Les Seychelles, paradis retrouvé

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Rédactrice passionnée qui a vécu dans plus de 25 pays toujours à la recherche de la dernière information.

En ce troisième matin de navigation, les promesses de l’aube s’envolent. Un voile laiteux engloutit l’horizon, confondant mer et ciel dans la même pâleur fantomatique. Et soudain, la possibilité d’une île. La silhouette se dessine au loin, comme un mirage. Un confetti émergeant à peine de l’eau, drapé d’une vertigineuse solitude. Jacques Cartier s’arrête. Après une courte approche en Zodiac, escorté de tortues imbriquées et de raies pastenagues, la vue se dégage. Une longue bande de sable, bordée de veloutes, derrière laquelle s’épanouissent mangroves et bosquets de filaos. Et en face, une autre terre insulaire réduite à sa plus simple expression : une virgule de sable, ébouriffée par quelques palmiers.

Les deux apparitions barbotent dans un lagon qui semble s’étendre à l’infini. Nous débarquons, ou plutôt dans quelques dizaines de milliers d’eaux tièdes et transparentes, où se croisent des myriades de petits poissons argentés et quelques jeunes requins pointes blanches. On se promène dans cette sublime pataugeoire avec l’impression d’être entré dans un autre monde. Saint-François est l’une des parcelles de terre à la frontière sud des Seychelles. La face inconnue du pays, des journées de navigation entre Mahé, l’île principale, et les îles du nord, les îles intérieures, où se concentrent 98% des 97 000 habitants et où s’arrêtent la majorité des touristes.

La croisière avait levé l’ancre là-haut, entre plages vierges et océan Indien aux cinquante nuances de turquoise. Le dytyque classique des paradis tropicaux, mais dans une version un peu décalée. Parce que les plages des îles du nord sont remplies de plus de blocs de granit que de cocotiers. Chaos de roches monumentales grises et roses, vieilles de 750 millions d’années, dont les reliefs fantaisistes ont été sculptés par le vent et l’eau. Contrairement aux atolls du sud, formés par le volcanisme, ces îles granitiques sont d’anciens fragments du supercontinent du Gondwana, qui s’est séparé de ce qui allait devenir l’Inde il y a 65 millions d’années. .

De ce long isolement, les Seychelles ont hérité de nombreuses espèces endémiques. Des curiosités de la nature comme la grenouille Gardiner, un minuscule batracien d’1cm de long qui entend par sa bouche, et un cocotier devenu l’emblème national, le coco de mer. Il produit la plus grosse graine du monde, une noix en forme de postérieur, qui a donné à l’arbre le pittoresque surnom de « coco-butt ». La Vallée de Mai, sur l’île de Praslin, concentre la majorité des quelque 8 000 spécimens recensés dans l’archipel. « Les plus grands mesurent 47 m de haut. Il faut un à trois ans pour germer et vingt-cinq à trente ans pour faire leurs premières noix. Ensuite, il faut attendre sept ans pour qu’ils tombent », explique Aniffa, notre guide, le long d’un chemin ombragé sur lequel les feuilles des cocotiers de plusieurs mètres de long forment des parasols géants. Leurs formes suggestives ont longtemps fait de la noix un objet de fantasme, aux supposées vertus aphrodisiaques. Les navigateurs arabes faisaient déjà du commerce avec lui au Moyen Âge et affirmaient que l’arbre poussait au fond des mers. Aujourd’hui, la graine, dont la vente est strictement contrôlée, se négocie à un prix d’or d’environ 400 euros pièce. Chaque transaction est accompagnée d’un certificat d’origine pour lutter contre le braconnage, passible de peines allant jusqu’à trois ans de prison.

