« Des frais ? Ah… » En forçant le trait, telle est la réaction qu’ont de nombreux héritiers quand on leur apprend que la banque a prélevé des frais de traitement de la succession et autres frais annexes liés à la clôture du compte du défunt. Comment la banque informe les héritiers de ces frais ? A quel moment peut-on constater comment ils ont été calculés ? Témoignages.
La perte d’un être cher est une tragédie difficile à décrire par écrit. Mais ce qui s’est passé peut être encore plus douloureux lorsque les méthodes attirent l’attention… En effet, pour la famille, lorsqu’il s’agit de gérer « après » le décès, c’est-à-dire les mois nécessaires au règlement des biens, les comptes bancaires sont nombreux. effectivement presque invisible. Par leur nombre, « faibles » en termes de frais funéraires et de frais de notaire, et en termes de droits de succession à verser à l’Etat si le montant en jeu est élevé.
Les frais de la banque liés à la gestion des biens d’un client décédé ne sont pas fixes : pas de plafond, pas de dénomination officielle, et pas de livret d’information particulier… si ce n’est l’état général du compte d’escompte pour le client, de son vivant. Apparemment, ces frais – que les banques justifient de manière plus longue et plus compliquée que la fermeture d’un simple compte – sont prélevés sur les biens du défunt avant que les frais ne soient saisis chez le notaire et restitués aux héritiers. Dans ce calendrier particulier, outre la situation générale, le décompte du décompte n’est pas visible par la personne qui tient le compte… et ce décompte n’est porté qu’aux héritiers en fin de succession.
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