Les enfants et les adultes recherchent de plus en plus l’aide d’un orthodontiste. A quoi cela sert? Quels sont les différents traitements possibles ? Expliqué par le Dr. Caroline Paluch-Bouden, orthodontiste.
Avoir un beau sourire, prévenir le déchaussement des dents, stopper le développement des maladies parodontales… Autant de raisons qui peuvent vous inciter à pousser un jour la porte du cabinet d’orthodontie. Cette spécialité médicale (du grec orthos : droite ; odontos : dent) traite de la transformation des dents, mais aussi de leur restauration de fonction. « Si l’objectif esthétique et le sourire sont très importants, on oublie que les dents doivent d’abord servir à la mastication. Elles jouent aussi un rôle dans la respiration et la parole », souligne le Dr. Caroline Paluch-Bouden.
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De nombreux motifs de consultation
Divers problèmes peuvent affecter la bouche, les dents et les mâchoires et nécessiter un traitement par un orthodontiste.
Chez l’adulte, en plus d’un problème subjectif de sourire, c’est très souvent la présence d’une maladie parodontale déjà diagnostiquée qui incite à consulter ce spécialiste. « Des dents mal positionnées vont entraîner un brossage inefficace et favoriser ainsi l’accumulation de plaque dentaire et l’apparition de gingivites puis de parodontites, qui avec le temps peuvent augmenter considérablement le risque de déchaussement des dents », résume le Dr. Caroline Paluch-Bouden.
Des traitements possibles dès l’âge de 6 ans
Selon les recommandations de la HAS (Haute Autorité de Santé), la consultation d’un spécialiste est recommandée à partir de 6 ans. « C’est l’âge à partir duquel on peut intervenir pour prévenir et intercepter les problèmes de croissance du squelette. Très souvent, les patients sont consultés pour la première fois vers l’âge de 8 ans, ce qui est un fait très raisonnable », ajoute le Dr. Paluch-Bouden.
Un traitement peut alors être proposé si la croissance est bloquée, va dans le mauvais sens, et si des problèmes fonctionnels sont détectés (ventilation, mastication, déglutition, succion non nutritive persistante). « Ces traitements dits « interceptifs » aident à prévenir de futures exacerbations et doivent être traités le plus tôt possible », explique le Dr. Caroline Paluch-Bouden.
Selon les problèmes observés, il est possible de commencer le traitement plus tard. « C’est d’autant plus vrai s’il ne s’agit que d’un problème de mauvaise position des dents sans grands mouvements ou trop de manque d’espace. Dans ces cas, il est recommandé d’attendre que les dents d’adulte soient en place (généralement vers 12 ans) », note l’orthodontiste.
C’est généralement le dentiste qui constate une malposition ou des problèmes occlusaux lors d’un contrôle annuel. Il informe ensuite les parents et les réfère à un spécialiste. « C’est pourquoi il est important de voir votre chirurgien-dentiste pour un contrôle chaque année. »
Orthodontie chez l’adulte
Chez l’adulte, il est possible de débuter un traitement, même jusqu’à un âge avancé. « Techniquement parlant, tant que les dents sont présentes, il est toujours possible de commencer un traitement », ajoute le spécialiste. Dans la bouche d’un adulte, les prothèses dentaires (couronnes, implants, etc.) peuvent parfois rendre difficile le bon déroulement des soins. Cela rend impossible le déplacement de l’implant dentaire.
De plus, il est probable que la forme de la couronne installée avant le traitement orthodontique ne soit plus tout à fait adéquate après la correction. « Parfois, il n’y a pas d’autre choix que de faire une nouvelle prothèse », ajoute le spécialiste.
L’intervention peut également être compliquée par la présence d’une maladie parodontale. Le traitement orthodontique déplace les dents en créant des micro-inflammations. Dès qu’une force est appliquée sur les dents, l’inflammation va permettre à l’os de se remodeler et aux dents de bouger. « Cependant, la maladie parodontale reflète déjà la présence d’une inflammation. Si on s’en mêle, on risque d’aggraver la situation », explique l’orthodontiste. Il s’agit donc principalement de stabiliser la maladie parodontale. Une fois le traitement commencé, des contrôles réguliers avec un parodontiste doivent être programmés tout au long du traitement orthodontique.
