Publié : 19 juillet 2020 à 09:09
A l’heure où la Corse semble subir un léger recul épidémique, la scène hurle. Vendredi, en baie de Calvi, plusieurs rotations ont transporté des passagers de navettes sur un bateau de croisière au mouillage jusqu’au quai dominé par la citadelle. Le Lyrial, bateau de 143 mètres de la compagnie Ponant, spécialisée dans les croisières de luxe, y a fait escale pour la journée après avoir jeté l’ancre à San Fiurenzu, dans la baie de Sant’Amanza, à l’embouchure de Bunifaziu, au pied du Lion de Roccapina et à la pointe de la Parata, toute la semaine. Hier soir, Lyrialen repartait contre Nice.
A son bord, 90 passagers ont déboursé 2.700 euros pour effectuer une croisière exclusivement dédiée à « la Corse sauvage et secrète ». Leur débarquement dans le port de Calvi pose évidemment la question du risque sanitaire. « Nous allons relancer l’activité avec des protocoles ultra-stricts, assure Hervé Bellaïche, directeur général délégué de Ponant. 100% des passagers ont eu un test PCR négatif en moins de 48h lors de l’embarquement à Nice. Et les bagages sont filtrés dans un tunnel de décontamination. »
A bord, la compagnie affirme disposer d’outils pour surveiller la santé de chaque passager. « Des bornes automatiques, situées à proximité du restaurant et de la réception, prennent la température des personnes à bord trois à quatre fois par jour, poursuit le député. Un hôpital à bord permet de réaliser des tests PCR et de délivrer les résultats au bout de vingt minutes. Nous avons également Sans oublier les gestes barrières imposés aux passagers : port du masque obligatoire, distanciation sociale… »
Si Hervé Bellaïche attache tant d’importance à détailler le protocole qui s’applique à ses bateaux, c’est aussi parce que l’entreprise entame une amélioration qu’elle se veut « maîtrisée, maîtrisée et abordable », dans un secteur sinistré.
Les règles de navigation des navires de croisière ont été fixées par arrêté du Premier ministre, pris le 10 juillet. Elle stipule notamment que « les navires de croisière ne peuvent faire escale, faire escale ou mouiller dans les eaux intérieures et territoriales françaises que s’ils transportent moins de 250 passagers, n’embarquent pas leurs passagers et ne font escale que dans les ports de l’UE ou de l’Espace économique européen ». de coopération « .
Risque sanitaire, impact environnemental
C’est le cas du Lyrial, qui quittera Nice tous les dimanches pour la Corse, avant de regagner le port de départ au bout d’une semaine.
Autre navire de la compagnie Ponant qui touchera régulièrement les côtes insulaires, Austral partira de Marseille et effectuera deux escales hebdomadaires en Corse, à Calvi et San Fiurenzu. « Ce sont des escales qui sont prévues pour la saison depuis plusieurs semaines déjà avec autorisation de Traversée Méditerranée à la demande de la zone emaphore, confie une capitainerie de port insulaire. Avant son arrivée, la capitainerie doit nous faire parvenir une déclaration de santé maritime, des informations sur la l’état du navire, sur la sécurité du port.
Contactée par Corse-Matin, la Chambre de commerce et d’industrie attend de Corse, le patron des ports de l’île, « qu’il dispose de plusieurs éléments concrets pour déterminer les conditions dans lesquelles doivent se dérouler les escales ».
D’autant que dans son parcours autour de l’île – c’est l’une des spécificités de Ponant dans le monde – les bateaux de la compagnie évitent généralement de s’amarrer en rade. « Nous souhaitons faire découvrir à nos clients des lieux reculés, insolites, atypiques », explique Hervé Bellaïche. La Corse offre un certain nombre d’endroits merveilleux. Cependant, cette stratégie commerciale menace l’écosystème des fonds marins. Le mouillage des mégayachts est particulièrement dévastateur pour Posidonia. « Nous sommes l’entreprise la plus verte au monde », a déclaré le directeur adjoint. Lyrial est un bateau de dernière génération qui possède une technique de positionnement dynamique. Nous n’avons pas besoin de jeter l’ancre. »
La semaine prochaine, cependant, des discussions pourront avoir lieu sur le risque sanitaire et l’impact environnemental de ces escales. S’ils rechignent à communiquer pour le moment, les autorités insulaires se réservent le droit d’avancer tous arguments pour réguler le trafic autour des côtes de l’île.
