Salutations de Didier Jaffre, Directeur Général de l’ARS Occitanie, à tous les acteurs qui se sont réunis pour créer des solutions pour la santé de tous, dans toute l’Occitanie.& # xD;
Didier Jaffre, directeur général de l’ARS Occitanie, a adressé ses vœux à tous nos confrères d’Occitanie le mercredi 18 janvier 2023. Retrouvez ci-dessous le discours prononcé lors de cette prise de parole en visioconférence :
Je veux tous vous saluer ce soir dans vos valeurs et votre caractère, mais surtout en tant qu’acteurs qui se lèvent pour servir notre santé dans chacune de nos régions d’Occitanie. Ici nous partageons, de manière générale, un engagement essentiel au quotidien de chaque citoyen !
La santé est l’objectif premier de tous nos soignants. Je salue ce soir pour leur engagement constant et je salue tous leurs représentants dans le domaine du soin, Directeurs et Présidents de CME d’établissements de santé publics ou privés, Groupes Hospitaliers, Groupes Hospitaliers (GHT), tous. Professionnels de santé privés, Sociétés Régionales (URPS), Nos Centres de Santé et Sociétés Régionales de Santé (CPTS)…
Je salue également tous les professionnels qui assurent l’accompagnement médico-social des personnes âgées, handicapées ou en difficulté et éloignées de la santé : Présidents et Directeurs d’établissements publics et publics et de services publics et particuliers, Fédérations, Fondations et associations.. .
La santé est toujours une préoccupation majeure pour tous les élus et décideurs de nos communautés.
Je salue ce soir tous les parlementaires, nos adjoints, sénateurs et sénatrices, le président du conseil régional et nos conseillers régionaux, tous les présidents et présidents élus de nos conseils. Je salue les élus de nos communes de Montpellier et de Toulouse et toutes les grandes unités de nos collectivités de ville et de quartier.
Sur toutes les questions de santé, nous sommes réunis avec tous les élus de nos régions et les responsables de chaque département. A cet égard, j’adresse des salutations particulières au président de notre région qui est également président du comité de suivi de l’ARS, que je salue à tous les membres du groupe.
Je salue la rencontre avec nous de tous nos collègues du service de l’Etat, de l’Assurance Maladie, de la Mutualité française, comme de tous les autres grands praticiens de la prévention et de la santé publique. C’est un domaine où nous devrions accroître nos forces et nos ressources.
Bien entendu, je salue les acteurs de toutes les formations : Madame la Chancelière et la Doyenne du Collège, les Présidents de nos Universités, les Présidents de nos Universités, les Universités de Santé, les Managers et les intervenants de tous nos Centres de Formation …
Tous professionnels de la santé, nous travaillons ensemble dans le système démocratique de la santé. Je salue le président de notre conférence régionale santé et autonomie gouvernementale, les présidents des comités particuliers du CRSA et tous leurs membres, les présidents des conseils régionaux de santé et leurs membres, et tous les représentants de l’association des professionnels de la santé . et employés.
La santé est la préoccupation quotidienne la plus importante des habitants, des consommateurs et des 6 millions de citoyens de cette région. Je salue ici les représentants de ces usagers et notamment le président de France Assos Santé en Occitanie.
En même temps que nous nous souhaitons tous la « santé » en ce début d’année, faire naître l’espoir aujourd’hui est un grand défi pour le Directeur de l’ARS dont moi, l’attente est forte, urgente, concrète, et toute proche. Cependant, avant d’aborder le sujet, mon premier objectif sera pour une autre préoccupation majeure : nous devons considérer l’impact de l’environnement sur notre santé. Malgré le froid récent, notre région d’Occitanie souffre déjà du réchauffement climatique.
