Dès son arrivée à la tête du groupe Renault, Luca de Meo a inversé une tendance au transfert qui avait atteint son apogée avec le transfert de la production de Clio vers la Turquie. Pour valider l’affectation des futurs véhicules électriques au site France, le dirigeant avait demandé aux salariés une indemnisation, qui a été négociée dans un accord dit « Re-Nouveau France 2025 » signé en décembre 2021 (que nous avions trouvé à l’époque). ).
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Trois syndicats qui représentaient 75,8% des voix lors de la dernière élection, CFE-CGC, CFDT et FO, avaient signé cet accord « Re-Nouveau France 2025 » pour accompagner la transformation et la performance des sites français sur les années 2022, 2023 et 2024. .
Hier, le groupe Renault a officialisé les deux derniers véhicules du pôle ElectriCity. Aux deux actuellement en production, la Mégane E-Tech (à Douai) et le nouveau Kangoo E-Tech (à Maubeuge) s’ajouteront en 2024 la future Renault 5 électrique (à Douai) en 2024, le futur Scénic électrique (à Douaï). en 2024 et la future Renault 4 électrique (à Maubeuge) en 2024.
« Par un dialogue social constructif et l’amélioration de notre outil industriel, nous avons montré qu’il est possible de lutter pour la compétitivité en France. Nous plaçons la France au cœur de nos activités électriques avec de nouveaux recrutements dans nos usines et centres technologiques, et l’attribution de des modèles iconiques comme la future Renault 5, Renault 4 et Scénic électrique.Tout cela dans le respect des valeurs sociales du Groupe Renault, avec la volonté concrète de nos collaborateurs dans la transition vers les nouveaux métiers de l’automobile, de Chez Renault, nous sommes fiers de miser tous ensemble sur la France », a déclaré Luca de Meo, PDG du groupe Renault, cité par un communiqué.