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Evasion : direction l’Antarctique, le paradis blanc

Evasion : direction l'Antarctique, le paradis blanc

Le voyage promettait monts et merveilles. Mille fois imaginée en France, imaginée dans un avion, rêvée d’arriver à Ushuaïa, l’Antarctique a su nous surprendre. Ses parties sont impures, apparemment piétinées pour la première fois. Son tourbillon d’images est toujours net, figé. Sa lumière éblouissante et son aube jusqu’à minuit au sud, là où le soleil ne se couche jamais. Mais l’Antarctique est important. Au moment où nous avons embarqué à bord du Boréal de la Compagnie Marseille Ponant à Ushuaïa, la capitale de la Terre de Feu, nous avions déjà traversé la route, franchi les barrières d’hygiène. Drake Passage nous attend toujours : deux jours de mer déchaînée, accompagnés d’albatros du Cap à ailes noires et blanches et de damiers. En marchant aussi avec les baleines. Commencer des miracles.

Dans ces terres lointaines et inhabitées, les animaux ne sont pas intimidés par les humains. Manchots, phoques ou otaries à fourrure peuvent être accédés et observés sans crainte, un rare privilège.Photo M.DG.

Le voyage proprement dit a commencé lorsque nous sommes arrivés dans les Shetland du Sud, les îles antarctiques bordant le continent. Chaque jour, nous nous dirigions vers les semi-rigides, surveillés par des cosmologistes et des marins du XVe siècle, vêtus de l’équipement du monde. Marcher une à deux heures sur les rochers ou dans la neige, passer à plusieurs degrés de sécheresse, ou marcher sur l’eau pour se perdre, la glace est prête à « se reproduire » (bloc de brise-glace notamment), les animaux sont dans le l’eau. au milieu d’une partie de chasse.

A côté des nids de manchots papous, à jugulaire ou Adélie, des naturalistes, posés sur une horloge, ont révélé les mystères du monde blanc : faisant la cour, avec leur arc de poésie, leur cri au ciel, ou un galet donnant un manchot papou à sa compagne . pour le séduire. Des réunions, des « jardins d’enfants » pour protéger les jeunes, des attaques de skuas terribles aussi, ces oiseaux volent des œufs. Le monde sauvage, dans les années soixante, n’a pas peur de l’homme. Elle se laisse remarquer, ridiculiser par ses invités, dans une merveilleuse relation intime.

Dans ces terres lointaines et inhabitées, les animaux ne sont pas intimidés par les humains. Manchots, phoques ou otaries à fourrure peuvent être atteints et observés sans crainte, un rare privilège.Photos M.DG.

Alors que nous roulions vers l’Antarctique, le long de la péninsule, il faisait un peu plus sombre et plus clair. Half Moon, Trinity island, Cierva Cove, Portal point, Enterprise island, de nombreuses escales et découvertes. Lorsque nous sommes arrivés au port de Neko, l’épicentre du voyage, la mer était couverte de « sarrasins », la glace dont la glace était gelée. De grands glaciers, des cathédrales de neige de plus de 20 m de haut découpent leur silhouette surréaliste dans une eau rougeoyante.

Notre dernier arrêt, cependant, était loin d’être une image inalpinale. Vers la fin du trek, Le Boréal est entré, à l’aube, dans une « caldeira » spectaculaire, une montagne brisée et une inondation. Dans ce lieu pas trop froid mais aux miettes noires et encres, immergé dans « l’île d’accueil », se dressent ouverts, tristes et charmants, les vestiges d’une ancienne station baleinière, transformée en base scientifique et détruite par la boue qui en résulte. éruption volcanique en 1969. Un rappel, sans doute, que l’homme ne peut venir qu’avec beaucoup de respect dans ce fragile paradis blanc où la nature règne le plus.

Nous étions intéressés par : le professionnalisme et l’extraordinaire gentillesse du personnel. Découverte et méthodes intéressantes des explorateurs naturels. Talent de photographe et de vidéaste. Une ambiance conviviale favorise les rencontres, notamment pour les voyageurs privés.

Nous n’avons pas aimé : les spectacles de danse le soir, un peu.

Respecter

Dans ces terres lointaines et inhabitées, les animaux ne sont pas intimidés par les humains. Manchots, phoques ou otaries à fourrure peuvent être atteints et observés sans crainte, un rare privilège.Photos M.DG.