Les contre-indications au traitement orthodontique sont rares. « Les patients sous thérapie immunosuppressive ou bisphosphonates peuvent bénéficier de soins, mais ils doivent être pris en charge de manière spécifique. » La seule vraie contre-indication est le manque d’hygiène bucco-dentaire. « Si l’hygiène dentaire est mauvaise, le traitement sera trop dangereux pour les dents et le parodonte », souligne l’orthodontiste.
Déroulement des soins chez un orthodontiste
Comme chez l’adulte, un traitement orthodontique peut durer en moyenne de quelques mois à deux ans, selon les cas et l’ampleur de la correction, voire plus. Cependant, il est difficile de prévoir le processus. « Les dents sont vivantes. Il est impossible d’accélérer le mouvement naturel des dents, qui répondent à leurs propres lois et limites physiologiques. » La première consultation permet de prendre le patient dans sa globalité (anamnèse médicale et familiale…) « Il s’agit d’identifier d’éventuels problèmes de succion du pouce, d’évaluer la ventilation, de rechercher des signes d’obstruction et d’apnée du sommeil. On examine le frein de la langue, les lèvres et on regarde comment les dents sont positionnées les unes par rapport aux autres… » poursuit le spécialiste.
Examens d’imagerie médicale
Des examens complémentaires doivent être envisagés pour compléter la première consultation (photo de face sans sourire pour apprécier la symétrie, photo de profil, photos intrabuccales…). Vient ensuite la phase de prise d’empreintes digitales. Traditionnellement, cela se fait à l’aide d’un moule à pâte que l’on place dans la bouche. « Cette technique est progressivement remplacée par la photographie numérique 3D, qui permet la numérisation des arcades dentaires, l’affichage en trois dimensions des dents et donc une simulation beaucoup plus précise des résultats attendus. »
Ensuite, plusieurs radiographies sont prises. L’avantage d’une radiographie panoramique est que nous pouvons voir toutes les dents, les sinus et le système osseux. Une radiographie de profil permet d’observer la mandibule, les voies respiratoires supérieures, la végétation, les amygdales, la position de la langue. « Cette radiographie permet notamment de voir si la mâchoire inférieure est positionnée vers l’arrière ou vers l’avant », ajoute le Dr. Caroline Paluch-Bouden. Une radiographie frontale permet d’observer les asymétries osseuses. Ensuite, la performance d’un « cone beam », technique d’imagerie relativement nouvelle, permet d’identifier des lésions, des kystes, des fractures, ainsi que la position des dents qui seraient encore dans l’os et leur rapport aux structures. alentours. Après tous ces tests, l’orthodontiste détermine le diagnostic puis la technique de correction la plus adaptée à son patient.
Plusieurs techniques sont possibles
On distingue les techniques « multi-brackets » (ou brackets), qui comprennent des bagues fixes, métalliques, transparentes ou céramiques. Celles-ci sont sous forme « vestibulaire » (devant les dents) ou « linguale », c’est-à-dire dans votre bouche. « La technique linguale est souvent plus chère car les interventions en bouche nécessitent plus de temps passé au fauteuil », explique le Dr. Caroline Paluch-Bouden.
Les aligneurs en plastique (aligneurs), qui sont relativement nouveaux, deviennent de plus en plus populaires parmi la population. Discrètes et amovibles ont l’avantage d’être plus faciles à transporter que les bretelles. Cependant, ils n’apportent pas toujours une réponse favorable aux objectifs du traitement. « Faute de place, cet accessoire ne se décide pas immédiatement. « Parfois, il sera nécessaire d’extraire la dent ou de couper provisoirement les anneaux », ajoute le spécialiste.