En face de Praslin, l’île Curieuse abrite un autre trésor national, les tortues géantes d’Aldabra, qui pèsent jusqu’à 250 kg et dont les individus les plus âgés vivraient jusqu’à 200 ans. Les animaux, qui ne sont pas farouches, déambulent nonchalamment parmi les touristes quand ils ne tendent pas le cou pour demander quelques caresses. Les spécimens sont des transfuges de l’atoll d’Aldabra, qui concentre le record mondial de tortues terrestres, loin devant les Galápagos, avec 100 000 individus. Dans le passé, les reptiles étaient abattus partout aux Seychelles. Ils ont été chassés par des marins européens et se sont retrouvés dans la cale où, capables de survivre sans nourriture ni boisson pendant des mois, ils ont servi de nourriture aux équipages qui embarquaient pour les voyages au long cours vers l’Inde. Depuis l’atoll d’Aldabra, où des populations avaient survécu, des tortues ont été réintroduites ces dernières décennies dans plusieurs îles. Le programme n’est qu’une des nombreuses initiatives que les Seychelles ont mises en œuvre en faveur de la conservation de l’environnement.

La réserve de la Vallée de Mai sur l’île de Praslin, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, concentre la plupart des cocos de mer légendaires des Seychelles, également appelés coco-butts pour leurs formes suggestives.

Le petit archipel, indépendant depuis 1976, a fait de l’écologie l’un des piliers de son identité. Il lui a donné une place dans le préambule de sa constitution, qui affirme l’obligation de la République de « contribuer à la préservation d’un environnement sûr, sain et vivable pour nous et notre postérité », et le rejette en chantant dans l’hymne national ( » Préservons la beauté de notre terre / La richesse de notre mer / Un patrimoine des plus précieux / Pour le bonheur de nos enfants »). Des paroles qui se sont aussi traduites en actes depuis les années 1960 et 1970.

À l’époque, les inventaires locaux de la biodiversité menés par des scientifiques ont révélé que les effectifs de nombreuses espèces endémiques étaient en chute libre. Ce fut le cas, entre autres, du perroquet noir, de l’oiseau chanteur et du shama des Seychelles, dont il ne restait que quelques dizaines de représentants, parfois sur un seul îlot. Il concerne la destruction des habitats, notamment liée à la plantation de cocoteraies et à l’exploitation du guano, et l’introduction d’espèces envahissantes, à commencer par les rats, ce fléau des îles, dont la cupidité dévore plantes et animaux. carnage. Le bilan catastrophique a conduit à une prise de conscience.

Les premières initiatives de conservation ont émergé, portées par des particuliers, puis des ONG et des institutions publiques, avec des programmes d’éradication des espèces envahissantes et de réintroduction de la faune indigène dans différentes îles. Les opérations visent également à restaurer les mangroves et les récifs coralliens, tandis que 2020 marque la création d’une aire marine protégée couvrant 30% du territoire maritime de l’archipel.

Ce dernier est le fruit d’un « green deal » inédit : le rachat par l’ONG Nature Conservancy d’une partie de la dette du pays en échange de l’engagement des Seychelles à financer de nouvelles aires protégées. Au sein de la population, la relève est assurée depuis l’école, qui produit ce que l’archipel appelle des « éco-guerriers » : des générations d’enfants ont été sensibilisées aux enjeux environnementaux de la maternelle au lycée lors de stages menés par des ONG.

A environ 300 km au sud de Praslin, Remire fait partie de ces îlots dédiés à la protection de la nature. La bande-son du lieu, basée sur le bruit des vagues et le chant d’innombrables oiseaux marins, donne le ton. Des nuées de frégates et de gitans blancs tourbillonnent dans le ciel autour de l’île. Sur terre, les crabes fantômes se retirent au passage. Les frangipaniers qui bordent la plage s’effondrent sous les clins d’œil mariaux. Leurs nids, faits d’algues, dessinent des grappes dans les arbres, auxquelles ils pendent par dizaines. Sans prédateurs naturels, les oiseaux se laissent approcher sans broncher.

