Souvent perçu comme une frustration par l’employé, être licencié n’est pas difficile pour un dirigeant ou un manager qui espère le signaler.
L’office du transfert de ces derniers varie selon le type de rupture du contrat de travail (individuelle, sociale, pénale, pour motif économique, etc.).
Table des matières
1. S’appliquer à individualiser
Pourtant, en tout cas, « ça reste un moment qui touche une personne », selon l’entrepreneur encore ébranlé par le licenciement de 15 de ses salariés lors de la faillite de sa PME de conseil.
« N’oubliez pas ceux qui restent, et donc soutenez le manager et les autres salariés ».
Si la question et le dossier sont toujours difficiles dans le processus des ressources humaines (RH), il est tout de même important d’apporter « la solution la plus adaptée à la situation », selon Adel Boudraa, directeur de la stratégie RH et sociale chez EY Consulting. Et de retrouver la localisation exacte de la source, même si c’est difficile à faire, car « il n’y a pas de cas générique, mais des repères selon les recommandations de la norme », comme l’affirme Valérie Meimoun-Hayat, avocate en droit du travail, qui travaille avec lui à HMS.
2. Respecter un cadre légal strict
Institué par le Code du travail, le licenciement doit être motivé par un motif précis et sérieux, écrit de fait et de droit. « Elle ne peut être contradictoire : elle doit être accompagnée, et elle se déroule en trois étapes précises », rappelle Valérie Meimoun-Hayat, évoquant les périodes d’inspiration, de réflexion puis de décision. Parmi les moments importants de la rupture du contrat de travail, l’entretien préalable (au cours duquel le salarié peut être accompagné d’un délégué du personnel, ou d’un consultant externe dans le cas des TPE) « doit être préparé », précise-t-il.
Confirmant que « ça ne peut pas être amélioré », Adel Boudraa insiste sur la nécessité d’apporter « des faits clairs, objectifs, vrais et écrits ». « Le rôle du DRH est de prévenir, dans toutes les situations, les conflits et conflits, notamment lorsque le salarié peut se sentir désarmé », écrit pour sa part Frédéric Miquel, responsable des ressources humaines senior chez Kardham, spécialiste de l’immobilier. expert.
3. Avoir un échange réel, pas seulement une posture
Pour ceux qui ont vu le film « In The Air » (où George Clooney incarne le terrible sentiment d’être mis à la porte), le lapidaire « tu es mis à la porte » – « tu es viré » en français – emprunte à la science-fiction. « Tout ce qui peut causer une quelconque humiliation doit être interdit », résume Frédéric Miquel, qui dit « toujours pratiquer le respect, la dignité et la vérité ».
« La vérité et le courage du manager doivent être là car l’employeur gagne à la transparence », poursuit Valérie Meimoun-Hayat. Dès lors, il recommande, de la part du manager, « d’expliquer de la manière la plus simple possible ce qui ne va pas, en mettant l’accent sur le ‘faire’ et non sur ‘l’être’, pour qu’il y ait ce dont le salarié est sûr et non ce dont il est. »
Adel Boudraa insiste sur « la volonté d’écoute ». « Par nature, cet entretien est contradictoire, car il s’agit d’un échange de vues : ‘Le représentant du salarié donne la vérité et, en retour, il doit écouter la défense du salarié’ », insiste Adel Boudraa, recommandant « de regarder la personne dans les yeux ».
4. Ouvrir des perspectives sur l’après
Pour un employé, être licencié peut causer du stress. « Il faut donc bien définir le reste : droits, autorisations, congés de reclassement et autres », précise Adel Boudraa.
De son côté, le président du cabinet de conseil contraint de fermer rappelle le soutien constant qu’il a apporté à ses équipes avant qu’il ne soit résilié. « J’ai expliqué la situation au fur et à mesure de l’évolution de la situation, même le bilan financier. Puis, après que le vendeur a annoncé la décision à tous les ouvriers, en une dizaine de minutes seulement, je l’ai fait au cas par cas pour parler des droits de chacun », se souvient-il. Alors que Valérie Meimoun-Hayat rappelle que « la clé élément pour permettre la créativité dans le processus est une idée universelle et multiforme de renforcer le travailleur et de viser avec lui la vérité ».
5. Prévoir les impacts sur ceux qui restent
Il semble donc que, selon les mots de Valérie Meimoun-Hayat, « le licenciement est un droit pluraliste, en ce sens qu’il touche à beaucoup de choses différentes pour le salarié et l’employeur ». Ce dernier y vit, lui aussi, « des temps parfois effrayants », de l’avis de nombreux experts. « D’autant que le salarié licencié peut être aidé lors de l’entretien initial, ce qui n’est pas le cas pour l’employeur », précise le responsable.
De plus, « chaque départ affecte les équipes et toute l’entreprise », précise Adel Boudraa, recommandant « de ne pas oublier ceux qui restent, et donc d’accompagner le dirigeant et les autres parties prenantes ». Il suffit de faire comprendre à Valérie Meimoun-Hayat que « le licenciement est une procédure légale et humaine dans ses causes et dans ses conséquences, qui doit suivre une méthode modèle pour toute l’entreprise ».
Quels sont les trois types de justice ?
la justice sociale qui résout les conflits entre les personnes (exemples : divorce, bail, emploi, etc.) ; les procédures pénales qui résolvent les litiges impliquant des violations du droit pénal ; La gestion administrative résout les conflits entre les gestionnaires, et entre l’individu et la direction.
Quels sont les différents types de justice ? La justice se divise en deux grands types de justice, dite justice générale (ou judiciaire) et justice spéciale qui peut restaurer ou distribuer. Les distinctions opérées entre les types de justice sont encore de rigueur dans la pensée contemporaine.
Quelles sont les 3 principales missions de la justice ?
La justice est organisée de trois manières : la punition, pour les actes coupables ; du gouvernement, à cause de la dispute entre le peuple; administrative, afin d’entrer en conflit avec les dirigeants.
Quelles sont les 3 juridictions en France ?
Juridiction
- Tribunaux de première instance.
- Tribunaux criminels.
- Cours d’appel.
- Cours de justice.
- Cours européennes.
Quels sont les pouvoirs ? L’ordre judiciaire est composé de pouvoirs civils et pénaux. Ces pouvoirs sont eux-mêmes constitués de deux niveaux permettant, lors de la proclamation de la première décision, que l’affaire soit rejugée par une juridiction supérieure.
Quelles sont les 3 juridictions de droit commun de l’ordre judiciaire ?
Au premier degré, la juridiction de droit commun est le tribunal de grande instance. Les tribunaux ordinaires sont le tribunal de police, le tribunal civil et le tribunal de redimensionnement. Au deuxième niveau, la cour d’appel est une autorité de droit commun.