Chaque geste a une valeur pour protéger notre environnement et notre santé : J’ai donc choisi d’exprimer ces besoins par le biais d’une visioconférence…
En quelques mots d’introduction, je veux revenir rapidement sur les trois types de crises qui sont le fil rouge de notre année 2022, avec la première de toutes les crises épidémiques : le covid en cette année aussi, mais aussi les autres bactéries qui mettent. en ébullition notre système de santé, qu’il s’agisse de méningite, de bronchite ou de grippe… Bravo et merci à toutes les équipes du SAMU, des services d’urgence et de l’enfance, nos professionnels de santé flexibles et tous les agents de prévention…
Comme je vous le disais maintenant, la crise climatique affecte de plus en plus notre santé : nous sommes régulièrement concernés par ces questions et je tiens à saluer tous les acteurs qui se sont réunis pour assurer notre sécurité face à la chaleur et au feu. Je tiens à saluer la bravoure des pompiers et de tous les organismes de protection civile. Je pense aussi à nos partenaires qui ont travaillé ensemble sur la question de nos ressources en eau en période de sécheresse : merci à tous les acteurs de la protection de nos ressources.
Enfin, je voudrais répéter ici que je suis pleinement conscient des effets du chômage sur notre système de santé. Ne vous y trompez pas : nous avons beaucoup investi dans la santé ces dernières années (notamment dans le dispositif Ségur de la santé). La ressource la plus importante qui nous manque aujourd’hui est celle des soignants. En voyageant dans toute l’Occitanie, j’ai entendu ce constat dans tous les secteurs, public et privé, libéral et salarié, sanitaire et médico-social. Nous avons une pénurie de soignants partout… et ces tensions sont exacerbées en été, comme elles l’ont été récemment en hiver. Bien sûr, nous sommes mobilisés pour plus de formation, notamment avec le soutien du Conseil Régional. Mais l’entraînement prend du temps… Et en attendant, il faut rester prêt.
Alors, comment relever ce défi ?
N’oublions pas comment nous surmontons ces conflits grâce à notre unité et à la coopération entre les agents de santé. Ce sont nos meilleurs atouts. Nous devons préserver cet esprit commun, comme nous l’a rappelé récemment le président de la République. Il faut savoir dépasser les limites du secteur public et du secteur privé, comme nous l’a également assuré le ministre de la Santé et de la Prévention, en déplacement ces derniers jours dans le Gers. C’est la seule solution pour répondre aux besoins de nos concitoyens.
Malgré cette crise constante, des réalisations exemplaires sont mises en œuvre sur le terrain.
Je le mesure chaque semaine lors de mes voyages. Nous avons également identifié ces plans multirégionaux dans le processus de consultation en 13 étapes que nous avons mené pour réformer notre système de santé. Ces échanges ont été très utiles autour des moyens à déployer. Je tiens à remercier les 1 500 personnes qui ont enrichi ces débats en apportant leurs idées, suggestions et expériences.
Oui, il y a une solution.
Oui, des programmes réussis ici ou là peuvent être reproduits ailleurs dans notre région.
Oui, nos soldats sont sur nos territoires.
Ces solutions pour la santé, en 2023 nous les inclurons dans les priorités de nous, vous, les Services Régionaux de Santé (PRS), qui doivent être développées d’ici cet été. Nous fixerons des défis prioritaires à relever en matière de santé environnementale et de prévention, d’accès aux soins ou de ressources humaines en santé… Nous développerons à la fois les niveaux régionaux et 13 plans de santé pour mettre en place des solutions. la proximité, la coordination et les besoins de chaque région. Ensemble, nous avons un objectif prioritaire pour 2023 :
une solution pour la santé de tous, dans toute l’Occitanie.
Dans chacun de ces plans sectoriels de santé, nous souhaitons expliquer comment l’accès à la santé est garanti et organisé pour tous, sous toutes ses formes (santé environnementale, prévention, soins, médico-social). Nous considérerons les besoins de santé avec tous les déterminants communautaires, régionaux et sociaux spécifiques de nos zones. Ces plans de santé seront organisés dans le système des autorités régionales de santé, qui sont des autorités sanitaires démocratiques dans chaque département. Les directeurs départementaux et régionaux de l’ARS apporteront apparemment tout leur soutien durant l’été.