« Toutes les îles ont une beauté particulière. Ici, tout tourne autour des oiseaux marins, explique Jean-Marc Baccus, le gérant de Remire, l’un des rares bipèdes de la région. Un navire de ravitaillement passe tous les quatre mois et nous accueillons quelques touristes de temps en temps », ajoute celui qui joue les Robinsons bénévoles depuis près de quatre ans et ne semble pas pressé de quitter son havre de paix.

A plus de 500 km au sud-ouest de Mahé, l’île principale des Seychelles, l’atoll inhabité de Saint-François apparaît à l’horizon alors que ciel et mer se confondent dans la pâleur de l’aube.

L’autre côté du décor est moins brillant. Une séance de snorkeling près de Remire nous rappelle la fragilité des récifs coralliens aux aléas climatiques. L’archipel a connu deux épisodes de blanchissement massif des coraux dus au phénomène El Niño, en 1998 et en 2016. Si une partie des récifs s’est reconstituée, Remire n’offre que le spectacle de coraux morts, avec quelques Poissons errants. Il faudra remonter plus au sud, dans des eaux plus fraîches, jusqu’à Astove pour que les fonds tiennent leurs promesses, offrant le spectacle d’une richesse de vie portée par une myriade de poissons colorés.

Peu après notre départ de Remire, la tension est montée d’un cran sur le pont Jacques Cartier. Là où les cartes indiquaient une profondeur de 50 m, le sonar du navire indiqua soudain 10. Le bateau arrêta les moteurs et envoya un Zodiac avec un sonar pour évaluer la profondeur réelle du fond sablonneux.

Les navigations ingérables dans des eaux peu fréquentées et encore mal cartographiées. « La cartographie de ces zones est assez ancienne. Il n’est pas rare de trouver des archives de la fin du XIXe siècle, nous expliquera plus tard le commandant Christophe Dupuy. Il y a souvent un léger décalage entre l’emplacement des cartes et la réalité. « L’isolement des Seychelles a fait qu’elles ont été inhabitées pendant longtemps. Les navigateurs arabes les auraient découverts dès le Xe siècle, mais ils n’y ont fait que passer. Comme les Européens entre le XVIe et le XVIIIe siècle. À l’époque, l’archipel servait de base de ravitaillement pour les navires en route vers l’Inde, et de cachette pour les pirates qui en voulaient. Ce n’est qu’en 1756, avec l’annexion du territoire par la France – qui le nomme les Séchelles en l’honneur du contrôleur des finances de Louis XV – qu’une petite population de colons et d’esclaves fait son entrée. L’archipel passera alors sous domination britannique en 1814, et le restera jusqu’à son indépendance.

Avec 455 km² de terres créées pour un domaine maritime de 1,3 million de km2, les Seychelles plongent encore aujourd’hui ses visiteurs dans une solitude prolongée. Au fur et à mesure que nous naviguons vers le sud, une poignée d’îles à l’isolement de plus en plus suprême se disséminent : Saint-François, Cosmoledo, Poivre. Près de 400 kilomètres séparent l’atoll Cosmoledo de la terre la plus proche. Les alentours grouillent de vie, entre sternes fuligineuses occupées à chasser les poissons volants et mésanges masquées volant en escadrons, prêtes à plonger pour pêcher. Nous longeons une des îles en Zodiac, qui ressemble à une terre maudite. Elle nous fait face avec un rempart de corail pétrifié, sombre et pointu, formé par les variations du niveau de la mer. La terre semble avancer dans la mer comme un vaisseau fantôme. Les légendes locales en témoignent. Ils racontent l’endroit hanté depuis le naufrage d’un navire anglais au XIXe siècle, qui n’a laissé que quelques tombes vides, découvertes bien plus tard.

D’autres échos tristes du monde extérieur marquent ici et là ces îles isolées. Les bouteilles en plastique et les fragments de tongs sont transportés sur leurs plages par les courants. On rencontre aussi des débris plus gros, moins éloignés : des radeaux avec filets et GPS, plus connus sous le nom d’agrégateurs de poissons. Après le tourisme, la pêche au thon est la deuxième source de revenus de l’archipel, qui loue des concessions aux thoniers du monde entier. Dans le port de Mahé, ils se succèdent sur les quais dans un ballet incessant, où leurs cales déversent leurs prises déjà congelées dans des conteneurs, qui finissent pour la plupart en Europe.

