économique, facile à transporter et à mettre à l’eau, sans nuisance sonore et avec un faible tirant d’eau. L’aménagement et les manœuvres sont très simples mais l’espace à bord est encore très limité.
Quel petit bateau pour la mer ?
Comment savoir si un navire peut aller au large ?
Bateau open, le Kel White Shark 225 est très présent sur le marché de l’occasion et idéal pour débuter. Pour un Walkaround, le Jeanneau Cap Camarat 625 WA fait partie des valeurs sûres de la plaisance. En ce qui concerne les Day-Cruisers, le Quicksilver 620 Cruiser offre un bon rapport qualité-prix.
Quel type de bateau pour aller en mer ?
Quel type de navire choisir ? Si vos priorités sont la vitesse et la facilité d’utilisation, un bateau à moteur est probablement le meilleur choix. Bien qu’il y ait quelques inconvénients comme le prix du carburant ou le bruit, cette option est pratique.
Quel bateau pour faire une balade en mer ? Le plus classique : le semi-rigide Ses atouts : il est rapide, confortable et polyvalent. Si vous hésitez entre un pneumatique et un open cruiser pour une sortie en mer, optez pour un semi-rigide qui vous offrira assurément plus d’espace.
Quel bateau pour naviguer en mer ?
C’est pourquoi nous avons décidé de sélectionner 5 coques open de moins de 6 m parmi les principaux constructeurs du marché parfaitement adaptées au programme d’initiation :
Cap Comrade 5.5 BR par Jeanneau.
Comment devenir autonome en voile ?
Quicksilver Active 455.
Cap Ferret 522 Open de B2 Marine.
Bayliner E5.
Quel est le budget pour faire un tour du monde à la voile ?
Dépliant Bénéteau 6.
Quel type de navire pour traverser la Méditerranée ? L’Oceanis 60, un bateau élégant et confortable « C’est un bateau parfait pour la Méditerranée, même s’il peut aussi faire le tour du monde.
Quel bateau pour 5 000 euros ? Un petit voilier à 5000€ : First 25 et Kelt 7.60 Ces deux voiliers se trouvent facilement pour 5000€ et moins. Les First 25 et Kelt 7.60 sont certainement les meilleurs voiliers du marché, meilleurs que les unités plus récentes. Ces deux voiliers sont capables de bien plus que de la navigation côtière.
Comment financer un tour du monde à la voile ?
Le kayak est adapté à la pêche sportive en mer ainsi qu’à la navigation sur lacs et rivières. Il est économique, facile à transporter et à mettre à l’eau, sans nuisance sonore et avec un faible tirant d’eau. L’aménagement et les manœuvres sont très simples mais l’espace à bord est encore très limité.
Quel bateau sans permis en mer ? La puissance de votre bateau est inférieure à 4,5 kW (6 chevaux) Vous n’avez pas besoin de permis bateau pour naviguer en mer.
Est-ce difficile de conduire un voilier ?
Les bateaux à cabine ont une petite taille qui le rend facilement transportable, ce qui pour un bateau de ce type est très appréciable. La conduite de bateaux avec cabine est aussi souvent plus puissante et sportive, avec ce type de bateau vous pourrez pratiquer des activités nautiques en bord de mer, sur lacs ou rivières.
Quel navire pour naviguer en haute mer ? Si vous comptez naviguer en haute mer, pour pratiquer la navigation en haute mer dans un voilier au-delà de 60 milles nautiques d’un abri (un peu moins de 100 km), il vous faudra choisir un voilier de plus de 12 mètres.
Pourquoi un voilier ne peut pas chavirer ?
Pour une sortie en mer en famille, privilégiez le bateau à moteur semi-rigide. L’avantage de ces bateaux, bien qu’un peu lourds, est le confort de navigation qu’ils offrent. Ils passent facilement les vagues et ont une bonne navigation dans l’eau.
Comment savoir si un navire peut aller au large ?
Qui peut conduire un voilier ?
Le novice devra passer deux grosses têtes pour prétendre naviguer en autonomie. Le premier niveau à atteindre (généralement après plusieurs semaines de navigation) est celui d’équipage indépendant. Un membre accompli de l’équipe doit être capable d’accomplir tout l’homme ? travaille à bord sans l’aide du skipper.
Comment apprendre à piloter un voilier ? Ces écoles sont présentes dans tous les départements, comme la voile freestyle, l’association des Glénans ou le centre de voile Macif. La Fédération Française de Voile répertorie également des centres nautiques qui proposent des cours à bord de voiliers habitables pour apprendre à naviguer, se perfectionner et devenir autonome.
Comment progresser en voile ? Pour cela, il faut apprendre à apprivoiser les éléments et se familiariser avec le vent, les courants et la houle. La voile est donc un sport complet qui demande des connaissances théoriques – sur la météo, la mer, le vent – et un effort physique réparti sur tout le corps pour hisser les voiles et les régler.