Accès direct aux ambulanciers : futurs et jeunes médecins…

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Écrit par Marion Jort le 13-01-2023

En réaction au projet de loi controversé du Rist, voté mardi 10 janvier par la commission des affaires sociales du Parlement national, les futurs élus et jeunes médecins ont décidé de déposer trois amendements. « Convaincus de l’importance de la collaboration et de l’intégration dans la prise en charge des patients, l’accès direct aux IPA ou aux kinésithérapeutes doit se faire de manière appropriée », ont-ils défendu.

Ils demandent de « protéger » la loi Rist, qui a été votée mardi 10 janvier dernier par la commission des affaires sociales qui sera étudiée le 16 janvier par l’Assemblée nationale. Les représentants de l’Association nationale des étudiants en médecine de France (ANEMF), de l’Alliance intersyndicale représentant les internes en médecine générale (Isnar-IMG) et les jeunes médecins généralistes installés et mutés (ReAGJIR) ont décidé de déposer trois amendements pour amender le texte du MEP et clarifier la coopération future de tous les professionnels de la santé concernés.

Ainsi, en termes d’accès direct aux API sous forme de coordination locale, les organisations ont présenté le premier amendement qui vise à « formaliser un groupe de travail spécifique pour chaque groupe qui verra apparaître le projet structurel de santé », « la meilleure chirurgie » du IPA médecin-partenaire traitant. « Cette situation permettra notamment d’éviter d’interrompre le parcours de soins et de faire en sorte que la clarification des modalités de coopération des professionnels volontairement impliqués », affirment les jeunes, qui veulent simplement « clarifier » le discours entre suivi clinique- par MT et ce qui sera fait sans prescrire d’APN.

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Concernant l’accès direct aux kinésithérapeutes, les organisations réclament également des éclaircissements. En effet, le deuxième amendement, suggère que les méthodes collaboratives des kinésithérapeutes soient directement inscrites dans « un projet médical clairement établi et formalisé de structure » d’exercice coordonné, avec l’idée de garantir une bonne coopération. professionnels concernés et « dans l’intérêt du patient ».

Enfin, Anemf, Isnar-IMG et ReAGJIR espèrent, dans le troisième et dernier changement, que la coordination entre la prise en charge des médecins et des orthophonistes soit aussi « clairement conçue ».

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