Il est également possible d’utiliser des supports pour la croissance osseuse chez les enfants et les jeunes adolescents. Ainsi, un appareil fixe équipé d’une prise qu’il faut activer peut augmenter la largeur du ciel. D’autres appareils amovibles, qui sont portés presque toute la journée, sont utilisés pour stimuler la croissance de la mâchoire inférieure.
Malgré les progrès récents du traitement orthodontique, il n’existe pas de technique ou de traitement idéal. S’il est possible de conserver les anneaux pendant les repas, les gouttières doivent être retirées pour les boissons chaudes et lors des repas. Il est également indispensable de les porter la nuit et de faire un nettoyage en profondeur. Cependant, ils sont plus faciles à transporter que les anneaux, ce qui peut causer certains désagréments, comme des plaies dans la bouche. « La douleur que nous ressentons est généralement temporaire et peut être gérée de manière adéquate avec l’utilisation de cire orthodontique », explique le Dr. Caroline Paluch-Bouden.
De plus, le traitement orthodontique peut également causer des problèmes temporaires d’élocution chez certaines personnes.
Un suivi régulier chez l’orthodontiste
Un traitement réussi nécessite un suivi régulier par un spécialiste. Plus précisément, toutes les 4 à 6 semaines pour les adultes. Pour les enfants, il est recommandé de commander un examen toutes les 6 à 8 semaines. Comme pour les gouttières, le changement de gouttières a généralement lieu tous les 15 jours. Cependant, cela peut être avancé ou retardé en fonction de la vitesse à laquelle les dents bougent. Pendant le traitement, de nouvelles radiographies peuvent être prises pour observer les différents mouvements des dents.
A la fin du traitement, l’orthodontiste chez l’adulte continue avec la mise en place du fil de rétention au moins sur les dents inférieures, afin d’éviter les mouvements dentaires à l’avenir. « Concernant les dents du haut, la pose du fil de rétention est moins systématique. Certains experts préfèrent vraiment le placement de la gouttière », ajoute le spécialiste. Chez les enfants, puisque les dents de lait sont toujours présentes après le traitement, un appareil de rétention n’est pas recommandé.
Coût du traitement
Les coûts de traitement varient en fonction de la durée prévue, du choix de la technique et de la localisation du praticien. En effet, le coût d’un orthodontiste à Paris est généralement plus cher que celui d’un spécialiste basé en province. Le coût du traitement est déterminé sous la forme d’un forfait déterminé en fonction du nombre de semestres (calculer de 650 € à 1 000 € par semestre).
Pour les enfants, la CPAM prend en charge si le traitement débute avant l’âge de 16 ans. Veuillez noter qu’il s’agit du début du traitement et non de la première consultation avec un orthodontiste. Pour les adultes, les soins ne sont pas remboursés. Seules certaines mutuelles proposent un remboursement partiel, généralement forfaitaire.
Avant de débuter un traitement, n’hésitez pas à comparer plusieurs offres.
Fait-il une ordonnance pour l’orthodontiste ?
L’orthodontiste est-il remboursé ? Le traitement orthodontique ou traitement orthopédique dento-facial (ODF) est pris en charge par l’assurance maladie. Ils sont remboursés à 70 % ou 100 % selon des niveaux et conditions dits de « responsabilité ».
Combien coûte une consultation d’orthodontiste ? Le coût de cette consultation (adultes ou enfants) est de 23€ et est pris en charge et remboursé à hauteur de 70% par la sécurité sociale (hors assurance maladie), soit coût final 16,10 €.
Comment consulter un orthodontiste ? Par conséquent, il n’est pas nécessaire de consulter votre dentiste ou votre médecin avant de consulter un orthodontiste. Dans tous les cas, l’orthodontiste contactera le médecin traitant pour l’informer et effectuer des examens dentaires semestriels.
Qui prescrit l’orthodontie ?
Les soins orthodontiques peuvent être effectués par un chirurgien-dentiste ou un dentiste spécialisé. Comme pour la pose de prothèses dentaires, le médecin a le droit de facturer gratuitement les soins orthodontiques qu’il prodigue.