Le retour à la civilisation se fait en douceur avec une dernière escale à La Digue, au nord de Mahé. Sur l’île aux 5 000 habitants au compteur, la vie s’écoule entre petites maisons pastel et balades à vélo. « La vie à La Digue est aussi paisible qu’une tortue de mer », résume Aniffa avec une blague. En fin d’après-midi, de petits pêcheurs de retour de leur journée en mer signalent l’arrivée des carangues du jour en soufflant dans une conque. Comme une scène finale de poésie marine pour terminer notre voyage.

Article paru dans le numéro spécial du magazine National Geographic « Les Plus Belles Destinations 2022 ». Abonnez-vous à la revue

Table des matières

Comment est la vie au Seychelles ?

Comment est la vie au Seychelles ?

Il n’y a pas de problème d’insécurité dans le pays, vivre sur cette île, se sentir un peu isolé, mais le cadre de vie est magnifique et adapté à tout résident étranger. Coût de la vie : Vivre aux Seychelles est un jeu d’enfant.

À Lire  Partir seul en voyage : on vous donne tous nos conseils !

Comment vivent les Seychelles ? Multi-ethnique, paisible, harmonieux. 90 000 personnes vivent en permanence sur les huit îles habitées des Seychelles, dont 90% vivent sur la plus grande île, Mahé. 90% de la population est également d’origine créole, généralement issue de colons français et d’esclaves africains.

Quel budget pour aller aux Seychelles ?

Pour ces vacances le budget est de 2400⬠à 4000â¬. C’est le budget moyen dépensé par les touristes venant aux Seychelles. De 1200⬠à 2000⬠pour une semaine de croisière.

Quelle est la meilleure île des Seychelles ?

L’île de La Digue est en tête de notre liste des cinq îles les plus visitées des Seychelles en raison de sa beauté et de son authenticité. Elle n’est accessible qu’en bateau (ferry) depuis l’île de Praslin (vous pouvez également rejoindre Praslin en ferry ou par un vol de 15 minutes en avion).

Quels papiers Faut-il pour aller aux Seychelles ?

Aucun visa n’est requis. Vous devez présenter un passeport valide au moins jusqu’à la date de départ des Seychelles, être en mesure de prouver votre solvabilité sur place, présenter une preuve d’hébergement et un billet de retour ou de continuation.

Quel salaire pour vivre aux Seychelles ?

Le revenu mensuel moyen par par habitant aux Seychelles est de 1 328 $, soit 15 930 $ par habitants par an.

Quel est le salaire minimum en Seychelles ?

Lors d’une allocution télévisée, le chef de l’Etat seychellois a annoncé qu’à partir du 1er janvier 2020, le salaire minimum augmentera de près de 10 %, passant de 5 303,70 à 5 804 roupies (360 â¬).

Est-ce que la vie est chère aux Seychelles ?

Le coût de la vie aux Seychelles est inférieur de 4,9% à celui de la France. Cependant, le pouvoir d’achat local est inférieur de 78 %. En voyage, prévoyez un budget local d’au moins 128€/jour et par personne (1694 SCR/jour).

Est-ce que la vie est chère au Seychelles ?

Le coût de la vie aux Seychelles est inférieur de 4,9% à celui de la France. Cependant, le pouvoir d’achat local est inférieur de 78 %. En voyage, prévoyez un budget local d’au moins 128€/jour et par personne (1694 SCR/jour).

Où manger pas cher aux Seychelles ?

Si vous voulez manger pas cher et local sur Praslin, je vous conseille Coco Rouge « take away » situé à Baie Sainte-Anne. L’accueil est excellent et le rapport qualité prix des plats proposés ! Comptez 55 roupies pour un poisson curry coco ou un poisson grillé : plus que raisonnable sur l’île !

