Les opérateurs CROSS sont nos Saint-Bernard lorsque nous avons besoin d’aide ou d’assistance en mer. Ce sont souvent eux que nous contacterons uniquement en cas de souci, en omettant certaines démarches ou précautions qui leur faciliteront la tâche. Cette pratique peut souvent nous sauver la vie. Et cela en vaut vraiment la peine !
Avant de partir !
Le bateau est prêt. L’hôpital est plein à craquer. L’équipement de sécurité est parfait. L’équipage est au top.
Bref, tout est en place pour une croisière fantastique, remplie de moments de joie et de stress. En famille, vous vous créerez de merveilleux souvenirs qui resteront gravés à jamais dans vos mémoires. Pour être sûr, vous avez souscrit une assurance appropriée.
Pour un peu plus de tranquillité
Qui diable sait absolument tout de votre aventure ? Par « tout » on entend la couleur du bateau, la structure de la coque, l’état de santé de chacun des membres de l’équipage… Probablement personne, et c’est normal, aucun des membres de votre entourage ne se souvient de tout cette information. Et pourtant, dans le stress d’un éventuel incident, il y a fort à parier qu’il ne pourra pas récupérer toutes ces informations.
C’est pour cette raison que le CROSS Gris-Nez, chargé de représenter la France dans les instances internationales SAR (Search And Rescue) comme le PoC MRCC (Point of Contact), propose aux marins naviguant de déposer une déclaration de traversée.
Document volontaire et purement informatif
Ce document, volontaire et purement informatif, ne constitue pas un titre de voyage ni une reconnaissance de capacité ou de compétences de la part des autorités. Il n’oblige aucune des parties à faire autre chose que de fournir autant d’informations que possible pour que l’examinateur lise ces informations au destinataire. Et d’en faire un usage correct et prudent, bien sûr. Mais la question de la confidentialité quand il s’agit de potentiellement sauver des vies en mer ne se pose pas, soyons justes.
Document à faire vivre
Ce document, nous vous recommandons de le faire vivre. C’est-à-dire envoyer une nouvelle version, par e-mail, à CROSS à chaque fois qu’un élément majeur évolue dans votre epic. Par élément principal, nous entendons :
Bref, tout élément qui affectera votre projet doit être porté à la connaissance des opérateurs du CROSS. Nous vous conseillons de suivre attentivement les versions de ce document et des e-mails envoyés au CROSS pour éviter toute confusion.
Trop d’info ne nuit pas
Le formulaire à remplir, au format pdf, comporte 4 pages. Rien ne vous oblige à tout remplir, ni rien ne vous oblige à fournir plus d’informations que nécessaire. C’est l’usage qui sera fait de ces informations qui leur donnera sens. En principe, les opérateurs CROSS utiliseront ce qui est contenu dans ce formulaire dans les cas suivants :
Un formulaire simple à remplir
Le formulaire proposé par l’administration est extrêmement simple à remplir.
Il est organisé en 4 catégories qui doivent être remplies aussi soigneusement et complètement les unes que les autres :
Cette catégorie vous permet de connaître et reconnaître votre bateau. De la couleur de sa coque à sa marque et son année, les informations que vous fournirez permettront aux sauveteurs de s’organiser au mieux, connaissant votre bateau. Par exemple; Connaissant la marque et le modèle de l’embarcation, les canoéistes SNSM sauraient avant intervention comment la remorquer.
C’est dans cette catégorie que vous permettrez aux autorités de vous contacter pour s’enquérir de votre état de santé. Là encore, communiquez ici un maximum d’informations, par exemple les numéros de téléphone de tout l’équipage du bateau, leurs adresses mail, comptes facebook…
Cette section est la plus libre, mais probablement la plus importante. C’est sur la base des informations que vous fournirez dans cette rubrique que les autorités pourront, le cas échéant, déclencher des recherches dans une zone plutôt qu’une autre. Il est donc important que vous soyez recherché aux Maldives, par exemple, si vous avez annoncé que vous y êtes. Cette section contient des champs de texte libres à utiliser pour parler de vos habitudes de navigation et de sevan. Par exemple, vous pouvez annoncer que vous êtes en veille sur une fréquence donnée tous les dimanches de 12h00 à 15h00 TU. Le principe est que les informations qui y sont présentes sont des comportements réguliers et que vous respecterez tout au long de la croisière.
Cette section est divisée en deux parties. Ce sont les personnes à bord (l’équipage) dont vous pouvez décrire les identités, les âges et les expériences nautiques. Les contacts nationaux seront les personnes que les autorités contacteront si nécessaire.
