Le tissu économique de l’île souffre des effets de l’épidémie de Covid-19 jusqu’ici masqués par les dispositifs d’aides gouvernementaux, le tout combiné à l’inflation actuelle. Le type d’entreprise engagée dans ces démarches collectives évolue, désormais des immeubles de 10 salariés et souvent implantés depuis plusieurs années sont concernés, selon Gilles Filippi, président du conseil d’entreprise de Bastia.
+ 65 % de faillites, faillites et redressements judiciaires confondus, + 40 % d’ordres de paiement, soit 200 millions d’euros annuels de faillites d’entreprises, en conséquence, des dettes d’importance publique (URSSAF, retraites) mais aussi pour les commerçants avec, clairement, conséquences négatives.
« Avant, nous avions de très petites entreprises, avec 1 ou 2 salariés », explique Gilles Filippi. « Maintenant, le problème que nous avons, c’est que nous nous retrouvons avec des entreprises qui se redressent ou qui ont réduit un total de 10 employés. Cela signifie donc que nous avons dépassé le plafond de verre. »
« Des conséquences plus importantes à venir »
Et d’ajouter : « Effectivement, il y a des PGE non réglementés, des URSSAF non réglementés, des caisses de retraite, la TVA, etc. ce qui n’est pas payé est une créance irrécouvrable, ce sont donc des problèmes de trésorerie, et ainsi de suite, comme aujourd’hui le nombre d’entreprises faisant faillite et liquidées est plus important, il y aura des conséquences, à notre avis, encore plus importantes à venir.
Pour le « rétablissement de l’ordre économique », les autorités ont également opéré un changement dans le trou concernant le non-archivage des dossiers et du registre avec un système de sanctions, accompagné de l’effet réel de la prévention et de la prévention, montre l’accusation.
S’appuyer sur les outils de prévention
Créer une entreprise, une solution de repli pour les autres en temps de crise Dont les fronts sont désormais acceptés par de nombreux employeurs comme un revenu supplémentaire lorsque l’itinéraire n’est pas le bon à prendre, le environ 1 600 immatriculations de sociétés commerciales d’ici 2022.
Pour passer à l’action, le président de l’Etat a demandé aux entreprises de s’appuyer sur ses équipements de prévention mais aussi d’avoir plus de liens avec les chambres consulaires, les services de l’Etat et autres comptes, exhortant le tissu économique de l’île à se déplacer vers les secteurs très exploités de la futur. , énergie environnementale, propre et renouvelable à fort potentiel dans notre domaine.
« Les commerçants doivent comprendre que la Chambre de Commerce dispose de solutions de sécurité plus complètes et plus importantes qu’aujourd’hui, sur la base de l’Etat-Providence » conclut Gilles Filippi.