Comment se nourrir aux Seychelles ?

Le poulet ou le porc peuvent également être utilisés comme base pour le curry. Du riz, des légumes et des sauces souvent épicées sont servis en accompagnement. De plus, du manioc, des pommes de terre, de l’urus et du chutney, qui provient d’arbres fruitiers comme la papaye, sont servis.

Voir l’article :
En 2024, un quatrième bateau, le Queen Anne, rejoindra la flotte Cunard…

Est-ce que les Seychelles sont françaises ?

Est-ce que les Seychelles sont françaises ?

Depuis le 29 juin 1976, les Seychelles sont un État indépendant, membre du Commonwealth et de la Francophonie. En 1977, un avocat, France-Albert René, alors Premier ministre, prend le pouvoir.

Est-il dangereux de voyager aux Seychelles ? Les conditions sanitaires sont bonnes. Pas de maladies tropicales ni de paludisme aux Seychelles. Aucun vaccin n’est obligatoire (mais renseignez-vous si vous combinez votre voyage avec un séjour africain). Cependant, mieux vaut être à jour des vaccinations universelles (DTCP, ROR).

Quelle langue parlée aux Seychelles ?

L’archipel des Seychelles a trois langues officielles. Ce sont le français, l’anglais et le créole seychellois. Né avec la colonisation des Seychelles, le créole vient du français parlé par les esclaves d’origine africaine qui travaillaient dans les plantations à partir du 18ème siècle.

Quelle est la langue la plus parlée au Seychelles ?

Le créole seychellois est la langue la plus parlée dans les îles et est l’une des trois langues nationales, qui comprend également l’anglais et le français.

Quelle langue est utilisée aux Seychelles ?

Langue officielle Créole, Français, Anglais.

Qui a colonisé les Seychelles ?

Les premiers Européens à faire escale aux Seychelles sont les Portugais. Vasco de Gama débarque aux Amirantes en 1502.

Quelle est la nationalité des Seychelles ?

Personnes. Les Seychellois sont majoritairement d’origine africaine. Cependant, certains ont une ascendance européenne, indienne ou chinoise. Les groupes minoritaires sont français, indiens, chinois et arabes.

Qui a colonisé Seychelles ?

En 1498, Vasco de Gama passa le cap de Bonne-Espérance et fut le premier Européen à atteindre l’Inde – avec l’aide d’un navigateur arabe. En 1502, lors d’un autre voyage en Inde, Vasco de Gama atteint des îles qui appartiennent aujourd’hui aux Seychelles.

Quel pays appartient les Seychelles ?

Depuis 1976, les 115 îles de l’archipel des Seychelles forment un État indépendant, membre du Commonwealth.

Où se trouve le pays Seychelles ?

Quelle nationalité sont les Seychelles ?

Personnes. Les Seychellois sont majoritairement d’origine africaine. Cependant, certains ont une ascendance européenne, indienne ou chinoise. Les groupes minoritaires sont français, indiens, chinois et arabes.

Quelle est la plus belle île au monde ?

Il est difficile de choisir quelle est la plus belle île du monde, mais l’archipel des Seychelles, situé au milieu de l’océan Indien, mérite définitivement le prix.

Quelle est la plus belle île française ? La plus connue et la plus belle, Bora-Bora, est une île paradisiaque aux couleurs éclatantes. Constituée d’un volcan éteint, d’un lagon somptueux et d’une ceinture de corail, elle est surnommée la « Perle du Pacifique ».

Quelle est l’île la plus visité au monde ?

1Tahiti2084 voix
2Madagascar906 voix
3Bora Bora572 voix
4La réunion513 voix
5Les Seychelles481 voix

Quelle île visiter dans le monde ?