Enfin, une zone de commentaire libre doit être utilisée, sur l’ensemble du questionnaire, pour communiquer aux opérateurs du centre de secours toute information intéressante de votre point de vue.
Ajoutez des éléments visuels
Vous avez la possibilité d’envoyer des photos du bateau et de l’équipage. Idéalement, à l’instar de ce qui se fait pour les Imoca dans le Vendée Globe, vous devez fournir une photo du bateau sous tous les angles (haut, bas, bâbord, tribord, proue, poupe) et une photo, pied et identité de chaque équipier. Par exemple, profitez du prochain carénage du bateau pour prendre toutes ces photos.
Toutes les informations, une fois complétées, doivent être transmises par mail au CROSS Gris Nez à l’adresse gris-nez@mrccfr.eu. Nous vous recommandons d’appeler le CROSS après l’envoi pour confirmer que le document a bien été reçu et qu’il est complet.
Après tout cela est fait… Bon voyage !
Les débutants s’orientent généralement vers des planches de 150 à 220 litres pour une largeur comprise entre 70 à 100 cm. Pour la sortie en mer, il est recommandé de choisir une planche de plus de 200 litres avec une longueur comprise entre 280 et 340 cm et une largeur de 68 à 85 cm.
Quel voilier pour la navigation hauturière ?
Si vous comptez naviguer en haute mer, pour pratiquer la navigation hauturière sur un voilier au-delà de 60 milles nautiques d’un abri (un peu moins de 100 km), vous devez choisir un voilier de plus de 12 mètres. Faire le tour du monde à la voile est à votre portée, mais c’est votre budget qui fera la différence.
Dans quel type de voilier devriez-vous vivre? Vivre à bord d’un voilier est un choix de vie passionnant, mais il y a de nombreuses considérations à prendre en compte… Top 10 des voiliers de croisière
- Catalina 30…
- Insulaires 36…
- Contesse 32…
- Pearson 34…
- Nordique 40…
- Peterson 44…
- Nor’Sea 27…
- Appelez le 34.
Quel est le meilleur voilier pour un tour du monde ?
Cet Oceanis 46.1, bien nommé L’Armania, est le moyen idéal pour faire le tour du monde à la voile. Récemment construit depuis l’été 2021, il dispose de très grands volumes intérieurs adaptés à une dizaine de personnes. Ils partageront les trois cabines spacieuses et bien aménagées.
Quel est le budget pour faire un tour du monde à la voile ?
Bien sûr, chaque tour du monde est différent, il est donc difficile de généraliser. Néanmoins, pour se faire une idée, l’achat d’un bateau coûte entre 50 000 et 400 000 €. La location de bateaux, quant à elle, coûte entre 40 000 et 100 000 € par an.
Quel est le plus beau voilier du monde ?
Wally esense 143 Fruit d’une collaboration entre un designer français (Odile Decq) et américain (Bill Trip), c’est le plus beau et le plus grand voilier de la marque mythique des yachts monégasques avec cette coque de 43,7 mètres, tout en carbone.
Quel bateau à moteur pour traverser l’océan Atlantique ?
Préparé au chantier Krieg, situé à une quinzaine de kilomètres au nord de Bordeaux, en bord de Garonne, le bateau de Christophe est un insubmersible Zeppelin 750 XV Pro, propulsé par l’un des derniers modèles de la gamme Suzuki, un DF300A.
Est-ce que un yacht peut traverser l’Atlantique ?
Serene traverse l’Atlantique Capable d’évoluer à une vitesse de croisière de 15 nœuds (28 km/h), Serene est un yacht parfaitement conçu pour traverser l’Atlantique.
Quelle meilleure route pour traverser l’Atlantique ?
Deux options : soit vous prenez la route orthodromique, la plus courte, quitte à couper l’anticyclone des Açores et faire beaucoup de courses automobiles, soit vous plongez vers le nord jusqu’à trouver le vent d’ouest.
Comment naviguer seul ?
Le bateau doit être adapté à la navigation en solitaire. Sur mon voilier, nous avons adapté le plan de pont pour pouvoir effectuer les manœuvres en restant à l’intérieur du cockpit. Physiquement, il faut savoir hisser les voiles ou installer un winch électrique. Un bon pilote automatique est indispensable.
Comment naviguer sans safran ? Barrez sans gouvernail contre le vent. – Coupez une ligne courte sur la chaîne, si possible avec un émerillon. – Accrocher une poulie à la poutre principale du voilier ou au taquet avant du voilier via la ficelle. – Passer ce bras dans la poulie fixée à l’étrave ou au faisceau déporté.
Quel bateau pour naviguer en solitaire ?
