Surchauffée par un soleil de plomb en plein été, l’Andalousie est plus hospitalière et plus douce en hiver. C’est alors une destination idéale à découvrir en camping-car. Car en dehors de son climat, cette région cache une culture riche et variée, issue du mélange des civilisations arabe, juive et chrétienne. Nous vous emmenons dans cette province admirable au patrimoine riche et remarquable.
Après avoir parcouru de nombreux kilomètres sur des routes 2×2 monotones, nous voyons la blancheur du village debout de Mojácar qui marque la frontière andalouse. Lacôte al Carboneras, nous laisse un peu sur notre faim. Une ancienne tour, qui surveillait à l’époque les incursions des pirates, est entourée d’hôtels, fruit du tourisme de masse, que nous fuyons.
Les superbes paysages du parc naturel de Cabo de Gata-Níjar ont été préservés. La route blanche serpente entre des collines et des rochers colorés rappelant l’exploitation minière. Nous prenons de la hauteur pour atteindre un belvédère, d’où nous profitons d’un admirable panorama. En bas, Las Negras, un petit village tranquille qui invite à la détente. Plus loin, LaIsleta del Moro et son promontoire peuplé d’oiseaux marins est une étape à ne pas manquer.
De nombreux camping-cars bivouacent sur la plage, mais le stationnement est interdit. C’est vrai que passer la nuit dans un tel endroit est tentant. Nous préférons pousser jusqu’à Los Escullos. Quelques cabanes cachées dans la végétation, un vieux fort du 18ème siècle et des falaises déchiquetées ajoutent à cette ambiance apocalyptique.
La route nous mène vers l’inconnu. On se perd même joyeusement à la rencontre de petites fincas (fermes traditionnelles), perdues au milieu des poires et des agaves importées du Mexique au 16e siècle par les conquistadors. Nous passons la nuit à Las Salinas, près des salines (vous l’avez deviné) et d’une église face à la mer. Les bateaux sont encore amarrés à d’anciens treuils. Pas mal de camping-cars sont garés à côté de nous, leurs occupants profitant du magnifique coucher de soleil.
Table des matières
Almería, la multiculturelle
Phéniciens, Romains, Vandales, Wisigoths et Byzantins ont laissé leur empreinte sur le port stratégique d’Almeria. C’est au Xe siècle que les Arabes construisirent une tour de guet Al-Mariya, qui donna son nom à la ville avant de devenir une forteresse dominant la ville. Le parking gratuit sur la côte [GPS : (N)36°49’26”/(W) 2°26’46”] est un peu éloigné, mais très pratique pour rejoindre le centre-ville en une demi-heure. à pied, le long de la côte.
Nous arrivons à l’Alcazaba, la célèbre forteresse. La première zone est occupée par de beaux jardins traversés par de petits canaux, symboles de la culture islamique. La seconde protège les citernes, une maison reconstituée avec sa cour ainsi que le palais du calife où l’on peut voir des trèfles soutenus par des colonnes de marbre. Au sommet, la forteresse gothique, construite par les rois catholiques, rappelle le rôle défensif de la place. Les remparts ocre, en pisé, rappellent les kasbahs d’Afrique du Nord. La vue sur les maisons colorées du quartier Chanca clôt notre visite. Pour apprécier pleinement Almería, n’hésitez pas à vous arrêter à la Plaza de la Constitución, un ancien souk arabe où vous pourrez admirer les palmiers filiformes qui dominent les édifices. Perdez-vous dans les ruelles où de petites épiceries vendent l’essentiel. Vous arriverez enfin sur la place de la cathédrale, un édifice monumental construit au sommet d’une ancienne mosquée.