Selon l’arrêté du 10 juillet, seul le préfet peut toutefois « interdire à l’un de ces navires ou bateaux de faire escale lorsque celui-ci présente un risque sanitaire ».
Quel est le contraire du Ponant ?
Le ponant s’oppose au vent levant ou d’est.
Quel est l’antonyme de l’Arctique ? Antoine. Antarctique, sud, sud : 1.
Qu’est-ce que le levant et le ponant ?
Le terme ponant, rappelle le côté d’où le soleil « se couche » (poners pour les latinistes émérites). Par extension, les marins ont longtemps utilisé le mot ponant pour nommer l’océan Atlantique. Le contraire fait référence à l’est à la Méditerranée.
Pourquoi pas équipage ?
Le navire & quot; Pourquoi-Pas & quot; est un mât en bois, construit aux chantiers navals Gautier à Saint-Malo en 1907, de 45 mètres de long et pesant 450 tonnes, avec une machine à vapeur auxiliaire de 125 ch. C’est avec ce navire que Charcot explore les côtes de l’Antarctique en 1908 et 1910.
Pourquoi pas un bateau ? Pourquoi pas? I, II, III et IV sont quatre navires d’exploration polaire du commandant Charcot (1867-1936), navigateur, explorateur et océanographe français, dont le dernier a coulé au large des côtes islandaises en 1936.
Pourquoi pas Genavir ?
Il est équipé par le GIE Genavir, également propriétaire des autres navires de l’Ifremer. Le coût de 66 millions d’euros a été financé à 55 % par l’Ifremer et à 45 % par la Marine nationale. Il est utilisé 150 jours par an par la Marine Nationale et 180 jours par an par l’Ifremer.
Pourquoi pas de Charcot ?
« Pourquoi pas ? » Le nom étrange de ce navire d’exploration polaire vient du fait que le capitaine Jean-Baptiste Charcot dans son enfance répondait « Pourquoi pas ? » à ceux qui doutaient de son désir de devenir marin et explorateur des pays polaires.
Pourquoi pas Commandant Charcot ?
« Pourquoi pas ? » L’étrange nom de ce navire d’exploration polaire vient du fait que le capitaine Jean-Baptiste Charcot dans son enfance répondait « Pourquoi pas ? » à ceux qui doutaient de son désir de devenir marin et explorateur des pays polaires.
Pourquoi pas l’équipage ? Le navire « Pourquoi-Pas » est un mât en bois, construit au chantier naval Gautier à Saint-Malo en 1907, de 45 mètres de long et de 450 tonnes de poids, avec une machine à vapeur auxiliaire de 125 ch. C’est avec ce navire que Charcot explore les côtes de l’Antarctique en 1908 et 1910.
Comment est mort le commandant Charcot ?
C’est le cas du célèbre explorateur Jean-Baptiste Charcot, mort le 16 septembre 1936 à bord de son Pourquoi-Pas ?, après avoir heurté un rocher hors d’Islande en pleine tempête.
Pourquoi pas Genavir ?
Il est équipé par le GIE Genavir, également propriétaire des autres navires de l’Ifremer. Le coût de 66 millions d’euros a été financé à 55 % par l’Ifremer et à 45 % par la Marine nationale. Il est utilisé 150 jours par an par la Marine Nationale et 180 jours par an par l’Ifremer.
Pourquoi la cité du Ponant ?
Mémorial érigé après la guerre en 1914-1918 pour commémorer l’accueil réservé aux Américains pendant la Première Guerre mondiale.
Comment est la ville de Brest ? La ville de Brest possède des paysages idylliques, notamment au niveau du littoral, qui est relié à l’océan Atlantique via les Côtes d’Armor et la mer d’Iroise. La ville ne manque pas d’espaces naturels qui contribuent à de belles détentes en couple ou en famille le week-end.
Pourquoi Brest ?
Brest, labellisée « Ville d’Art et d’Histoire », charme plus d’un passionné par son riche patrimoine historique. Les citadins se promènent dans la ville à pied, à vélo, en bus, tram, téléphérique et profitent d’un cadre de vie urbain avec « vue mer ».