Naviguer seul et en famille, un petit voilier portatif suffit amplement. Naviguer seul sur un First 210 permet d’aller très loin en s’amusant et en toute sécurité. Dans l’absolu, un voilier de 6 ou 7m est donc parfait.
Quel bateau pour traverser l’Atlantique en solitaire ?
Un voilier de 9 ou 10 mètres est parfait pour traverser l’Atlantique dans un bateau facile à manœuvrer, seul ou en couple. L’idéal est d’avoir deux cabines pour, par exemple, en transformer une en local technique. Un voilier de 10 à 12 mètres permet d’avoir plus de confort et de profiter d’une troisième cabine double.
Quel est le meilleur voilier pour vivre à l’année ?
Pour la navigation hauturière, au-delà de 60 milles nautiques d’un abri, un voilier de plus de 12 mètres est idéal. Mais là encore, votre budget et le confort attendu conditionnent votre choix : un voilier de 7 m peut bien suffire à vous accueillir toute l’année.
Comment apprendre à naviguer ?
Apprendre à naviguer est un long processus qui demande beaucoup de pratique. En France, il n’y a pas de permis officiel pour pratiquer la voile. Si un permis côtier ou hauturier est un plus indéniable pour apprendre à naviguer, naviguer sur un voilier n’est pas obligatoire.
Comment apprendre la voile adulte ?
Eté comme hiver, la voile se pratique toute l’année ! Pour commencer, mieux vaut privilégier un temps calme avec un vent léger (de 6 à 12 nœuds) et une mer sans trop de houle. La première option est de se rapprocher des clubs et associations qui organisent des camps d’été pour tous les âges et tous les niveaux.
Comment faire naviguer un bateau ?
En règle générale, la navigation s’effectue au milieu du chenal. Les passages supérieurs se font comme sur la route en resserrant sur son côté droit. Le bateau qui monte est prioritaire sur le bateau qui descend. Le dépassement n’est effectué que si cette manœuvre ne présente aucun danger.
Comment naviguer par mauvais temps ?
La préparation au mauvais temps commence par l’arrimage du bateau. Ranger le bateau évitera que tout ne se promène à l’intérieur, et facilitera les manœuvres à l’extérieur en rangeant les bricoles et les effets personnels. Vérifiez que tout est solidement amarré sur le pont.
Comment savoir si on peut sortir en mer ?
Le numéro à appeler est le 3201 (accès payant). En mer, la météo marine est principalement disponible par radio, par VHF, sur ondes moyennes comme France Inter et France Info, par BLU, qui nécessite un équipement spécifique 12h17, ou par satellite (diffusion IMARSAT : tous les océans sont couverts).
Comment naviguer en mer agitée ?
Affrontez le plus possible la vague déferlante. Garde ton calme. Accrochez-vous au volant. Dites aux autres membres d’équipage d’avancer le plus possible et de s’accrocher.
Quel est le meilleur vent pour naviguer ?
Au près Cet angle auquel le voilier fait face au vent mesure entre 30° et 45° (30° pour les voiliers de course les plus performants et 45° pour les voiliers de croisière).
Comment aller plus vite que le vent ? La forme de votre voile est essentielle Une voile peut ressembler à une aile d’avion. Une voile courbée permet de jouer avec le vent apparent pour vous propulser vers l’avant – plus vite que lui !
Quelle est l’allure la plus rapide ?
Petite gamme ; c’est la vitesse la plus rapide car elle combine la traînée et la portance.
Quelle est la meilleure allure pour un voilier ?
Le faisceau Nous arrivons dans ce que nous appelons des conditions portantes. Selon les voiles à bord, vous pouvez envoyer un gennaker ou un spi. La largeur est l’allure la plus confortable car elle est rapide car le voilier ne gîte pas trop mais reste quand même calé par le vent (il ne roule pas).
Quel vent pour faire du catamaran ?
Il faut choisir un parcours suffisamment serré sans trop affecter la vitesse. Il est généralement admis de naviguer à 45-50° du vent (selon les catamarans…).
Comment naviguer par rapport au vent ?
La vitesse dépend de l’angle formé entre l’axe principal du navire (axe proue-poupe) et le vent. Lorsque le voilier est face au vent, il ne peut pas avancer ; on dit alors que c’est un vent de face. Il doit s’écarter d’env. 45° de l’axe du vent pour avancer avec ses voiles.
Comment naviguer avec le vent ?
Rapprocher le voilier du vent à 45°, le voilier navigue « plus près » Les voiles sont pratiquement inclinées dans l’axe du bateau pour que le vent reçoive un flux laminaire.
Comment orienter le bateau par rapport au vent ?