Nous poursuivons notre circuit sur la route côtière. Une erreur à ne pas répéter, car jusqu’à Salobreña, on passe devant un paysage envahi de plastique qui s’étend à perte de vue. Après cette centaine de kilomètres parcourus, nous arrivons enfin à un bel endroit : le pied de la vieille ville de Salobreña. Un grand parking bien aménagé [GPS : (N)36°44’22”/(W)3°35’20”] sera une halte ravitaillement. Des volées de marches, des ruelles verdoyantes et de charmants habitants nous mènent au fort. Le château, avec ses thermes et ses citernes, est bien restauré. Un beau sentier dévoile à son pied un entrelacs de maisons cubaines blanchies à la chaux. Les champs de canne à sucre et d’arbres fruitiers s’étendent à perte de vue. Les petites rues du village sont entièrement piétonnes. Les habitants rivalisent d’imagination pour embellir les façades avec des pots de fleurs, du carrelage, de la faïence et une collection d’assiettes colorées…
Un petit détour par La Axarquía
Armés du dépliant offert par l’Office de Tourisme de Nerja, nous arrivons à Frigiliana, l’un des plus beaux villages de La Axarquía. Planté au milieu d’un paysage vallonné où les orangeraies rivalisent avec les plantations de kiwis, ce gros village aveuglant de blancheur apparaît au détour. Comme toujours, il faut se garer au plus vite pour attaquer les ruelles escarpées, où quelques tuiles apportent une touche colorée. Quelques boutiques, les odeurs alléchantes d’un petit restaurant sur une place d’où l’on aperçoit la mer… On se croirait à Sidi Bou Saïd, en Tunisie.
La route continue à tourner doucement vers Cómpeta. En prenant le clocher de l’église comme point de repère, nous arrivons sur une charmante place où les personnes âgées se prélassent au soleil. Le village est connu pour sa production de vin. Vous pouvez également rapporter des bouteilles via l’épicerie Emilio Fernández Rodríguez. Le vin, dulce etse, gorgé de soleil et agréable à l’apéritif, se vend autour de 3 € la bouteille. De plus, une petite échoppe vend du miel à 7 € le kilo.
Sur les contreforts de la Sierra de Tejeda et Almijara, des coteaux de vignes et des plantations d’orangers parsèment le paysage. Après Sayalonga et Algarrobo nous décidons de rejoindre Málaga, où les places de parking sont, hélas !, très rares pour les camping-cars. Il est donc préférable de redescendre vers la côte pour trouver un endroit où camper.
Málaga, ce n’est pas que du vin
Connue pour son vin doux, Málaga est aussi une ville magnifique, très animée. Pour se garer, on privilégie le parking souterrain le long de la rue Gorki [GPS : (N)36°43’2”/(W)4°20’55”]. Puis, en 40 minutes à pied, nous atteignons le centre. En chemin, arrêtez-vous au café Casa Baro. Depuis 1952, vous pourrez y déguster de merveilleux churros au chocolat. Place de la Constitución, la cathédrale est un mélange impressionnant de styles gothique, Renaissance et baroque ! Mais le point culminant est le centre de Malaga, la rue Alcazabilla, avec le théâtre romain au premier plan et les puissants murs de l’Alcazaba complétant la scène. Des acrobates animent le lieu. Le centre-ville est entièrement piéton et cyclable. Le dimanche après-midi, après 14h, la visite du palais forteresse est gratuite. De lourdes portes à colonnes romaines s’ouvrent sur un système de chicanes destiné à arrêter les envahisseurs potentiels. Au-delà des deux rangées de fortifications, on arrive à des terrasses et leurs jardins fleuris. On respire le parfum délicat du jasmin et des orangers en se laissant bercer par le ruissellement de l’eau des fontaines. Au sommet, le palais du sultan, conçu autour de trois cours, rappelle un peu l’Alhambra de Grenade. La ville moderne et l’Avenida Marqués de Larios, une concentration d’immeubles de grande hauteur du XIXe siècle et de boutiques de luxe, valent également le détour. Nous vous conseillons de terminer cette journée dans les palmeras de los Curas, ce vaste poumon vert se situe face au port.
