Santé. Cinq conseils pour faire face à la dépression saisonnière

Photo of author
Written By Sophie Ledont

Rédactrice passionnée qui a vécu dans plus de 25 pays toujours à la recherche de la dernière information.

Table des matières

Qu’est-ce que la dépression saisonnière ?

Qu’est-ce que la dépression saisonnière ?

La dépression saisonnière ou trouble affectif saisonnier est un trouble de l’humeur qui survient à certaines périodes de l’année. Elle survient généralement en automne ou en hiver lorsque l’ensoleillement diminue.

Le soleil stimule la production de sérotonine, une hormone qui régule l’humeur. Quand on a moins de lumière naturelle, on a aussi tendance à dormir plus, ce qui augmente la production de mélatonine (une hormone qui régule le rythme biologique). Ces deux facteurs peuvent perturber les fonctions corporelles et affecter la santé mentale. À terme, cela peut provoquer une dépression.

Il est également important de ne pas confondre le blues hivernal avec la dépression saisonnière.

Le blues hivernal est relativement courant. C’est normal d’être plus fatigué, moins enclin à sortir et un peu moins motivé quand le ciel devient gris et que la nuit tombe vite. Cependant, un blues hivernal n’empêche pas la personne de continuer à vaquer à ses occupations quotidiennes et à remplir ses obligations.

Dans le cas de la dépression saisonnière, les symptômes sont les mêmes que dans la dépression classique, à savoir :

Le trouble affectif saisonnier survient dès l’arrivée de l’automne ou de l’hiver et disparaît au retour des beaux jours.

Si vous souffrez d’anxiété permanente, sachez qu’elle peut également favoriser la dépression saisonnière. En fait, une étude de Magalhaes AC &AMP ; Holmes¹ en 2010 a montré que le stress et l’anxiété pouvaient créer des interactions moléculaires entre la corticolibérine (neurotransmetteur impliqué dans le contrôle du stress) et la sérotonine (régule l’humeur), ce qui peut finalement provoquer la dépression.

Lorsque l’on souffre de dépression saisonnière, il peut être intéressant de commencer une thérapie pour être accompagné. La clinique E-Santé propose une thérapie en ligne qui vous permet de consulter un psychologue spécialisé dans ce domaine tout en restant à la maison et de bénéficier d’un suivi continu. Il suffit d’un smartphone ou d’un ordinateur pour bénéficier d’un chat avec un psychologue dédié. Il est possible d’envoyer des messages à tout moment de la journée et d’obtenir une réponse en moins de 24 heures. En plus des nombreux avantages qu’offre la thérapie numérique, elle est efficace pour traiter les symptômes dépressifs saisonniers, l’anxiété et le stress tout au long de la vie.

Interrogée au Planète, Christèle Albaret, psychosociologue et fondatrice de La Clinique E-Santé, explique : « Je crois fermement à la thérapie numérique, tout simplement parce que j’observe ses résultats depuis plus d’un an. Les patients sont contents et on le voit dans tous les déclarations qu’ils nous laissent sur Internet.Certains étaient suivis depuis des mois voire des années en cabinet, ils n’évoluaient pas.Non pas parce que les traitements en cabinet ne marchent pas, au contraire, mais parce que pour certains, un accompagnement quotidien renforcé est Beaucoup de personnes ont besoin de soutien moral et de force dans ce contexte qui est le leur, et la thérapie numérique permet justement de ne pas mettre de limites à la guérison : le psychologue est disponible tous les jours, les patients peuvent lui écrire au milieu de la nuit à travers l’application, ils veulent une réponse en moins de 24h. Le psychologue est là, dans cette épreuve, avec eux, partout et jusqu’au bout. C’est un lien exceptionnel qui se crée. »

Ceci pourrez vous intéresser :
Par Agnès Lanoëlle – a.lanoelle@sudouest.frPublié le 01/02/2023 à 20h06 Mis à jour…

Comment lutter contre la dépression saisonnière ?

Comment lutter contre la dépression saisonnière ?

Il existe plusieurs solutions qui permettent de sortir de la dépression saisonnière. Il sera souvent nécessaire d’appliquer plusieurs de ces astuces pour y parvenir.

