KO debout

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Rédactrice passionnée qui a vécu dans plus de 25 pays toujours à la recherche de la dernière information.

Parce que l’information financière se déguste comme des petits pains, chauds et au petit-déjeuner, Anthony Bondain se lève aux aurores pour vous donner la Matinée Conférence tous les matins. Journaliste financier et trader financier depuis plus de 20 ans, chroniqueur incomparable et leader flegmatique, il en est le rédacteur en chef. – PDG de ZoneBourse. &#xD ;

&#xD ; Les turbulences sur les marchés financiers sont loin d’être résolues et les investisseurs ont encore pris un coup hier avec l’avortement aux États-Unis, qui a entraîné une sixième séance de baisse du S&P500. Une petite musique de capitulation se fait entendre dans les couloirs des boutiques de change. Le dollar monte, le pétrole baisse et l’argent baisse. Eh bien, c’est raté. Wall Street a feint la reprise hier, après cinq séances consécutives de baisse pour le S&P500. Mais l’indice large américain a terminé à -0,21 %. A noter que le Nasdaq a maintenu un gain de 0,16% en fin de cours. Cependant, il a perdu plus de 2% au début du programme, donc… En Europe, c’était le chaos à la fin, avec des écarts entre un gain de 0,5% en Suisse et une baisse de 0,7% en Allemagne. Toutes ces différences montrent que les commerçants ne savent plus vers quel Saint se tourner depuis que la Sainte Fed a cessé de multiplier les pains de dollars et que d’autres apôtres monétaires ont décidé d’en faire autant. De plus, la position de la banque centrale américaine a de nouveau balayé les marchés hier. James Bullard, l’un des pères des grèves utilisées par la Fed pour effrayer le marché, a souligné la nécessité de continuer à augmenter les taux d’intérêt avec force. Cela a perturbé la reprise et fait jouer le rendement de la dette américaine à 10 ans autour de 4 %.&#xD ; &#xD ; C’est ce que les spécialistes du marketing appellent un jeu « bon flic, mauvais flic », comme l’interviewe la série policière. En fin de partie, il convient de l’évoquer rapidement car cela sent la même chose pour les investisseurs. En gros, on fait sortir les bad cops, les Hawks (les banquiers centraux les plus flexibles) pour protéger la ligne dure, et parfois on envoie la bonne police, les Doves (les banques païennes les plus flexibles) au coin de la rue. Il s’agit de « storytelling » et il est largement suivi par les bons, comme le montre l’exemple actuel. Vous vous souvenez peut-être que le marché avait quatre grandes divisions a pour les révisions du 7 au 12 septembre. La raison ? Commentaires réconfortants du vice-président de la Fed, Lael Brainard, sur la politique monétaire à venir. Bien sûr, c’était contre tous les stéréotypes, donc ça a été bien reçu. Mais ça n’a pas duré et ça s’est transformé en piège (9 drops en 11 épisodes). « Les taureaux ont avalé l’argumentaire de vente pro-marché de Lael le 7 septembre. Ils ont tout avalé : hameçon, ligne et même plombs, pour enfin l’avoir », explique le responsable dans un fil d’experts populaire. à Wall Street. Je ne pense pas que Lael Brainard ait voulu tromper les investisseurs, mais cela montre à quel point le marché boit les paroles des banques centrales (en fait la Fed, soit dit en passant) & # xD; Ce même manager, adepte de la métaphore du poisson, conseille aussi de profiter du week-end avec le retour des « bons flics » vendredi derrière le micro : Lael Brainard et un autre banquier central réputé flexible, John Williams, participeront . à l’occasion, ils seront appelés à donner leur avis. Ils ne sont pas les seuls et la distraction vire à la cacophonie : Jerome Powell, Christine Lagarde, James Bullard (encore !) et quelques noms moins entendus sont également en rayon en cette fin de semaine. Peut-être devrions-nous envisager de couper leurs sifflets ? Ou limiter le nombre de leurs sorties ? Même pour mettre les choses au clair : « Non, mais