Antequera, symbole Renaissance
Plutôt que d’aller directement à Grenade, nous décidons de suivre les conseils des concessionnaires automobiles, qui ne taisent pas d’éloges sur Antequera. Pour y arriver, vous avez deux options. Les plus pressés emprunteront la voie rapide, les autres la MA-424 qui serpente et traverse le Parc Naturel d’ElTorcal. Un grand parking avec vue sur la forteresse vous attend à l’entrée d’Antequera. L’endroit est tellement connu qu’il est parfois complet. Dans ce cas, garez-vous à proximité du stade [GPS : (N)37°1’17″/(W)4°34’19 »]. Quoi qu’il en soit, vous êtes à 10 minutes à pied du centre-ville. Au sein de cette communauté, il n’y a pas moins de 27 églises, qui sont souvent adjacentes à un monastère. A croire qu’au XVIème siècle, les congrégations se donnèrent le mot de s’installer ici. L’Office de Tourisme distribue gratuitement un plan avec un circuit indiquant tous les édifices, y compris les palais.
Grenade et son Alhambra
Il y a des endroits difficiles à décrire, mais où l’on se sent obligé de revenir. L’Alhambra de Grenade en fait partie. Mais d’abord, il faut se garer. Depuis peu, un parking accepte les voitures, juste à côté de l’entrée du monument (billetterie). On reconnait que c’est très pratique, mais le prix est prohibitif (32,90 € pour 24h, du 1er octobre au 31 mai ; 60,10 € en haute saison). Les sages qui penseraient éviter le problème en se garant sur le petit parking - évoqué par une application collaborative bien connue - risquent de s’en mordre les doigts. Plusieurs propriétaires de voitures ont dû payer un supplément élevé pour s’y installer.
La meilleure solution est de s’arrêter sur un grand parking gratuit à Albolote [GPS : (N)37°13’40”/(W)3°39’7”] et de prendre le tram qui vous amène à Avenida de la. Constitution (gare de Caleta). Il vous faudra ensuite marcher une bonne demi-heure pour monter au sommet de l’Alhambra et acheter vos billets. Mieux vaut cependant planifier sa visite et acheter son billet d’entrée en ligne, et pourquoi pas, se faire accompagner d’un guide. Armés du précieux sésame, nous attendons notre tour pour visiter les palais nasrides, l’Alhambra par excellence : salles couvertes de stucs finement sculptés, plafonds en marqueterie de cèdre et mucarni dans la salle Barque, murs recouverts de tuiles colorées qui jouent avec la lumière… Alors bien des merveilles. nous donnerait presque le vertige.
Le Mexuar se reflète dans un magnifique bassin. Les marbres sont omniprésents, la cour des Lions nous laisse sans voix. On revient admirer une petite fenêtre finement décorée qui donne sur un jardin fleuri d’orangers. Retournez en revue quelques détails et souvenez-vous de ce lieu unique qui a surpris les rois catholiques lorsque le sultan Boabdil a définitivement abandonné cet ensemble médiéval aux mille et une beautés. Ne manquez pas le palais et les jardins du Generalife. Vous découvrirez le génie des Maures pour l’art du jardin, le jeu de l’eau et celui de la lumière. Ici le parfum du jasmin domine, il ne manque plus que le son du luth pour changer d’époque.
Vous terminerez par la visite de l’Alcazar, la forteresse qui domine les palais. Modèle de système défensif avec chicanes, courtines, créneaux, cet édifice offre un excellent panorama sur le quartier de l’Albaicín. Le matin, les rayons du soleil illuminent la vieille ville arabe de manière idéale, une pure vision de carte postale. Sous la forteresse, le quartier de la cathédrale dévoile quelques trésors. Nous vous proposons de passer par la chapelle royale, de style gothique, protégée par un superbe portail en fer. A côté, l’Alcaicería, un vieux souk un peu encombré de boutiques de souvenirs. Enfin, la rue Reyes, le corto del Carbón est un ancien caravansérail où logeaient les marchands.