Conseil n°1 : essayer la luminothérapie

Conseil n°1 : essayer la luminothérapie

La luminothérapie semble avoir fait ses preuves dans la solution de la dépression saisonnière, puisqu’elle est utilisée depuis de nombreuses années par les pays nordiques (où l’ensoleillement est relativement faible à certaines périodes de l’année) et qu’elle a fait l’objet de plusieurs études cliniques études, qui témoignent de son efficacité.

Cette thérapie consiste à s’exposer à une lampe qui reproduit la lumière naturelle du soleil pendant un certain temps pour réguler le cycle du sommeil.

L’exposition à la lumière réduit la production de mélatonine, une hormone qui favorise le sommeil. En hiver, nous avons tendance à sécréter plus de mélatonine, ce qui peut perturber le cycle veille/sommeil. On dort alors plus que nécessaire, ce qui peut provoquer de la fatigue et éventuellement conduire à la dépression.

Pour obtenir de bons résultats, il est recommandé de s’exposer 30 minutes chaque jour devant une lampe à 10 000 lux. Dans le cadre de la dépression saisonnière, l’exposition le matin est impérative pour réguler le cycle jour/nuit et mieux dormir.

Et si cela vous semble loin, sachez qu’il est tout à fait possible de lire, de travailler sur votre ordinateur ou d’écouter un podcast pendant ce temps d’exposition.

Il existe de nombreux modèles que vous pouvez acheter en magasin. Que ce soit sous la forme d’une lampe de bureau, de lunettes ou d’une applique lumineuse, elles ont chacune leurs avantages et leurs inconvénients. Votre choix dépendra avant tout de vos préférences. Il est également impératif de respecter la distance (60 cm de distance pour une lampe à poser) entre la lampe et vous pour profiter pleinement des bienfaits de la luminothérapie.

L’effet de la luminothérapie se fait sentir après quelques jours à quelques semaines, selon la personne et sa sensibilité à la lumière.

Conseil n°2 : Adopter une alimentation équilibrée

Conseil n°2 : Adopter une alimentation équilibrée

« Que la nourriture soit votre premier médicament », Hippocrate nous a donné de précieux conseils.

La dépression saisonnière s’accompagne généralement d’une augmentation de l’appétit et d’une prise de poids. Lorsque nous sommes tristes, la nourriture sert souvent de « couverture de sécurité » et comble un vide émotionnel.

La nourriture est notre première source d’énergie, il est important de bien manger pour être en bonne santé. Choisissez une alimentation saine et équilibrée pour obtenir tous les nutriments et vitamines nécessaires à votre bien-être.

Les oméga-3 sont des acides gras essentiels indispensables au fonctionnement du corps humain. Le corps ne sait pas comment les fabriquer, c’est pourquoi il est important de les ajouter à votre alimentation. Les oméga-3 affectent le cortisol, l’hormone du stress. Ils aident à réguler l’humeur et contribuent au bien-être mental.

Les oméga-3 se retrouvent dans les poissons gras comme le saumon, le hareng, les sardines, les anchois, etc. Pour favoriser une teneur optimale en oméga, il est important de consommer ces poissons le plus frais possible.

Côté végétal, les aliments qui en contiennent le plus sont les fruits à coque et les oléagineux (noisettes, noix de cajou, pistaches, etc.). Les graines de chia et les graines de lin sont également riches en oméga-3. Les légumes à feuilles vertes sont une autre source et devraient de préférence être consommés en salade.

Enfin, l’huile de colza et l’huile de lin sont les huiles les plus intéressantes pour bénéficier d’un bon ratio oméga-6/oméga-3 (lipides indispensables au bon fonctionnement de l’organisme).

De plus, les vitamines du groupe B ont un lien étroit avec la dépression, en particulier la vitamine B12, qui contribue au fonctionnement normal du cerveau. La vitamine B12 se trouve dans les abats, le foie, les poissons gras, les huîtres, les œufs ou le fromage. Si vous êtes végétarien ou végétalien, il est recommandé de compléter en B12 pour éviter une carence.