Membre bénévole de l’association touristique de l’Antarctique, Iaato, Ponant utilise ses caractéristiques pour stabiliser au maximum ses opérations. Le navire est toujours stationné seul à l’escale, et ne prend jamais plus de 100 passagers au sol à la fois. Encadrés par 15 naturalistes passionnés, animateurs et chercheurs, ils sont invités à respecter un certain nombre de règles : désinfection des chaussures, des cannes et de trois photos lors du débarquement et de l’embarquement, interdiction d’apporter de la nourriture, des objets pouvant voler jusqu’à un petit caillou, jusqu’à 5 mètres d’animaux (voir 15 ou 25 m s’il s’agit d’espèces plus faibles), polluant les cours d’eau, empruntant les « grandes routes des manchots » (routes souvent empruntées en colonies) ou coupant. à l’arrêt. « Les animaux, nous les respectons, nous les recevons », résume Valentin Nivet-Mazerolles, zoologiste et biologiste au Boréal.

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EN IMAGE – Le bateau de croisière sur ce vieux gréement hollandais…

Pratique

Le navire emmène ses passagers à Ushuaïa.Photo M.DG.

Voyage : Le navire récupère ses porte-avions à Ushuaïa, dans le sud de l’Argentine. Voler vers Buenos Aires est à leur charge, puis le Ponant propose un vol mariage Buenos Aires-Ushuaïa inclus dans le ferry.

Budget : Prévoyez jusqu’à 8 000 $ par personne en cabine double sur l’un des navires de la classe Boréal pendant 10 jours avec la prime Bonant, qui est remise aux passagers réservant à l’ouverture du voyage, quelques mois plus tard. Sans les bonus, c’est 11 000 € par personne en deux cabines… et jusqu’à 25 000 € par personne et par propriétaire de combinaison. Restauration, open bar, expéditions, conférences incluses, événements similaires ou achats à bord sont ajoutés.

À bord du Boréal

Si les déplacements restent importants, le luxe au Boréal vaut le détour. Le navire, à sept degrés, dispose de deux restaurants proposant une cuisine gastronomique le soir, sous forme de buffet le midi. Le travail en salle se retrouve en continu, et le goût est toujours au rendez-vous (caviar, jambon Pata Negra, macarons Ladurée, etc.). Deux salles, dont une panoramique, où boissons et cocktails sont servis, permettent de lire ou de se mêler. Le bateau dispose d’une salle de sport intérieure face à la mer, d’un spa avec hammam et d’un salon de coiffure. La boutique de souvenirs haut de gamme est ouverte à bord, ainsi qu’un théâtre et une piscine extérieure chauffée sur demande. Enfin, « Studio Ponant », permet de voir le travail d’un photographe et vidéaste. Bonus : les invités en costard ou VIP (surtout les jeunes mariés) bénéficient des services d’un professionnel attentionné…

Le saviez-vous ? Les Aigles du Mali tirent leur nom de l’Aigle allemand et ont été inspirés par Salif Keïta Domingo ! Le leader bleu et les membres de sa délégation ont visité les mémoriaux du football malien et africain des années 70, Salif Kéita dit « Domingo » à son domicile.

Est-ce que le Mali a changé sa monnaie ?

Quel est l’animal qui représente le Burkina Faso ?

Les joueurs de l’équipe nationale du Burkina Faso appelés les Etalons font référence aux armoiries du pays et la légende de Mossi, un hymne national, a une histoire associée à cette bête.

Quel animal représente le Cameroun ?

Quel animal représente chaque pays ?

Grèce – Phoenix (blé)

Quel est l’animal qui représente la mort ?

Que symbolise la mort ? Dans les signes de mort les plus courants, on retrouve principalement le crâne (crâne orné de deux machines), le squelette, la tombe et d’autres animaux comme une chouette, une chauve-souris ou un corbeau. Mais le plus grand symbole de la mort est The Grim Reaper.

Quels sont la devise du Mali ?

Son thème est « Une personne – Un but – Une foi » et son drapeau se compose de trois lignes droites vertes, jaunes et rouges. La République du Mali a conservé les frontières héritées de la colonie, celle du Soudan français.

Qu’est-ce que l’argent du Mali ? MALI : FRANC CFA (XOF)

Quelle est l’emblème du Mali ?

Le symbole de la République du Mali a la forme d’un cercle. Sur le dos bleu on peut voir : Au milieu, la mosquée de Djenné. Au-dessus de la mosquée, un aigle d’argent vole.

Qui est l’homme le plus riche du Mali ?

Propriétaire et à la fois premier fournisseur de l’Hôtel Salam et du Grand Hôtel de Bamako, Mossadek Baly est également actionnaire de BOA. L’homme d’affaires a fait fortune en vendant des biens immobiliers. Sa fortune est estimée à plus de 50 milliards de FCFA en immobilier.

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