Le souci de la préservation de la liberté contractuelle a conduit les juges à établir un principe selon lequel une partie doit rester libre pour mettre fin à la relation d’affaires entretenue avec un partenaire.
La rupture d’un contrat commercial n’entraîne pas automatiquement une indemnité en faveur de la partie qui se prétend lésée. La question qui soulève de nombreuses difficultés, en pratique, est liée à la rupture d’un contrat à durée indéterminée.
Le code de commerce interdit « la rupture brutale, même partielle, d’une relation commerciale établie, sans préavis écrit tenant compte de la durée de l’activité commerciale et respectant le délai minimum de préavis qui a été calculé en fonction de l’utilisation du trafic […] » .
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L’auteur de la panne peut être condamné à payer le dommage à son ancien partenaire, si ce dernier apporte la preuve du préjudice subi du fait de la laideur de la panne.
Les prix sont basés sur le sujet. Cela dépend de ce que pourrait être un « préavis raisonnable » et de la valeur à accorder à la « perte de revenu » associée à la gravité de la rupture. Le délai de préavis dépend de nombreux facteurs liés aux circonstances de l’affaire (la durée et la valeur financière de l’opération commerciale, la nature de la dépendance de la richesse d’une partie entre l’autre, etc.).
Pour calculer la perte, la règle est basée sur des décisions concernant le bénéfice, la marge semi-nette ou l’EBITDA qui auraient été prises dans les mois du rapport manquant…
Opinions
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Cécile Maisonneuve est fondatrice de DECYSIVE et consultante au Centre Energie Climat de l’Ifri.