quand quelque chose, un tel et d’autres parlent, on s’en fout, ils ne savent pas vraiment de quoi ils parlent. On les laisse faire pour qu’ils n’entrent pas dans notre . voies. pour toujours ». Tout cela semble un peu enfantin et à court terme face aux problèmes économiques actuels, mais c’est la réalité des marchés financiers : des vues et des prévisions à long terme se forment à partir de cette année de tendances, d’indicateurs, de déclarations et d’opinions. xD ; En parlant de signes, ceux de la veille ont soulevé plus de questions qu’ils n’ont répondu aux États-Unis. Déjà, la confiance des consommateurs américains a augmenté en septembre. Hausse du taux, rate de la rentrée scolaire, 8 % de cela plus sur le prix de Budweiser, rien n’y fait. De plus, les ventes de maisons neuves ont été beaucoup plus fortes que prévu en août. Mais les commandes de biens de consommation sont en baisse significative. Ainsi, les panneaux continuent de clignoter dans des directions différentes. Donc de deux choses l’une : ce seraient des consommateurs américains tellement riches et optimistes qu’ils graviraient les échelons sans aller trop loin. Peut-être qu’ils sont encore un peu faibles et que le bambou est en fait un élastique qui finira par se casser et causer des blessures. Considérant la tête du marché boursier en ce moment, c’est le deuxième choix que les investisseurs ont en tête pour le moment. Sur le marché des changes, le dollar continue de se renforcer, dans un contexte d’aversion au risque. Il a encore gagné en force hier alors que la Maison Blanche a rejeté l’espoir d’un effort international coordonné pour supprimer le billet vert, comme cela s’est produit en 1985 et 1987. Dans une autre nouvelle, le gazoduc Nord Stream a été détruit, ce qui a causé. Les prix du gaz ont augmenté en Europe hier. À qui profite le crime ? La question reste sans réponse, tout comme lorsqu’il s’agit de déterminer la cause d’une cyberattaque majeure. Pendant ce temps, le « oui » à l’annexion des territoires ukrainiens à la Russie est massivement victorieux, si quelqu’un n’était pas d’accord. Au Brésil, les récentes élections, à moins d’une semaine de l’élection présidentielle, donnent à Lula la possibilité de continuer contre Bolsonaro. L’échec du rebond de la veille a laissé des traces ce matin, d’autant plus que l’agence Bloomberg a montré du jour au lendemain qu’Apple renonçait à augmenter sa production d’iPhones faute de demande. Les indicateurs avancés européens sont baissiers. En Asie-Pacifique, il a le plus baissé au Japon, en Corée et à Hong Kong, où la baisse a dépassé 2 %. L’Australie et l’Inde font face à de meilleurs chocs mais restent sur la touche. Le CAC40 démarre la séance en baisse de 0,8% à 5705 points. Il est évident que l’économie du soleil un est&#xD ; Les stocks de gros aux États-Unis (14 h 30) et les logements d’occasion aux États-Unis (16 h 00) sont les principaux chiffres attendus aujourd’hui. Tout le journal macro ici. L’euro continue de baisser à 0,9560 USD. L’once d’or est tombée à 1624 USD. Le pétrole a effacé ses gains de la veille, avec le Brent de la mer du Nord à 85,11 USD le baril et le brut léger américain WTI à 77,51 USD. Le rendement des obligations américaines à 10 ans oscille actuellement autour de 4 %. Le cinq ans est à 4,21 % tandis que le deux ans est en baisse de 4,28 %. Bitcoin replonge à 18 735 $. Le plus grand changement de motivation &#xD ; Akzo Nobel : Jefferies maintient un objectif réduit de 81 à 77 euros. Almirall : RBC se concentre sur l’étranger en ciblant 13,50 euros.&#xD ; CVS Group : Jefferies reste long avec une fourchette de prix basse allant de 2 110 à 1 970 GBp.&#xD ; Dechra Pharmaceuticals : Jefferies maintient un objectif de prix bas de 3 630 à 2 880 GBp.&#xD ; Euronext : AlphaValue reste acheteur avec un objectif réduit de 106 à 90,90 EUR. Games Workshop : Jefferies reste longtemps avec des prix bas de 9700 à 8700 GBp. Givaudan : UBS reste short avec un prix bas de CHF 3180 à 2870. Ipsen : RBC commence à se concentrer sur la performance du secteur en ciblant 107 EU R. MIPS : Jefferies lance un objectif d’achat avec un objectif de 430 SEK.