Qui prescrit les broches ? Il est recommandé de consulter un chirurgien-dentiste, qui pourra régler lui-même le problème s’il s’avère mineur. Mais si le problème est plus grave, ce dernier vous orientera vers un orthodontiste.
Quel âge prise en charge orthodontiste ?
Pour les plus de 16 ans. Exceptionnellement, les personnes de plus de 16 ans peuvent bénéficier d’une assurance maladie pour un semestre de traitement avant une chirurgie de la mâchoire.
L’orthodontiste est-il remboursé ? Ces examens d’orthodontie (adultes ou enfants) pris en charge par la sécurité sociale bénéficient d’un remboursement à hauteur de 70% (hors participation de votre mutuelle par rapport aux frais restants). Les radiographies prises au cabinet d’orthodontie sont marquées de la lettre Z.
Fait-il une ordonnance pour orthodontiste ?
Dans tous les cas, vous pouvez consulter directement un orthodontiste – sans passer par votre dentiste – si vous le jugez nécessaire ou si vous avez des questions. Bref, pas besoin d’ordonnance pour voir un orthodontiste !
Comment financer orthodontie adulte ?
Si ces frais sont remboursés par la sécurité sociale à hauteur de 70% ou 100% selon le coût de l’intervention pour les jeunes de moins de 16 ans, les frais d’orthodontie pour les adultes ne sont pas remboursés. Pour obtenir le remboursement de ces frais, un adulte doit s’adresser à une mutuelle de santé.
Quelle mutuelle prend en charge l’orthodontie adulte ? Quelle est la meilleure assurance pour les soins orthodontiques adultes ? Certaines mutuelles comme April, Cocoon ou encore Aquaverde proposent des garanties dentaires de qualité avec des taux de remboursement supérieurs à la moyenne (jusqu’à 1 250 € de couverture par an).
Comment se faire rembourser l’orthodontie adulte ? L’assurance maladie ne peut prendre en charge un traitement orthodontique pour adultes que dans un seul cas : s’il s’agit d’un traitement de 6 mois prescrit dans le cadre d’une préparation à une chirurgie de la mâchoire. Le remboursement s’effectue alors sur la même base et au même tarif que les soins pour les enfants de moins de 16 ans.
Comment ne pas payer un orthodontiste ? Le remboursement des frais d’orthodontie par la Sécurité Sociale répond à plusieurs conditions :
- le traitement ne peut être remboursé que si le patient a moins de seize ans au début du traitement. …
- le remboursement doit être soumis à l’accord préalable de votre caisse d’assurance maladie.
Comment financer orthodontie ?
La prise en charge du traitement orthodontique varie selon l’âge du patient. Pour les moins de 16 ans, une demande d’accord préalable doit être adressée à l’assurance maladie afin que celle-ci rembourse une partie des frais de traitement. Passé l’âge de 16 ans, l’assurance maladie ne le couvre plus.
Comment les mutuelles remboursent-elles l’orthodontie ? Les soins sont remboursés à 100% sur la base de 193,50 EUR par semestre. Ce remboursement orthodontique reste alors en deçà des tarifs pratiqués, qui sont généralement compris entre 500 € et 1 200 € par semestre, mais la mutuelle prend alors en charge tout ou partie du solde.
Comment faire avancer ses dents ?
L’installation de gouttières est un traitement efficace et invisible pour corriger les irrégularités dentaires mineures. Il s’agit d’une barre transparente qui est placée sur les dents et applique progressivement une pression pour déplacer l’emplacement de chaque dent.
Les dents bougent-elles avec l’âge ? MOBILITÉ DENTAIRE APRÈS 40 ANS Bien que vous ne l’ayez peut-être pas remarqué, vos dents bougent légèrement tout au long de votre vie. Le phénomène s’accentue après 40 ans en raison de la perte accélérée de matière osseuse.