Le vent vient de l’avant du bateau et l’angle entre le vent et le bateau est d’environ 45°. Si cet angle se réduit encore, le bateau ne pourra plus avancer car le vent sera trop frontal (vent de face). C’est le rythme le plus rapide. Le voilier est perpendiculaire au vent, c’est la frontière entre le près et le portant.
Est-ce que 30 km h de vent c’est beaucoup ?
Léger (0 à 9 km/h) Modéré (10 à 40 km/h) Fort/Vent (41 à 60 km/h) Très fort/Gaz (61 à 90 km/h)
Quelle vitesse pour un vent fort ?
Si l’écart de vitesse entre le vent instantané et le vent moyen est compris entre 15 et 25 nœuds (entre 28 et 46 km/h), on parle de fortes rafales. Ce sont des rafales violentes lorsque cet écart dépasse 25 nœuds (46 km/h).
Quand est-ce que le vent devient dangereux ?
Par vent de 60 à 70 km/h vous aurez du mal à garder votre équilibre et à aller contre le vent. La combinaison de vents forts et de pluies intenses augmente le risque de branches cassées ou d’arbres déracinés.
Quand est-ce que le vent devient dangereux ?
Par vent de 60 à 70 km/h vous aurez du mal à garder votre équilibre et à aller contre le vent. La combinaison de vents forts et de pluies intenses augmente le risque de branches cassées ou d’arbres déracinés.
Comment savoir si le vent est fort ? Si l’écart de vitesse entre le vent instantané et le vent moyen est compris entre 15 et 25 nœuds (entre 28 et 46 km/h), on parle de fortes rafales. Ce sont des rafales violentes lorsque cet écart dépasse 25 nœuds (46 km/h).
Comment se forme un vent violent ?
Formation du vent : température et pression L’air chauffé se dilate et commence à se déplacer. Il s’élève et exerce une force de compression sur l’atmosphère environnante. Cette force est responsable de grands mouvements aériens.
Qu’est-ce qui crée le vent ?
A l’origine du vent, le soleil. L’air ainsi chauffé augmente de volume, il s’allège et s’élève dans le ciel. Cet air chaud qui monte rencontre de l’air froid qui descend. C’est cette différence de température entre ces deux masses d’air qui crée le vent.
Quelle force a un vent violent ?
Qu’est-ce qu’un vent fort ? La désignation de vent violent s’applique à tous les vents de force 10 à 12 sur l’échelle de Beaufort. Le nom de tempête est donc réservé aux vents moyens atteignant au moins 89 km/h (valeur minimale de force 10).
Quelle vitesse pour un vent fort ?
Un vent est dit violent et donc dangereux lorsque sa vitesse atteint 80 km/h en vent moyen et 100 km/h en rafale dans les terres. Mais ce seuil varie selon les régions, par exemple il est plus élevé pour les régions côtières ou la région du sud-est.
Quelle vitesse de vent pour s’envoler ?
Bien sûr, cela dépend de la personne. A mon avis, il faut prendre une vitesse proche de celle observée lorsqu’un corps humain est en chute libre, soit environ 200 km/h.
Quelle est le vent le plus fort ?
Le record de vitesse du vent en valeur instantanée (rafale), hors tornades, est enregistré à ce jour à 408 km/h. Ce record a été enregistré lors du cyclone tropical Olivia le 10 avril 1996 sur l’île de Barrow en Australie, vers la pointe nord-ouest de l’Australie (en bordure de l’océan Indien).
Quand le vent devient dangereux ?
Fort/Vent (41 à 60 km/h) Très fort/Gaz (61 à 90 km/h) Très fort/Force tempête (plus de 91 km/h) Force ouragan (plus de 115 km/h)
Pourquoi le vent se calme le soir ?
Le soir, cependant, la terre n’est plus chauffée par le Soleil, et la convection s’affaiblit rapidement. Les vents plus forts qui y soufflent ne sont plus chassés et n’augmentent plus la force des « vents de surface ».
Comment orienter le bateau par rapport au vent ?
Le vent vient de l’avant du bateau et l’angle entre le vent et le bateau est d’environ 45°. Si cet angle se réduit encore, le bateau ne pourra plus avancer car le vent sera trop frontal (vent de face). C’est le rythme le plus rapide. Le voilier est perpendiculaire au vent, c’est la frontière entre le près et le portant.
Comment savoir de quel côté souffle le vent ? La direction du vent est mesurée à l’aide d’une girouette dont la position peut être identifiée soit par la rotation d’un potentiomètre, soit au moyen de détecteurs photoélectriques (photodiodes ou phototransistors).