Les plats cuisinés industriels contiennent souvent trop de gras, trop de sucre, trop de sel. De plus, ils ne fournissent pas d’énergie de qualité à l’organisme, ont une faible teneur en nutriments et vitamines biodisponibles. Trop riches en graisses et en sucres, elles favorisent l’addiction à la nourriture et favorisent la prise de poids.

Conseil n°3 : prendre l’air et faire du sport

Conseil n°3 : prendre l’air et faire du sport

Même si la météo ne donne pas toujours envie de sortir, il est important de s’aérer tous les jours.

Profitez de votre pause déjeuner pour faire une promenade de 30 minutes. La marche a de nombreuses vertus thérapeutiques. C’est très bon pour le cerveau, ça réduit le stress et l’anxiété. De plus, il permet de profiter de l’ensoleillement naturel, même si le soleil n’est pas présent dans le ciel.

De même, une activité physique régulière libère des endorphines, qui affectent la bonne humeur. De nombreuses études affirment que l’activité physique régulière réduit le risque de rechute de la dépression.

La course à pied est particulièrement recommandée en cas de dépression saisonnière car elle permet de s’aérer et de se vider la tête.

Les sports comme le yoga, le tai chi sont des sports doux qui ont l’avantage de connecter le corps et l’esprit. Ils vous permettent de prendre conscience de votre corps et d’obtenir un effet de bien-être et de relaxation. Ce sont des sports particulièrement recommandés aux personnes stressées.

Les sports collectifs permettent d’être en groupe. Cela permet de renouer avec les autres, ce qui est intéressant dans le cadre de la dépression, car on peut avoir tendance à s’isoler. Et cela aide aussi à se motiver mutuellement à faire de l’exercice, l’effet de groupe aide à se motiver mutuellement.

Certains sports ludiques, notamment ceux avec ballon, permettent de s’amuser sans penser que l’on pratique un sport.

Le plus important est de trouver un sport que vous aimez pratiquer.

Conseil n°4 : commencer une thérapie

Quand on est dans un état dépressif, on souffre vraiment et on ne sait pas toujours comment s’en sortir. L’aide d’un thérapeute est essentielle pour vous aider à sortir de cette condition.

Si la dépression saisonnière est en partie liée à la lumière, il existe parfois d’autres raisons qui peuvent expliquer votre mal-être. Lorsque les dépressions saisonnières sont récurrentes, les thérapies comportementales et cognitives sont intéressantes car elles permettent de remettre en cause les pensées négatives entourant cette saison.

À Lire  A la prison de Gradignan, l'Etat ordonne un meilleur accès aux soins

Aussi, si vous avez tendance à déprimer chaque hiver, c’est définitivement une période qui vous inquiète d’avance car vous savez que vous allez déprimer.

Vous pouvez avoir des pensées automatiques comme « c’est l’hiver, je déprime, chaque année c’est pareil, je déteste cette saison, je suis triste ». Ces croyances sont nées dans votre schéma de pensée.

Les TCC (Thérapies Cognitives et Comportementales) vous permettent de revoir vos croyances et de les remettre en question. Ainsi, vous pourrez remplacer la croyance et trouver des solutions. Il peut s’agir de se forcer à voir ses proches entourés, ou de voir cette période sous un autre angle. Cela peut être le fait de voir cette période comme propice à la tranquillité et à la pratique d’une nouvelle activité par exemple.

Le plus important est de pouvoir se remettre en question et changer son ressenti avec l’aide d’un psychothérapeute qui pourra vous aider à changer votre rapport à cette période particulièrement compliquée pour vous.

Conseil n°5 : recourir aux antidépresseurs

Dans les cas graves de dépression saisonnière, la luminothérapie ne sera pas toujours une réponse suffisante pour mettre fin aux troubles de l’humeur. Il est alors possible d’utiliser des antidépresseurs. Les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine (IRS) sont des médicaments qui ciblent la sérotonine et augmentent sa concentration dans le cerveau. Ils peuvent avoir un effet de béquille et aider la personne à se remettre sur les rails.

Ce n’est pas parce qu’il est nécessaire de prendre des antidépresseurs pendant un certain temps que ce sera pour la vie.

