Il y a ceux en Véloscéniel qui dorment dans des hôtels, auberges, appartements en location… et ceux qui dorment dans un camping. Jusqu’à présent, les trois premiers groupes ont eu le privilège de voyager léger. Pour ce dernier groupe, le voyage comprenait des plumes, des matelas et des réchauds. Passionné de vélo, Erwan Grégoire a cofondé VéloLéger, une entreprise qui permet aux cyclistes de laisser leur tente à la maison grâce à la location de matériel de camping. Maintenance.
Comment fonctionne VéloLéger ?
Mon associé Antoine Bourlier et moi-même avons réalisé que l’un des freins au cyclotourisme est le transport du matériel de camping. Avant de partir, il vous suffit de réserver le matériel sur notre site internet. Nous avons des partenaires avec qui nous gardons des kits pour monter un campement. Ils offrent un confort supplémentaire.
Que contiennent ces kits ?
Nous proposons des matelas, des tentes, des oreillers, des réchauds et des protège-literies. Les responsables de la Véloscénie jugeaient le concept excellent, tout en reconnaissant qu’il s’agissait d’une réelle lacune par rapport aux besoins des cyclistes. Le matériel de camping prend beaucoup de place, certains ne prennent même pas de matelas et dorment sur un drap.
Où proposez-vous vos services ?
Nous couvrons actuellement la quasi-totalité de la Véloscénie, de Rambouillet à Céaux, près du Mont-Saint-Michel. Nous commençons à développer sur Vélo Francette, le tronçon entre Ouistreham et Domfront.
Au total, 14 campings sont partenaires. Chacun a deux à trois ensembles qui représentent environ huit passagers.