Par SudOuest.frPublié le 02/03/2022 à 19:37Mis à jour le 02/03/2022 à 19:43
Le poste médical avancé érigé lors de la catastrophe mardi dans le sas d’entrée de secours de Pellegrin a été retenu ce jeudi
Mardi soir au CHU de Bordeaux, deux tentes de type Poste Médical Avancé (PMA), d’une dizaine de lits, ont dû être installées à la hâte à l’entrée des urgences Pellegrin, avec du renfort…
Mardi soir au CHU de Bordeaux, deux tentes de type Poste Médical Avancé (AMP), d’une dizaine de lits, ont dû être installées à la hâte à l’entrée des Urgences Pellegrin, avec le renfort sans précédent des opérateurs de la protection civile en premier lieu. aide.
Professionnels absents
En cause, la saturation de l’ensemble des services d’urgence dans le quartier et aussi dans la région, entraînant le passage à l’hôpital public, un système de 24 heures renouvelables, mardi. « L’ex-Aquitaine est encore très touchée par l’Omicron, le plateau est très élevé et cette infection génère de nombreuses hospitalisations », a témoigné le professeur Denis Malvy, à « Sud Ouest ».
Dans le rapport de situation transmis ce jeudi 3 février, le CHU confirme maintenir ces deux avant-postes même si « le pic d’afflux aux urgences observé le 1er février ne s’est plus produit ». Mais « la participation aux urgences adultes reste forte : 143 passages détectés mercredi 2 février contre les 130 habituels ». Et de détailler le « profil » des patients concernés : « Patients atteints du Covid nécessitant une hospitalisation immédiate, patients victimes d’AVC, patients âgés polypathologiques. Et de souligner « qu’un nombre important de professionnels sont tour à tour touchés par le Covid et donc absents ».
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