Lorsque vous avez des pensées suicidaires, il est impératif que vous preniez soin de vous et que vous acceptiez de vous faire aider. Les antidépresseurs peuvent être un véritable coup de pouce pour guérir la dépression.

Beaucoup de gens ont peur de prendre des antidépresseurs parce qu’ils affectent le cerveau, mais parfois ils peuvent aider. Dans tous les cas, il est nécessaire d’en discuter au préalable avec votre médecin pour savoir si c’est la meilleure option pour vous.

¹ source : le récepteur CRF 1 régule le comportement anxieux via la sensibilisation de la signalisation des récepteurs 5-HT2.

La dépression s’accompagne souvent d’un état de fatigue généralisée, à la fois psychique et physique, plus ou moins intense, qui persiste malgré le sommeil et le repos. En effet, la dépression entraîne souvent des troubles du sommeil, comme l’insomnie, ou au contraire l’hypersomnie.

Qu’est-ce que la dépression saisonnière ?

Le trouble affectif saisonnier (alias TAS, dépression saisonnière ou dépression hivernale en Amérique du Nord) est un type de dépression qui survient pendant les mois d’automne et d’hiver. Elle commence généralement à la fin de l’automne ou au début de l’hiver et s’atténue en été.

Comment sortir de la dépression saisonnière ? 5 conseils qui fonctionnent vraiment pour lutter contre la dépression saisonnière

  • Utilisez la luminothérapie. …
  • 5 lampes de luminothérapie sur le banc d’essai. …
  • Décollage en plein jour. …
  • Utilisez les bonnes huiles essentielles. …
  • Pratiquez la réflexologie et/ou la méditation. …
  • Suivre une thérapie comportementale et cognitive.

Quels sont les symptômes de la dépression saisonnière ?

Les symptômes rappellent la dépression classique : tristesse permanente et humeur dépressive, perte d’intérêt pour les activités quotidiennes, fatigue intense au réveil (non résolue par le sommeil), irritabilité et autres sautes d’humeur, troubles du sommeil, perte ou prise de poids.

Quel est le mois le plus dépressif ?

La dépression saisonnière, également connue sous le nom de trouble affectif saisonnier, est une forme de dépression qui touche 2 à 3 % de la population canadienne. Les symptômes sont principalement présents en automne et en hiver, en particulier aux mois de novembre, décembre et janvier.

Comment guérir une dépression saisonnière ?

Le traitement de la dépression saisonnière repose sur l’association de la psychothérapie et de la luminothérapie, indispensable pour compenser le manque de lumière sur la rétine. Les séances sont mises en place le matin d’octobre ou novembre, quand il fait plus sombre, jusqu’au printemps.

Quel est le mois de la dépression ?

Les symptômes sont principalement présents en automne et en hiver, en particulier aux mois de novembre, décembre et janvier. La dépression saisonnière est observée dans les zones éloignées de l’équateur, où les périodes d’ensoleillement sont réduites pendant la période hivernale.

Quand s’arrête la dépression ?

Elle peut varier de quelques semaines à plusieurs mois voire années. La plupart des épisodes dépressifs durent moins de six mois. Une guérison totale et permanente (disparition de tous les symptômes) est possible.

Pourquoi Est-on plus dépressif au printemps ?

INTERVIEW – Entre accumulation de la fatigue hivernale et déstabilisation du rythme de vie, le printemps peut être une période à risque psychologique, explique le Dr. Florian Ferreri, psychiatre et auteur de Régime antidépresseur.

Quelle est la dépression la plus grave ?

Dépression mélancolique sévère (niveau de dépression le plus élevé) : forme très douloureuse, avec perte totale d’intérêt pour le monde extérieur, incapacité à aimer, perte d’estime de soi, autodérision constante…

Quand faut-il être hospitalisé pour dépression ? « L’hospitalisation est nécessaire lorsque la dépression est sévère, lorsque la personne se sent dépassée et dépassée par son trouble et qu’elle peut avoir des pensées suicidaires. Dans ce cas, la personne doit être protégée.

Quels sont les symptômes d’une grave dépression ?