Vous l’aurez compris, nous souhaitons inscrire notre politique régionale de santé dans un véritable changement : partir des besoins et non de l’offre. Pour ce faire, nous nous appuierons sur les idées issues des échanges tenus dans chaque département, pour réformer notre système de santé.
Le tout dans l’esprit du développement de l’offre santé, car nous sommes un territoire dynamique qui accueille chaque jour de nouveaux résidents et dont la population vieillit : nous avons donc davantage de besoins à prendre en compte.
Pour mieux répondre aux besoins, notre méthode de travail va évoluer : suite à tous les échanges qui ont été faits pour rétablir la santé, je souhaite désormais apporter une contribution importante aux acteurs locaux, en m’appuyant sur nos conseils régionaux de santé 13 pour mieux répondre aux besoins de chacun. terrain. En effet, toute demande d’autorisation (santé, médico-sociale, prévention) doit désormais faire l’objet d’un débat en conseil régional de santé, afin que tous les acteurs d’un secteur parviennent à la demande de l’ARS avant la date limite utilisée pour propositions réglementaires pour les collectivités locales. Il faut donner le pouvoir aux régions. Leur avis ne sera pas le second avis (car il n’est pas réglementé par la loi) mais tout le monde sera plus impliqué dans la décision, y compris les élus. Cela aura plus de poids, et c’est ce que j’appelle la force des régions. Nous rédigerons cette condition de travail pour la mettre en œuvre à partir du premier semestre 2023.
Je pense que c’est une façon tangible de montrer la poursuite de notre travail pour reconstruire le système de santé le plus possible pour les besoins de nos régions. En alignant les valeurs de notre région, nous mettrons en œuvre cette carte dont le président a besoin ensemble. Nous avons déjà commencé par l’expérience que nous menons pour augmenter le nombre de stagiaires en médecine (confirmé par le directeur de cabinet du Premier ministre), ou en allant vers des populations spécifiques en milieu rural, compte tenu de la superficie limitée du région Occitanie (90) % de terres rurales et 50% en montagne).
Nous continuerons demain avec de nouveaux plans de terrain. Dans de nombreux domaines, par exemple, nous avons entendu la même idée de prévention et d’entretien des bus. Il se trouve que la principale usine européenne de bus à hydrogène est située dans le Tarn : on peut donc envisager de combiner un téléphone mobile et une offre globale de santé, qui à la fois préservent notre environnement et soutiennent le travail local.
Je ne sous-estime pas les difficultés de notre système de santé, ces difficultés que nous rencontrons au quotidien dans nos différentes activités. Mais je sais que je peux compter sur votre courage, notre unité et notre résilience ensemble pour construire ensemble des solutions saines. Je vous suis très reconnaissante de ces enjeux et de toute votre énergie d’engagement en venant chaque semaine (et sur 9 mois) vous rencontrer sur le terrain, contacter les prestataires de soins, les élus, tous nos partenaires ou partenaires, et bien sûr. utilisateurs de notre système de santé. Je tiens à vous remercier vivement pour votre accueil, votre attention, notre bonne interaction et la confiance que vous m’avez témoignée. J’ai rencontré partout en Occitanie des acteurs très actifs, fiers de leurs régions, et vous avez raison. C’est avec vous tous en 2023 que nous travaillerons très bien pour les besoins sanitaires.
Table des matières
Qu’est-ce que ça veut dire ARS ?
Réformer notre système de santé est nécessaire au sortir de la crise sanitaire dans laquelle nous sommes entrés. C’est le sens du discours que j’ai prononcé en mai 2021 mais qui reste d’actualité aujourd’hui : « Il y aura un va-et-vient à cette crise sanitaire… Un autre combat nous attend : je reconstruis le système de santé Nous… La crise doit nous obliger à considérer la santé comme un investissement, pas d’argent et de coût… C’est le groupe qui fait sa force : Ensemble, tous unis, peuples et privés eux-mêmes, ouvriers et libéraux, travaillons main dans la main, autour un objectif commun : être au service des citoyens pour leur santé. »
C’est cet état d’esprit qui me motive au quotidien et j’essaie de pousser toutes les activités de l’ARS Occitanie. Une agence régionale de santé à vos côtés pour accompagner vos opérations au cœur de chaque région. C’est pourquoi, avec le Conseil d’administration et toutes nos équipes, je vous souhaite le meilleur pour 2023 et espère vous voir sur le terrain à partir de demain. Ensemble, donnons-nous carte blanche pour construire des solutions pour la santé de nos frères et sœurs, dans toute l’Occitanie.