&#xD ; Pernod Ricard : AlphaValue continue de s’accumuler avec un objectif relevé de 215 à 242 EUR. Renault : Berenberg passe de la détention à l’achat, visant 34 euros. Schaeffler : J.P. Morgan reste haussier avec un prix réduit de 7,50 EUR à 6,50 EUR. SkiStar : Jefferies commence le suivi pour maintenir l’objectif de 145 SEK.&#xD ; Swedish Orphan Biovitrum : RVC lance la recherche d’une action partielle en ciblant 235 SEK. Tecnicas Reunidas : Mirabaud passe de la vente à la détention, visant 7,20 EUR.&#xD ; Thule: Jefferies commence à traquer pour nier un objectif 235 SEK. Treatt : HSBC commence le suivi pour poursuivre son objectif de 600 GBp.&#xD ; Trigano : Oddo BHF passe du neutre au passif avec le direct à 130 EUR. Varta : Berenberg reste avec un objectif réduit de 75 EUR à 45 EUR.&#xD ; Virbac : Jefferies reste long avec un objectif de cours bas de 450 à 368 EUR. &#xD ; En France Annonces importantes (et mineures) &#xD ; Sanofi bénéficiera d’un effet de change à deux chiffres sur ses résultats du troisième trimestre. Environ 70% des travailleurs des raffineries françaises de TotalEnergies étaient en grève hier, selon la CGT. Saint-Gobain élargit son offre de solutions de façades renouvelables en Europe en investissant dans le photovoltaïque intégré au bâti. Luca De Meo, PDG de Renault, quitte le conseil d’administration de Telecom Italia. Nexity propose un nouveau système. Technicolor devient Vantiva. Implanet fournit des ABSA pour garantir le financement et l’engagement de Sanyou Medical. Grolleau accepte les commandes dans le monde entier. Europlasma tire une autre tranche d’OCA. Trigano, Voltalia, Passat, ADC SIIC, Upergy, Munic, Altheora, Toosla, Navya et Theranexus ont publié leurs comptes. &#xD ; Dans le monde&# xD ; Avis importants (et pas si importants) &#xD ; La SEC a imposé une amende de 1,8 milliard de dollars à 11 banques et courtiers de Wall Street (dont European Credit Suisse, UBS, Deutsche Bank et Barclays) qui n’ont pas conservé de trace des échanges entre leurs employés sur les systèmes de messagerie, en particulier WhatsApp. Volkswagen devrait annoncer le prix de l’introduction en bourse de Porsche aujourd’hui. Apple aurait abaissé ses objectifs de croissance de la production d’iPhone après une baisse de la demande. Ford investira jusqu’à 700 millions de dollars et créera 500 nouveaux emplois dans la fabrication de camionnettes. Boohoo réduit son rythme. Twitter assure aux enquêteurs de Musk qu’ils n’ont pas preuve d’un faux compte. Burberry nomme Daniel Lee au poste de directeur créatif à partir d’octobre. Débuts timides à Wall Street pour la filiale de motos électriques de Harley-Davidson, LiveWire. Shell et Exxon vendront pour 2 milliards de dollars d’actifs gaziers dans la mer du Nord britannique et néerlandaise. Commerzbank a augmenté sa provision pour pertes sur le prêt de son unité polonaise Mbank de 490 millions d’euros. Apollo est en train d’acheter le Ryder System, selon Bloomberg. Dufry obtient un contrat à l’aéroport de Chongqing. Siegfried et Novavax prolongent leur partenariat jusqu’à fin 2023. Toyota commencera à vendre une petite berline électrique en Chine d’ici la fin de l’année. Gros livres du jour : Paychex, Raymond James, Vail Resorts, Thor Industries, Voltalia, Orpéa, Bénéteau… Tout l’agenda ici. &#xD ; Lecture&# xD ; &#xD ; Comment ARM domine le marché des puces sans fabriquer de puces (The Verge, en anglais). Voyage en eaux troubles d’Yvan Bourgnon (Le Figaro).&# xD ; Pourquoi Dollar Power Matters (Financial Time). Enseignement supérieur  : boîtes à diplômes et machines d’emballage (Liberté).&#xD ; La Russie a-t-elle détruit ses pipelines ? (Le spectateur, en anglais).&# xD ; D’où vient le tonnerre de la mer dans la coquille (la conversation).&#xD ;