Comment font les voiliers pour avancer contre le vent ?
Comment les bateaux se déplacent-ils contre le vent ? En ralentissant le débit, une surpression se crée, qui gonfle la voile. Ces différences de pression entre les deux côtés de la voile créent une force de poussée (flèche verte) qui tire le voilier vers l’avant. Le voilier avance !
Qu’est-ce qui fait avancer un voilier ?
Il y a d’abord le vent qui souffle sur la mer, c’est le vrai vent. En se déplaçant, le bateau crée son propre vent (comme celui que l’on sent sur nos joues en faisant du vélo), c’est la vitesse du vent. D’autre part, le vent qui entraîne le bateau est composé de la vitesse du vent et du vent réel, c’est-à-dire du vent apparent.
Pourquoi un voilier remonte au vent ?
Sous un voilier se trouve l’avion anti-dérive. Il se compose de la quille (ou dérive) et du ou des safrans. Ces appendices créent un frein dans l’eau qui limite le glissement du bateau sur l’eau. Ils créent une force anti-dérive.
Pourquoi un bateau ne peut pas avancer face au vent ?
La force du vent, qui pousse les voiles, transfère à la planche du milieu, qui est sous l’eau, une force opposée. Le résultat de ces deux forces fait avancer le bateau. Le voilier n’avance pas avec le vent de face.
Comment naviguer avec un vent de face ?
Lorsque le voilier est face au vent, il ne peut pas avancer ; on dit alors que c’est le vent arrière. Il doit s’écarter d’env. 45° de l’axe du vent pour pouvoir avancer à l’aide de ses voiles. On met le bateau face au vent quand on veut affaler la grand-voile.
Pourquoi un voilier remonte au vent ?
Sous un voilier se trouve l’avion anti-dérive. Il se compose de la quille (ou dérive) et du ou des safrans. Ces appendices créent un frein dans l’eau qui limite le glissement du bateau sur l’eau. Ils créent une force anti-dérive.
Quelles sont les principales informations à retenir pour décider d’une sortie en mer ?
Vérifiez les prévisions météo avant de partir. Renseignez-vous sur les conditions locales à la Capitainerie. Informez un proche bloqué de votre itinéraire et des heures de départ et d’arrivée prévues. Informez-le de vos changements de plans et de votre arrivée à destination.
Quel vent faut-il sortir en mer ? Le mistral, la tramontane, le libeccio, le vent d’Autan, le vent marin sont les vents les plus souvent rencontrés sur les côtes françaises de la Méditerranée. Attention au vent en Méditerranée ! Ils sont dangereux du fait de leur apparition soudaine : on peut passer de la force 0 à la force 7 en moins de 20 minutes.
Comment rédiger un rapport de mer ?
Comment rédiger un rapport de mer ? D’un point de vue technique, le rapport de mer est toujours divisé en trois parties bien distinctes. La première (introduction) et la dernière partie (conclusion) sont invariables et contiennent toujours les mêmes formules.
Comment s’appelle l’accident d’un bateau ?
Du latin naufrage, casse d’un navire et plus généralement la perte d’un navire par fortune en mer, un naufrage est la perte totale ou partielle d’un navire par accident. Un naufrage peut se produire non seulement en mer, mais aussi en navigation fluviale ou lacustre.
Quand sortir en bateau ?
En général, le marin occupé est soucieux de savoir si le soleil viendra et de connaître la force du vent. Cela peut suffire si vous ne sortez qu’une heure ou deux, mais faites tout de même attention à l’état de la mer, surtout si la météo a été mauvaise la nuit précédente. Au-delà, mieux vaut être un peu plus précis.
Quelle est la meilleure météo marine ?
L’application de météo marine que j’utilise le plus est celle de Météo Consult. Météo Consult est une société française créée en 1988. Depuis 2008, elle fait partie du groupe Figaro. La société utilise des modèles des États-Unis et d’Angleterre pour faire ses prévisions.
Comment savoir si on peut sortir en mer ?
Le numéro à appeler est le 3201 (accès payant). En mer, la météo marine est principalement disponible par radio, par VHF, sur ondes moyennes comme France Inter et France Info, par BLU, qui nécessite un équipement spécifique 12h17, ou par satellite (diffusion IMARSAT : tous les océans sont couverts).
Comment savoir si on peut sortir en mer ?
Le numéro à appeler est le 3201 (accès payant). En mer, la météo marine est principalement disponible par radio, par VHF, sur ondes moyennes comme France Inter et France Info, par BLU, qui nécessite un équipement spécifique 12h17, ou par satellite (diffusion IMARSAT : tous les océans sont couverts).