Plusieurs autres symptômes peuvent également être présents : difficultés de concentration, culpabilité ou estime de soi excessive, sentiment de désespoir face à l’avenir, pensées de mort ou de suicide, troubles du sommeil, changements d’appétit ou de poids, et grande fatigue ou manque de…

Quelle est la dépression la plus grave ?

Dépression mélancolique sévère (niveau de dépression le plus élevé) : forme très douloureuse, avec perte totale d’intérêt pour le monde extérieur, incapacité à aimer, perte d’estime de soi, autodérision constante…

Quand la dépression est trop forte ?

Dépression majeure Ses symptômes sont classiques : autodérision, retard psychomoteur, fatigue, tristesse et larmes, perte d’appétit, troubles du sommeil, dégoût, goût ou envie de rien, troubles somatiques.

Est-ce que la dépression tué ?

La dépression survient généralement sous la forme d’épisodes dépressifs qui peuvent durer des semaines, des mois, voire des années. Selon l’intensité des symptômes, la dépression sera classée comme légère, modérée ou sévère (sévère). Dans les cas les plus graves, la dépression peut conduire au suicide.

Quelle est la dépression la plus grave ?

Dépression mélancolique sévère (niveau de dépression le plus élevé) : forme très douloureuse, avec perte totale d’intérêt pour le monde extérieur, incapacité à aimer, perte d’estime de soi, autodérision constante…

Est-ce qu’on peut mourir de la dépression ?

Elle peut provoquer de grandes souffrances et modifier la vie professionnelle, scolaire et familiale de la personne atteinte. Dans le pire des cas, la dépression peut conduire au suicide. Plus de 700 000 personnes meurent par suicide chaque année. Le suicide est la quatrième cause de décès la plus fréquente chez les 15-29 ans.

Quand la dépression est trop forte ?

Dépression majeure Ses symptômes sont classiques : autodérision, retard psychomoteur, fatigue, tristesse et larmes, perte d’appétit, troubles du sommeil, dégoût, goût ou envie de rien, troubles somatiques.

Quels sont les complications de la dépression ?

Sans aide appropriée, l’état des patients déprimés s’aggravera. Les complications peuvent être irréversibles pour eux, mais aussi pour leurs proches. C’est, par exemple, la rechute, la dépendance à l’alcool. L’un des plus grands risques est la rechute.

Quelle est la dépression la plus grave ?

Dépression mélancolique sévère (niveau de dépression le plus élevé) : forme très douloureuse, avec perte totale d’intérêt pour le monde extérieur, incapacité à aimer, perte d’estime de soi, autodérision constante…

Comment accepter le froid ?

Astuce anti-froid : la technique « pelure d’oignon » Pour bien combattre le froid, mieux vaut porter plusieurs couches de vêtements. Entre le maillot de corps, le t-shirt, le petit pull et le gros pull, l’air s’échappe. Or l’air ainsi immobile est un excellent isolant.

Comment ne pas avoir froid quand il fait froid ? Scelle les extrémités pour retenir la chaleur corporelle « Des gants, des chaussettes chaudes et un bonnet (casquette, chapka, capuche doublée…) sont des accessoires indispensables par temps très froid », explique le Dr. Loïc Etienne, médecin urgentiste.

Comment ne plus être sensible au froid ?

Aussi, n’hésitez pas à enfiler plusieurs couches de vêtements, dont une près du corps, pour rester au chaud. Pensez également à protéger les parties les plus exposées à l’air (mains, nez, oreilles, visage) pour éviter les engelures.

Pourquoi je ne supporte pas le froid ?

Coolitude excessive : pourquoi ? L’anémie, l’hypothyroïdie, le manque de sommeil, une mauvaise hydratation, une carence en vitamine B12, le diabète ou la maladie de Lyme peuvent provoquer une froideur excessive. Les causes doivent être déterminées avec un médecin.

Pourquoi je suis très sensible au froid ?

Avoir constamment froid peut être l’un des symptômes de l’hypothyroïdie, la diminution des niveaux d’hormones thyroïdiennes. Le métabolisme ralentit et empêche le corps de produire suffisamment de chaleur. Si vous vous sentez également fatigué, si votre peau est sèche et que vos cheveux deviennent anormalement fins, contactez un médecin.