Les désordres en cours sur les marchés financiers sont loin d’être résorbés et les investisseurs ont pris un nouveau coup sur la tête hier avec un rebond avorté aux Etats-Unis, qui s’est traduit par une sixième séance de baisse du S&P500. La petite musique de la capitulation résonne dans les couloirs des places boursières. Le dollar flambe, le pétrole baisse et la finance déprime.

Eh bien, c’est raté. Wall Street a feint la reprise hier, après cinq séances consécutives de baisse pour le S&P500. Mais l’indice large américain a terminé à -0,21 %. A noter que le Nasdaq a maintenu un gain de 0,16% en fin de cours. Cependant, il a perdu plus de 2% au début du programme, donc… En Europe, c’était le chaos à la fin, avec des différences entre un gain de 0,5% en Suisse et une baisse de 0,7% en Allemagne. Toutes ces différences montrent que les commerçants ne savent plus vers quel Saint se tourner depuis que la Sainte Fed a cessé de multiplier les pains de dollars et que d’autres apôtres monétaires ont décidé d’en faire autant. De plus, la position de la banque centrale américaine a de nouveau balayé les marchés hier. James Bullard, l’un des pères des grèves utilisées par la Fed pour effrayer le marché, a souligné la nécessité de continuer à augmenter les taux d’intérêt avec force. Il a raté le coche et a fait jouer le rendement de la dette américaine à 10 ans autour de 4 %.

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C’est ce que les spécialistes du marketing appellent un jeu « bon flic, mauvais flic », comme l’interviewe la série policière. En fin de partie, il convient de l’évoquer rapidement car cela sent la même chose pour les investisseurs. En gros, on fait sortir les bad cops, les Hawks (les banquiers centraux les plus orthodoxes) pour protéger la ligne dure, et on envoie parfois les bons flics, les Doves (les banquiers centraux les plus flexibles) pour arranger les choses. Il s’agit de « storytelling » et il est largement suivi par les bons, comme le montre l’exemple actuel. Vous vous souviendrez peut-être que le marché a connu quatre retournements majeurs du 7 au 12 septembre. La raison ? Commentaires réconfortants du vice-président de la Fed, Lael Brainard, sur la politique monétaire à venir. Bien sûr, c’était contre tous les stéréotypes, donc ça a été bien reçu. Mais ça n’a pas duré et ça s’est transformé en piège (9 drops en 11 épisodes). « Les taureaux ont avalé l’argumentaire de vente pro-marché de Lael le 7 septembre. Ils ont tout avalé : hameçon, ligne et même plombs, pour enfin l’avoir », explique le responsable dans un fil d’experts populaire. à Wall Street. Je ne pense pas que Lael Brainard ait voulu induire les investisseurs en erreur, mais cela montre comment le marché boit les paroles des banques centrales (en fait la Fed, soit dit en passant).