Pourquoi contacter ARS ?
Bonne année et santé à vous tous. Bonne santé et longue vie Occitanie. »
(Commentaire de Didier Jaffre du 18/01/2023 – Voir sur livraison)
Qui peut rejoindre l’ARS ? Les réclamations sont des demandes, réclamations ou réclamations écrites, qui émanent de l’usager ou de ses proches et remettent en cause la qualité des prestations fournies par le centre de santé, le centre ou les services de santé, les professionnels de santé (y compris les pharmacies et les laboratoires d’analyses) ou les transporteurs. …
Comment poser une question à l’ARS ?
Quand intervient l’ARS ? Le champ d’intervention couvre tous les aspects de la santé publique : prévention, promotion de la santé, surveillance de la santé et de la sécurité, systèmes de prestation de soins dans les services médicaux communautaires, dans les centres de santé et les systèmes de santé.
Statut de l’ARS Île-de-France En cas de difficulté pour obtenir une réponse, vous pouvez adresser votre réclamation à la Régie régionale de santé. Son rôle est de s’assurer de l’application des principes en matière de qualité ou de sécurité des soins.
Comment fonctionne l’ARS ? L’organisme ARS a pour mission principale l’hygiène et la sécurité, la veille sanitaire ; Anticipation, préparation et gestion des crises sanitaires, en relation avec les autorités ; définir, financer et évaluer les activités de prévention et de promotion de la santé.
- En quoi l’ARS vous aide-t-elle ? L’ARS est versée à titre expérimental aux familles ayant un ou plusieurs enfants scolarisés de 6 à 18 ans pour les aider à faire face aux dépenses de rentrée (fournitures scolaires, matériel, vêtements).
- Le numéro est : 0800 730 957.
- Quel est le rôle de l’ARS ? Les autorités sanitaires de la région sont chargées d’assurer la gestion des soins de santé dans la région, de mieux répondre aux besoins de la population et d’augmenter la qualité du système.
Quand faire un signalement à l’ARS ?
Comment notifier l’ARS ? Professionnels de santé, pour signaler tout risque pour la santé publique, contactez l’ARS 24h/24 :
Par téléphone : 0 800 32 42 62* (numéro vert)
Qu’est-ce que les ARS dans les Ehpad ?
Par mail : ars69-alerte@ars.sante.fr.
Par télécopie : 04 72 34 41 27.
Quel est le rôle des ARS ?
Tout incident pouvant avoir un impact sur la santé publique ou sur la performance des prestataires de soins doit être signalé à la Régie régionale de la santé. En fonction de votre profil et de la nature de l’événement indésirable, sélectionnez le message de signalement approprié.
Quand l’ARS sera-t-elle déclarée ? Toute condition sanitaire ou environnementale néfaste peut affecter la santé publique : Maladies d’origine inconnue (MDO) : intoxication alimentaire, méningococcie, rougeole, hépatite A, légionellose, tuberculose…
Qui paye le personnel d’un EHPAD ?
L’ARS accompagne l’amélioration de la qualité de vie et de la prise en charge des résidents au quotidien. La Haute Autorité de Santé de la région Hauts-de-France soutient les EHPAD pour améliorer la qualité de vie et de soins des résidents et les conditions de travail des personnels.
Comment se déroule le test ARS ? L’ARS réalise des audits, des contrôles et des audits dans tous les domaines de sa compétence. Ces inspections et audits visent à identifier les inefficacités, les violations des normes et des bonnes pratiques, et ordonner ou recommander des solutions pour y remédier.