Passez votre après-midi à vous promener dans l’Albaicín et le quartier gitan de Sacromonte. Ici, cactus et agaves poussent entre les rochers et les maisons. De nombreuses cuevas (maisons troglodytes) ne sont plus habitées, mais il est possible d’en visiter certaines, qui abritent désormais des salles de danse.
Au coucher du soleil, de nombreux touristes se rassemblent au belvédère de SanNicolás pour jouer avec la caméra. Sur la place, il n’est pas rare de croiser un guitariste accompagnant des danseuses de flamenco. Cette musique et cette danse ont contribué à créer l’atmosphère chaleureuse de Grenade.
Baeza et Ubeda, au Patrimoine mondial de l’Unesco
Avec ses oliveraies s’étendant sur des kilomètres, la région entre Jaén et Ubeda est célèbre pour son huile. Dans chaque village, un moulin dédié tourne à plein régime. A Baeza, la zone ouverte avec services [GPS : (N)37°59’45”/(W)3°27’35”] est située près de la gare routière, à 500m du centre. Lacalle SanPablo mène à la vieille ville universitaire.
Du magnifique palais Jabalquinto, avec ses pics et pics de diamant, à la petite Piazza del Pópulo, une série de monuments de la Renaissance vous attendent. Là, une ancienne fontaine aux Lions fait face aux anciens abattoirs et à la Maison du Peuple, de style plateresque. Ce dernier abrite l’Office de Tourisme.
En fin de journée, lorsque la lumière se fait plus douce, flâner dans l’ancien quartier médiéval, Plaza Santa Cruz… est un vrai plaisir. Nous nous attendons à rencontrer le capitaine Alatriste, héros d’Arturo Pérez-Reverte. Nous terminerons dans la pâtisserie du square de la Constitution, qui fait de délicieux beignets fourrés à la confiture de citron. Vous nous en parlerez.
Seulement 10 km nous séparent d’Ubeda et de sa zone – elle aussi gratuite – très bien située [GPS : (N) 38°0’23”/(W) 3°22’45”]. Sur place, on peut se procurer une excellente huile d’olive de la coopérative La Carrera (22,50 €, bidon de 5 l). En remontant l’avenue de la Constitución, vous trouverez une épicerie fine qui vend un excellent jambon ibérique, et une pâtisserie dont les gâteaux aux amandes raviront vos papilles. Il y a aussi une churreria typique où les habitants aiment se retrouver pour tremper leurs churros dans du chocolat crémeux. Après les plaisirs gustatifs, vous admirerez l’excellent clocher aux tuiles vernissées de l’ancien hôpital de Santiago et le palais de la Calle Real. Bien caché dans une belle maison mudéjare aux cours fleuries, le petit musée archéologique nous a beaucoup plu. Plusieurs œuvres d’art islamique diffusées après la reconquête, pendant la période de tolérance, y sont exposées. La place Vásquez de Molina avec sa fontaine, ses églises et ses édifices civils d’une rare harmonie architecturale, termine notre visite. Et c’est du haut des remparts, le regard rivé sur les oliveraies, que nous aimons rêver à notre prochain voyage dans cette incroyable Andalousie, où il reste encore tant à découvrir.
Comment se déplacer en Andalousie ?
Comment voyager entre Séville et Cordoue ? Pour faire la liaison entre les deux villes, rien de plus simple : la compagnie ferroviaire Renfe effectue le trajet Séville-Cordoue en train au départ de la gare de Santa Justa à Séville et en arrivant à la gare de Cordoue plusieurs fois par jour en moins de trois mois. quinze minutes
Comment visiter l’Andalousie ? 1. Visiter l’Andalousie en 7 jours : Séville (2 nuits)
- Visitez l’Alcazar de Séville (billet coupe-file)
- Découvrez la Place d’Espagne.
- Entrez dans le Metropol Parasol.
- Visitez la cathédrale Notre-Dame du Siège de Séville (sautez le billet)
- Voir un spectacle de Flamenco.
- En option (fin mars-octobre) : voir une corrida.
Comment se déplacer en Espagne sans voiture ?