Ce même manager, adepte de la métaphore du poisson, conseille aussi de profiter du week-end avec le retour des « bons flics » vendredi derrière le micro : Lael Brainard et un autre banquier central réputé flexible, John Williams, participeront . à l’occasion, ils seront appelés à donner leur avis. Ils ne sont pas les seuls et la distraction vire à la cacophonie : Jerome Powell, Christine Lagarde, James Bullard (encore !) et quelques noms moins entendus sont également en rayon en cette fin de semaine. Peut-être devrions-nous envisager de couper leurs sifflets ? Ou limiter le nombre de leurs sorties ? Même pour mettre les choses au clair : « Non, mais quand quelque chose, un tel et d’autres parlent, on s’en fout, ils ne savent pas vraiment de quoi ils parlent. On les laisse faire pour qu’ils n’entrent pas dans notre . voies. pour toujours ». Tout cela semble un peu enfantin et à court terme face aux problèmes économiques actuels, mais c’est la réalité des marchés financiers : des visions et des prévisions à long terme sont faites à partir de cette année de tendances, d’indicateurs, de documents et d’opinions.

En parlant de signes, ceux de la veille ont soulevé plus de questions qu’ils n’ont répondu aux États-Unis. Déjà, la confiance des consommateurs américains a augmenté en septembre. Hausse des tarifs, spleen de rentrée, 8% de plus sur le prix de Budweiser, rien n’y fait. De plus, les ventes de maisons neuves ont été beaucoup plus fortes que prévu en août. Mais les commandes de biens de consommation sont en baisse significative. Ainsi, les panneaux continuent de clignoter dans des directions différentes. Donc de deux choses l’une : ce seraient des consommateurs américains tellement riches et optimistes qu’ils graviraient les échelons sans aller trop loin. Peut-être qu’ils sont encore un peu faibles et que le bambou est en fait un élastique qui finira par se casser et causer des blessures. Compte tenu de la tendance actuelle des marchés boursiers, il s’agit de la deuxième option que les investisseurs envisagent actuellement.

Sur le marché des changes, le dollar continue de se renforcer, dans un contexte d’aversion au risque. Il a encore gagné en force hier alors que la Maison Blanche a rejeté l’espoir d’un effort international coordonné pour supprimer le billet vert, comme cela s’est produit en 1985 et 1987. Dans une autre nouvelle, le gazoduc Nord Stream a été détruit, ce qui a causé. Les prix du gaz ont augmenté en Europe hier. À qui profite le crime ? La question reste sans réponse, tout comme lorsqu’il s’agit de déterminer la cause d’une cyberattaque majeure. Pendant ce temps, le « oui » à l’annexion des territoires ukrainiens à la Russie est massivement victorieux, si quelqu’un n’était pas d’accord. Au Brésil, les derniers sondages, à moins d’une semaine de l’élection présidentielle, montrent Lula en hausse contre Bolsonaro.

L’échec du rebond de la veille a laissé des traces ce matin, d’autant plus que l’agence Bloomberg a montré du jour au lendemain qu’Apple renonçait à augmenter sa production d’iPhones faute de demande. Les indicateurs avancés européens sont baissiers. En Asie-Pacifique, il a le plus baissé au Japon, en Corée et à Hong Kong, où la baisse a dépassé 2 %. L’Australie et l’Inde font face à de meilleurs chocs mais restent sur la touche. Le CAC40 démarre la séance en baisse de 0,8% à 5705 points.

La conjoncture économique du jour

Les stocks de gros aux États-Unis (14 h 30) et les logements d’occasion aux États-Unis (16 h 00) sont les principaux chiffres attendus aujourd’hui. Tout le macro journal ici.

L’euro continue de baisser à 0,9560 USD. La quantité d’or est tombée à 1624 USD. Le pétrole a effacé ses gains de la veille, avec le Brent de la mer du Nord à 85,11 USD le baril et le brut léger américain WTI à 77,51 USD. Le rendement des obligations américaines à 10 ans oscille actuellement autour de 4 %. Le cinq ans est à 4,21 % tandis que le deux ans est en baisse de 4,28 %. Bitcoin redescend à 18 735 $.

C’est un grand changement de motivation

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