Comment redresser les dents sans appareil dentaire ? L’alignement des dents sans accolades est possible. Lorsque les occlusions dentaires ou les dents tordues ne sont pas à un stade avancé, les gouttières invisibles permettent un alignement discret des dents.
Comment redresser ses dents soi-même ? Quel que soit votre âge, vos dents ne se redressent jamais naturellement et seul un traitement orthodontique peut corriger ce problème. Heureusement, les redresseurs de dents se sont multipliés pour plus de confort et d’efficacité, en plus ils conviennent à tous les âges.
Comment les mutuelles remboursent l’orthodontie ?
Les soins sont remboursés à 100% sur la base de 193,50 EUR par semestre. Ce remboursement orthodontique reste alors en deçà des tarifs pratiqués, qui sont généralement compris entre 500 € et 1 200 € par semestre, mais la mutuelle prend alors en charge tout ou partie du solde.
Comment calculer 300% de remboursement mutuel ? Comment calculer 300% de remboursement mutuel ? Une prise en charge à 300% signifie que l’assuré percevra 3 fois le remboursement de la base destinée à son traitement par la sécurité sociale et la complémentaire santé.
Comment l’orthodontie est-elle remboursée par les mutuelles ? Les frais de traitement orthodontique sont remboursés à 70 % (actes inférieurs à 120 €) ou 100 % (actes supérieurs à 120 €) sur la base de tarifs dits « de responsabilité », très souvent inférieurs à leurs coûts réels.
Comment calculer le remboursement de l’orthodontie ?
Orthodontie acceptée : 300% (y compris une partie du régime obligatoire). Calculez comme suit : Remboursement de la sécurité sociale : 1 x 193,50 € = 193,50 € / 6 mois. Remboursement mutuel : 2 x 193,50 € = 387 € / 6 mois.
Comment calculer l’entraide orthodontique ? La première mutuelle propose un forfait de 600 € par semestre. L’autre vous offre un pourcentage de remboursement égal à 300% de l’assiette de la sécurité sociale (soit 193,50 €). Vous aurez ainsi droit au remboursement suivant : Assurance maladie 1 : (1000 € – 600 €) x 2 = 800 €, que vous payez vous-même.
Comment calculer 100% Br ?
Une caisse d’assurance maladie avec un taux de remboursement de 100% BR pour un médecin généraliste couvrira la différence, c’est-à-dire. 25 – (16,50 1) = 7,50 €. Cette différence entre le taux fourni par la Sécurité sociale et le pourcentage qu’elle rembourse s’appelle la quote-part.
Comment calculer 300% Br ? Si votre caisse maladie propose un remboursement à 300 % (y compris la part de la sécurité sociale), il vous suffit de faire le calcul suivant : 120 x 300 % = 360 €. Ponctuellement, la couverture mutuelle peut venir en complément de la part Sécurité Sociale.
Comment calculer 200% BR ? Votre complémentaire santé à 200% vous rembourse jusqu’à : 200% x 23€ soit 46€ pour cette consultation. Si votre dentiste facture moins de 46 € pour sa consultation, nous ne vous facturerons rien. Si en revanche votre dentiste facture 50 € par consultation, vous devrez débourser 4 €.
Pourquoi l’orthodontie adulte n’est pas remboursée ?
L’une des raisons pour lesquelles peu d’adultes portent un appareil dentaire est probablement le coût élevé et le manque d’assurance maladie pour ce traitement. La Sécurité sociale ne rembourse plus du tout les frais de traitement orthodontique après le 16e anniversaire.
Quel est le coût moyen d’un traitement orthodontique ?
Le coût estimé d’un traitement orthodontique est compris entre 500 € et 5 000 €. La couverture d’assurance obligatoire pendant 36 mois avec une visite par mois et deux forfaits d’équipement s’élève au maximum à 1 000 € (1 300 € pour les bénéficiaires d’une couverture majorée).
Quelle est la meilleure mutuelle qui couvre les frais d’orthodontie ?