Qui sont les directeurs d’ARS ?
Concrètement, les collectivités territoriales coordonnent les activités et répartissent les budgets de fonctionnement des hôpitaux, cliniques, centres de soins et dispositifs pour personnes âgées, handicapées et dépendantes.
Qu’est-ce que l’ARS dans les EHPAD ? L’ARS accompagne l’amélioration de la qualité de vie et de la prise en charge des résidents au quotidien. La Régie régionale de santé Auvergne-Rhône-Alpes soutient les EHPAD pour améliorer la qualité de vie et de soins des résidents et les conditions de travail des personnels.
L’unité de soins est prise en charge à 100% par l’assurance maladie. Cela signifie donc que, même dans le secteur privé, les salaires des médecins, des infirmières et 70 % des salaires des infirmières sont payés par des fonds publics.
Qui paie les infirmiers en EHPAD ? ARS (par l’intermédiaire de la caisse d’assurance maladie) qui finance le budget de la santé pour payer les frais liés aux soins dispensés, y compris le coût des agents de santé et du matériel médical et des médicaments.
- Hugo Gilardi succède au professeur Benoit Vallet, qui a été nommé directeur général de l’Agence de l’alimentation, de l’environnement et de la santé au travail (Anses) le 15 novembre.
- Qui conseille les coopératives au niveau régional ? Conseils Sectionnels Commission Sectionnelle Citoyenneté et Autonomie (qui modifie les CODERPA et les CDCPH).
- Qui sont les partenaires de santé publique ? Assurance santé. Sécurité sociale pour les professionnels. Agence nationale du médicament et Commission nationale de la santé
- Qui sont les partenaires de l’ARS ? Amis
- Autorités Régionales de Santé (ARS)…
Quel est le statut de l’ARS ?
Assistance Publique – Hôpitaux de Paris (AP – HP) …
Agence Nationale de l’Habitat (ANIL)…
L’Agence nationale de santé (ANSES)…
Agence de sécurité du médicament et des produits médicaux (ANSM)
Quel diplôme pour travailler à l’ARS ?
Les régies régionales de la santé sont des institutions gouvernementales dotées d’une structure administrative. Ils sont placés sous la tutelle des ministres chargés de la santé, de l’assurance maladie, des personnes âgées et des handicapés.
Quelles sont les deux fonctions principales de l’ARS ? L’objectif principal des attentes de l’ARS, la préparation et la gestion des crises sanitaires, vis-à-vis des autorités ; définir, financer et évaluer les activités de prévention et de promotion de la santé.
Comment obtenir de l’argent ARS? Les ressources des régies régionales de la santé comprennent : Le financement de l’État. les cotisations des régimes d’assurance maladie et de la Caisse nationale de solidarité (CNSA), pour les prestations liées aux établissements et aux services sociaux.
Comment intégrer ARS ?
Qui est responsable de l’ARS ? Le Conseil des ministres a nommé Amélie Verdier directrice générale de l’ARS Île-de-France le 28 juillet 2021 et elle entame aujourd’hui ses fonctions à la tête de la Commission. Elle était auparavant directrice du budget au ministère de l’économie et des finances.
L’inspecteur des affaires sanitaires et sociales veille à la mise en œuvre du dispositif approprié de la politique sanitaire, médicale et sociale de l’Etat. Niveau d’études : bac 3. Prérequis : formation dispensée par l’École des hautes études de santé publique.
Comment devenir auditeur ARS ? Pour être nommé inspecteur, il faut soit être titulaire d’une licence ou d’un certificat de diplôme classé au moins au niveau II, soit faire partie du groupe des surveillants des hôpitaux publics, au combiné de l’aide sociale. , pour les conseillers…
Qui peut travailler à l’ARS ? L’Autorité Régionale de Santé des Hauts-de-France (ARS) emploie des médecins de tous domaines de compétence et propose des conditions de travail variées au service des patients et un système de soins qui leur est dédié.