Pourquoi on est triste en hiver ?

Leurs recherches ont notamment confirmé que le manque de lumière en hiver pouvait provoquer des troubles de l’humeur. La lumière bloque la sécrétion de mélatonine, l’hormone du sommeil, et favorise la sécrétion de sérotonine, une hormone qui agit contre la dépression.

Comment éviter le blues de l’hiver ? La pratique du yoga et des techniques de relaxation aident également à surmonter l’obscurité de l’hiver. Un programme d’activité physique, comme une simple marche quotidienne de 20 minutes dans un environnement éclairé, serait aussi important qu’un traitement de luminothérapie dans le traitement de la dépression saisonnière.

Pourquoi je me sens triste sans raison ?

Être triste sans raison apparente et n’avoir aucun désir de quoi que ce soit sont des symptômes majeurs de la maladie dépression. Cette tristesse s’accompagne souvent de pleurs et de la perte des plaisirs et des jouissances.

Pourquoi parfois je me sens triste ?

Cela peut être une dépression ou une dépression. Le premier est un malaise temporaire; l’autre est une maladie qui nécessite un traitement médical et psychothérapeutique.

Quand la dépression devient physique ?

Les symptômes physiques de la dépression Les symptômes physiques sont donc nombreux : Troubles du sommeil : le sommeil est souvent de mauvaise qualité, moins profond et peu réparateur lors des réveils précoces. On observe des insomnies ou au contraire des hypersomnies.

Quand la dépression est trop forte ? Dépression majeure Ses symptômes sont classiques : autodérision, retard psychomoteur, fatigue, tristesse et larmes, perte d’appétit, troubles du sommeil, dégoût, goût ou envie de rien, troubles somatiques.

Quelles sont les phases d’une dépression ?

apparition soudaine ou en quelques semaines ; spontané ou réactif à un événement ou à une série d’événements ; phase d’état avec un nombre plus ou moins important de symptômes et une intensité plus ou moins intense ; cette phase dure 4 à 6 mois ; fin progressive de l’épisode : spontanément ou sous l’effet des traitements.

Comment se comporte une personne dépressive ?

La dépression peut être caractérisée par : Une humeur dépressive, caractérisée le plus souvent par une tristesse pathologique quasi permanente et intense, une anxiété marquée et parfois une indifférence affective.

Quelle est la durée d’une dépression ?

Elle peut varier de quelques semaines à plusieurs mois voire années. La plupart des épisodes dépressifs durent moins de six mois. Une guérison totale et permanente (disparition de tous les symptômes) est possible.

Quels effets à dans mon corps lors d’une dépression nerveuse ?

La dépression nerveuse a des effets immédiats sur l’organisme de la personne qui en souffre. La fatigue s’accompagne d’une diminution de la libido. Une sensation de stress, une anxiété profonde, mais aussi la sensation d’une boule dans la gorge, un ventre serré et des palpitations rappellent constamment au patient son état.

Quand la dépression fait mal ?

Dans la dépression, le cerveau devient plus sensible à la douleur. La tristesse et la perte d’espoir intensifient les sentiments qui passent généralement inaperçus. Certaines personnes décrivent une douleur diffuse.

Quels sont les signes d’une dépression nerveuse ?

Les symptômes de la dépression sont multiples : une humeur dépressive, douloureuse, douloureuse, envahissante, une perte d’intérêt et de joie, une vision négative de soi, du monde, de l’avenir. L’impression d’inutilité, de culpabilité, de dévalorisation de soi est fréquente.

Pourquoi je fais de la dépression ?

Le surmenage, la solitude, des événements difficiles ou traumatisants (problèmes financiers ou professionnels) peuvent favoriser la dépression. Souvent son apparition fait suite à la perte d’une personne, lors d’un deuil, d’une séparation, du départ d’un enfant du domicile parental, par exemple.

Quel est le comportement d’une personne dépressive ? Elle se caractérise par une profonde tristesse, un désespoir, un manque de volonté de vivre, un repli sur soi, une perte d’intérêt et de motivation pour les activités quotidiennes, des changements de comportement et un retard mental et moteur pouvant, dans les cas les plus extrêmes, conduire au suicide.