(AOF) – Alstom cède 0,64% à 26,54 euros malgré sa bonne performance au troisième trimestre. Soutenu par d’importantes commandes en Europe, le groupe spécialisé dans le transport ferroviaire a fait état d’une hausse de 8% de son chiffre d’affaires à 4,22 milliards d’euros (contre 3,92 milliards sur la même période de la première année), pour la période octobre-décembre, troisième exercice. trimestre. . Ses commandes ont bondi de 13% à 5,15 milliards d’euros sur la période, grâce à l’Europe, qui est son premier marché.
En 3 mois, les commandes en Services, Signaux et Systèmes ont représenté 58% des commandes totales.
Alstom a donc dépassé les estimations des analystes. La société d’investissement a rappelé l’accord d’une valeur de 4,6 milliards d’euros de consommation et de 4,18 milliards d’euros de revenus.
Au niveau régional, l’Europe représente le plus grand nombre de commandes, soit 55% du total du groupe. En particulier, Alstom a remporté un contrat d’environ 370 millions d’euros pour fournir des navires Coradia Stream supplémentaires de 49 unités à Renfe en Espagne.
Après avoir publié ces résultats trimestriels, UBS maintient une recommandation d’achat avec un objectif de cours de 37 euros. Assurer une orientation pour le budget et le délai moyen de l’équipe 22/23″.
Alstom a également présenté ses résultats pour neuf mois d’exploitation. Au cours de cette période, les prises de commandes ont atteint 15,2 milliards d’euros. Le montant reçu était de 12,3 milliards d’euros, en hausse de 8% par rapport à l’année dernière.
« Nous avons connu une croissance soutenue de l’activité, démontrée par l’exercice de nouvelles options sur plusieurs contrats, notamment en Espagne, en Irlande et au Kazakhstan. L’environnement de marché reste positif, avec des clients confirmant des plans d’investissement dans toutes les régions », a déclaré Henri Poupart-Lafarge, PDG. d’Alstom.
A l’horizon, Alstom les a avertis d’examiner les conflits liés à la crise de l’électronique, la chaîne d’approvisionnement énergétique. Le groupe table donc sur un ratio « commandes sur chiffre d’affaires » supérieur à 1, une croissance des ventes en ligne avec l’objectif à moyen terme. Il vise également une marge opérationnelle comprise entre 5,1 et 5,3% et un cash-flow libre attendu compris entre 100 et 300 millions d’euros.
D’ici 2024/25, Alstom vise à augmenter sa part de marché de 5 points de pourcentage sur la base de sa stratégie unique, qui s’appuie sur les avantages de la croissance de son groupe et de son offre compétitive.
Il vise une croissance annuelle moyenne supérieure à 5 % entre 2020/21 et 2024/2025.
Par ailleurs, la marge opérationnelle standard devrait atteindre entre 8 et 10% à partir de 2024/25, profitant de bons programmes performants, dès la réalisation d’opérations difficiles dans la récession.
Alstom s’engage à offrir une croissance durable à ses actionnaires avec un taux de distribution du dividende compris entre 25 et 35 %.
– Leader mondial du transport ferroviaire, des tramways et métros aux TGV, renforcé par le rachat, en 2021, de Bombardier Transport ; Des projets de 15,5 milliards d’euros à la fin de l’année 2021-2022 ont été réalisés à 62% en Europe, 17% en Amérique, 14% en Asie-Pacifique et 7% dans le reste du monde ; – Une offre qui couvre l’ensemble des métiers de la construction ferroviaire : matériel roulant pour 56% du chiffre d’affaires, signalisation pour 15%, systèmes pour 7% et services (supervision, télécommande des voitures, communications, voyageurs…) pour 22% ; – Des business models basés sur : – le développement de zones régionales entre Alstom – France, Italie, Espagne, Inde, Asie du Sud-Est, Afrique du Nord et Brésil – et Bombardier transport – Royaume-Uni, Allemagne, Scandinavie, Chine et Amérique du Nord, – la création de valeur de la conception et la construction des systèmes ferroviaires à l’entretien ; – Capital social, détenu à 17,48 % par la Caisse de dépôt et placement du Québec, Henri Poupart-Lafarge, président-directeur général, président du 13e conseil d’administration; – Bilan solide : 9 milliards d’euros de fonds propres et 4,6 milliards d’euros de trésorerie contre 2,3 milliards de dollars de dette.
– Développement stratégique Alstom in Motion 2024/25 avec confirmation des objectifs : – croissance annuelle de +5% du chiffre d’affaires, marge opérationnelle de 8 à 10% et investissement industriel à 2% du chiffre d’affaires, – conversion à 80% des résultats en cash libre flux , – distribution aux actionnaires entre 25 et 35 % ; – Une stratégie de conception soutenue par 3,4% de R&D et 9 400 avec 3 axes : – une gamme complète de traction verte, propriété de la technologie carburant et, bientôt, des véhicules de transport complets, – modèle de conception : partenariats industriels (Engie, DeutscheBann, etc.) . .), avec des startups via le compte Aster, avec des fournisseurs via le programme Alliance, en participant à 30 programmes européens, dont Shift2Rail, et, en interne, en intrapreneuriat avec I move you, – lancement et suite digitale à 100% de l’organisation. ; – Stratégies environnementales pour lancer des projets : – intégration dans les stratégies créatives – éco-conception des solutions majeures dès 2025, visant à renforcer le capital national – recours à l’électricité renouvelable, valorisation des déchets, recyclage, – recherche d’ici 2025 (vs 2019) d’un 10 % de réduction de la consommation d’énergie et une réduction de 25 % des émissions de CO2 ; – écocircularité : déchets identifiés à 98%, – lancement du 1er produit de garantie verte ; – Gestion de la rotation du portefeuille – choses contraintes par le partenariat avec Bombardier et consolidation des investissements, notamment dans Cylus, au Kazakhstan et en Afrique du Sud ; – Bonne vision, avec une structure de 10,1 milliards à fin septembre, soit plus d’1 an de chiffre d’affaires.
– Après la perte en 2021-22 due aux provisions liées au rachat de Bombardier Transport, à la mise en place de projets communs avec Bombardier – 200 M€ en 2022/23, 400 M€ annuels en 2024/25 et 475 – 500 M€ ensuite – mais impact positif sur les bénéfices 2023 ; – L’impact négatif de l’inflation sur la marge de 2022/23 (80 points à fin septembre) mais une moindre exposition à la pénurie d’électronique ; – Après une hausse de 8,1% du chiffre d’affaires et une hausse de 18,5% du secteur opérationnel au premier semestre clos le 30 septembre 2022-23 la vision est passée d’une marge opérationnelle de 5,1 à 5,3% et une trésorerie disponible comprise entre € 100 et 300 millions d’euros ; – Après le dividende de 0,25 € au titre de 2021-2022, l’intérêt du dividende est compris entre 25 et 35 %.
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La Chine est le principal partenaire économique de l’Allemagne depuis six ans. Pourtant, outre-Rhin, les entreprises ont été sommées de réduire leur dépendance au géant asiatique en raison des tensions géopolitiques avec le pays. Dans ce contexte, la forte VDMA montre l’importance du marché chinois et le risque inattendu des relations avec la Chine. En fait, le pays est le deuxième plus grand marché d’exportation et la première destination d’investissement pour l’ingénierie et la fabrication allemandes. Cependant, la fédération a convenu de la nécessité d’un éclatement des clients économiques allemands.
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