Top 10 des plus belles îles à visiter au moins une fois dans votre…

  • 1 – Bora Bora. Bora Bora est une île située en Polynésie française. …
  • 2 – Phuket. L’île de Phuket est située en Asie. …
  • 3 – Hawaï…
  • 4 – Seychelles. …
  • 5 – Tahiti. …
  • 6 – Galapagos. …
  • 7 – Île de Pâques. …
  • 8 – Revisitez.

Quelle est la destination la plus paradisiaque ?

La Thaïlande est sûrement l’une des destinations paradisiaques les plus populaires de la planète. Eau limpide, plages de rêve, soirées endiablées, la presqu’île est célébrée pour l’hospitalité de ses habitants et pour leurs sourires permanents.

Quelles sont les plus belles îles au monde ?

Les 25 plus belles îles du monde

  • Santorin, Grèce.
  • Île de Crète, Grèce.
  • ILE MAURICE.
  • Hvar, Croatie.
  • Rarotonga, Îles Cook.
  • Sri Lanka.
  • Koh Phi Phi, Thaïlande.
  • Ko Samui, Thaïlande.

Quelle est l’île la plus luxueuse du monde ?

Necker Island vous attend pour un séjour inoubliable dans les îles Vierges britanniques. Île privée du milliardaire Sir Richard Branson, l’île offre tout le confort le plus luxueux : jacuzzi extérieur et vue mer, sculptures traditionnelles et mobilier en bois précieux…

Quelle est l’île la plus luxueuse du monde ?

Necker Island vous attend pour un séjour inoubliable dans les îles Vierges britanniques. Île privée du milliardaire Sir Richard Branson, l’île offre tout le confort le plus luxueux : jacuzzi extérieur et vue mer, sculptures traditionnelles et mobilier en bois précieux…

Quelle est l’île la plus chère au monde ?

Cette île est parfaite. Cave Clay, située dans la partie sud des Bahamas, dans l’archipel des Exumas, est un paradis. Son prix est légèrement inférieur : 90 millions de dollars, ce qui équivaut à près de 127 000 iPhones 6. Cette île…

Comment gagner de la place dans la valise ?

Comment gagner de la place dans la valise ?

10 astuces pour gagner de la place dans votre valise

  • Choisissez la bonne valise. …
  • Choisissez une valise optimisée. …
  • Choisissez des pièces basiques. …
  • Rangez les chaussures. …
  • Empilez les soutiens-gorge. …
  • Classer les produits de beauté dans un sac. …
  • Rangez les objets fragiles dans des chaussettes. …
  • Gardez les gros objets sur vous.

Où se trouve la plus belle plage du monde ?

Où se trouve la plus belle plage du monde ?

C’est la plage de Baia do Sancho au Brésil qui complète le podium. Cette plage est régulièrement élue « la plus belle plage du monde » et se situe sur l’archipel de Fernando de Noronha, au milieu d’une nature verdoyante et préservée.

Quelles sont les 10 plus belles plages du monde ? Dans l’ordre : N° 1 : Grace Bay, Archipel de Providenciales, Îles Turques et Caïques (Caraïbes) N° 2 : Baia do Sancho, Fernando de Noronha, Brésil N° 3 : Plage de Varadero, Cuba (Caraïbes)

Quelle est la plus belle plage d’Europe ?

La plage dorée de Porto Santo On dit que les plus belles plages se trouvent à Madère, au Portugal. On retrouve ainsi la plage dorée de Porto Santo à la première place du classement. « Avec le titre « Meilleure plage d’Europe 2022 », la plage de sable doré de Porto Santo est mondialement connue.

Quelle est la plus belle plage de France ?

Omaha Beach, Calvados Malgré ce passé tragique, ces plages comptent parmi les plus belles de France : au pied de collines verdoyantes, le sable fin s’étend à perte de vue sur 8 km. Certes, on s’y plonge avec émotion, mais la clarté de l’eau et des environs en font un souvenir mémorable.

Où se trouve la plus belle plage du monde ?