Vous pourrez découvrir la capitale catalane à vélo, en métro ou en bus, qui sont de belles alternatives à la voiture et à d’autres modes de transport tout aussi intéressants et plus efficaces pour s’imprégner de l’ambiance de la ville.
Quel est le moyen de transport le plus utilisé en Espagne ? Les bus sont le moyen de transport le plus utilisé en Espagne. En général, elles sont modernes et confortables. Le prix du billet est presque un sixième des taxis et ils respectent les horaires. Si vous utilisez Google Maps, vous pouvez facilement vérifier votre itinéraire et planifier votre voyage.
Comment fonctionnent les bus en Espagne ? Le bus : plus de 200 lignes de bus parcourent la ville de 6h à 23h. De plus, il existe des bus de nuit appelés « Búhos » qui permettent de se déplacer dans la ville entre 23h30 et 5h00 environ.
Quel est le plus bel endroit de l’Andalousie ?
Le Caminito del Rey est l’un des sites touristiques naturels les plus spectaculaires d’Andalousie.
Comment faire le tour de l’Andalousie ?
200 kilomètres séparent Cordoue de Grenade. En voiture, il vous faudra environ 2 heures pour faire le trajet à travers les paysages arides de l’Andalousie. Se rendre dans ces deux villes en train est également possible. Plusieurs fois par jour, des départs vous permettront d’arriver à destination en une heure et demie.
Quelle est la meilleure période pour visiter l’Andalousie ? Bien que l’Andalousie se visite toute l’année, les meilleurs mois pour découvrir le sud de l’Espagne sont avril, mai et juin, ainsi que septembre et octobre, lorsque les températures sont douces et le paysage coloré.
Quel est le plus bel endroit d’Andalousie ? Le Caminito del Rey est l’un des sites touristiques naturels les plus spectaculaires d’Andalousie.
Où A-t-on le droit de dormir avec un camping-car ?
Le stationnement est autorisé partout, ainsi que pour un véhicule léger comme votre voiture. Or, il arrive que des communes adoptent des arrêtés interdisant le stationnement de certains types de véhicules sur tout ou partie de leur territoire.
Où sommes-nous autorisés à dormir dans un van ? En France, en principe, rien n’interdit de dormir dans son véhicule, qu’il s’agisse d’un van équipé, d’un camion équipé, d’une voiture ou d’une camionnette. Donc, et sur le papier, il est donc possible de dormir n’importe où.
Où puis-je garer mon camping-car ? Un camping-car peut être « garé » exactement aux mêmes endroits qu’une voiture : sur un parking situé dans la rue ou sur le parking d’une grande surface ou d’une aire d’autoroute (sauf arrêté préfectoral ou limite de hauteur de clôture).
Comment vivre dans une voiture toute l’année ? Pour vivre toute l’année dans un camping-car et bénéficier d’une adresse, s’inscrire au CCAS ou au CIAS est une bonne solution. Cependant, vous devez avoir un lien avec la commune où vous faites la demande, tel que : lieu de résidence à la date de la demande, activité professionnelle dans la commune, liens familiaux…
Puis-je garer mon camping-car dans la rue ?
Stationnement : ce que dit la loi en France Par rapport au code de la route, une voiture appartient à la même catégorie que les voitures, camionnettes et camionnettes et peut circuler et stationner en ville, dans la rue, sur la voie publique, de jour comme de nuit, tant qu’il respecte le règlement.
Quelle réglementation pour les automobilistes ? Les véhicules récréatifs peuvent se garer partout où les voitures peuvent se garer, sauf interdiction contraire. Veillez donc à suivre les panneaux. Une fois garé, il est possible de dormir dans votre camping-car, tant que vous ne faites aucun acte de camping sur la voie publique.
Puis-je garer mon camping-car devant chez moi ? Si vous souhaitez garer votre véhicule sur votre propriété, vous êtes libre de le faire comme bon vous semble. Si le terrain est en copropriété, vous devez vous référer à son règlement.