C’est la plage de Baia do Sancho au Brésil qui complète le podium. Régulièrement élue « la plus belle plage du monde », cette plage est située sur l’archipel de Fernando de Noronha, au milieu d’une nature verdoyante et préservée.

Comment se déplacer entre les Iles Seychelles ?

Les bus du réseau public sont également une bonne alternative pour se déplacer. A La Digue, le vélo est le moyen de transport optimal pour découvrir l’île. Sur Mahé et Praslin (et en partie sur La Digue) il est également possible de louer un taxi.

Comment louer une voiture aux Seychelles ? La location de voiture aux Seychelles est possible avec les agences Sixt implantées dans cet archipel. Nos services professionnels disposent d’une flotte de véhicules à boîtes de vitesses manuelles ou automatiques : voitures de luxe, petites citadines, breaks, SUV, etc.

Quelle île choisir pour les Seychelles ?

Faire un voyage à Mahé pour les activités Si ce sont les activités de plein air qui vous intéressent, alors un séjour sur l’île de Mahé est probablement le meilleur choix pour vous. L’île principale des Seychelles est véritablement un véritable petit coin de paradis pour les amoureux de la nature.

Quel est le meilleur mois pour partir aux Seychelles ?

Les mois de transition entre la saison fraîche et la saison des pluies (octobre et novembre, et surtout avril et mai) sont les mois qui présentent les meilleures caractéristiques pour voyager aux Seychelles. La température est bonne, la quantité de pluie limitée et le vent est limité.

Quelles sont les plus belles plages des Seychelles ?

A Praslin, Anse Lazio est également fantastique. Sur l’île de La Digue se trouve la plage mythique des Seychelles Anse Source d’Argent. Eau translucide, granit rose et cocotiers se balançant sous la brise… La Digue c’est aussi les plages fantastiques d’Anse Sévère, Anse Patate et Anse Gaulettes.

Comment aller d’une île à l’autre Seychelles ?

Ferries (Mahé – Praslin – La Digue) Il existe des liaisons quotidiennes en ferry (modernes) entre les trois îles principales (Mahé, Praslin, La Digue). Veuillez noter que les horaires de transfert en bateau varient actuellement considérablement et peuvent changer rapidement.

Quelle est la plus belle île des Seychelles ?

L’île de La Digue est en tête de notre liste des cinq îles les plus visitées des Seychelles en raison de sa beauté et de son authenticité. Elle n’est accessible qu’en bateau (ferry) depuis l’île de Praslin (vous pouvez également rejoindre Praslin en ferry ou par un vol de 15 minutes en avion).

Comment aller à La Digue ?

L’île de La Digue n’est qu’à 45 km de l’île principale de Mahé et de son aéroport international. Pour rejoindre l’île de La Digue il n’y a que 2 solutions : Par bateau : On arrive généralement à l’île de La Digue par bateau depuis les îles de Mahé (45 km) ou Praslin (7 km).

Quel est le plus bel endroit des Seychelles ?

Anse Lazio, la plage la plus célèbre de Praslin, est considérée comme l’une des plus belles des Seychelles, sinon du monde. Anse Lazio possède un panorama digne d’une carte postale : eau turquoise et sable blanc fin parsemé de rochers granitiques.

Quel est le meilleur mois pour partir aux Seychelles ?

Les mois de transition entre la saison fraîche et la saison des pluies (octobre et novembre, et surtout avril et mai) sont les mois qui présentent les meilleures caractéristiques pour voyager aux Seychelles. La température est bonne, la quantité de pluie limitée et le vent est limité.

Quelles sont les plus belles plages des Seychelles ?

A Praslin, Anse Lazio est également fantastique. Sur l’île de La Digue se trouve la plage mythique des Seychelles Anse Source d’Argent. Eau translucide, granit rose et cocotiers se balançant sous la brise… La Digue c’est aussi les plages fantastiques d’Anse Sévère, Anse Patate et Anse Gaulettes.